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Victor G
7 abonnés
108 critiques
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4,0
Publiée le 15 janvier 2012
Très bon film riche en rebondissements avec de bons acteurs ! Bref un film avec Fernandel original , comme on aime ! À voir en famille ! Je mettrais à ce film un 15,75/20
Fernandel se contente de ressortir sans originalité son vieux numéro, l'opérette adaptée ne manque pas d'un soupçon de charme mais est franchement vieillotte, les numéros musicaux (très rares il est vrai !!!) sont filmés platement par un Yves Allégret que l'on a vu beaucoup beaucoup plus inspiré, il y a des longueurs au rendez-vous (la partie dans la caserne n'en finit pas !!!). Mais heureusement qu'il y a la très kiffante Pier Angeli qui ajoute beaucoup de souffle et de piquant à un ensemble qui en avait franchement besoin ; les scènes où elle apparaît sont délicieuses et on peut dire qu'elle n'a aucun mal à voler la vedette à son partenaire principal. Un film anodin mais qui en sort parfois grâce à la sublime italienne.
Un film d'Yves Allegret (1954) avec Fernandel. Hervé qui composa la musique de cette opérette en 1883 est aujourd'hui hélas bien oublié et ce n'est pas ce film qui louche entre pantalonnade et guimauve qui permettra de le ressusciter. Dans ce film on y chante trop peu, les chorégraphies sont dignes d'un théâtre de sous-préfecture, le jeune premier est exécrable de niaiserie, et Fernandel surjoue comme d'habitude. Si certaines scènes sont amusantes, d'autres sont affligeantes et on atteint le somment de la lourdeur dans la trop longue scène de la caserne. Alors il reste quoi, le charme indéniable de Pier Angéli (elle sauve le film), les petits rôles de Michele Courdoue et de Katherine Kath, et quelques airs de l'opérette initiale. Ça ne fait pas le compte.
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2,5
Publiée le 15 novembre 2022
Gentiment dèmodèe, la "Mam'zelle Nitouche" par Yves Allègret ètait dèjà une opèrette à succès au point qu'en 1931 on avait dèjà fait une production rèalisèe par son frère aînè, et jouèe à l'èpoque par Raimu! Fernandel reprend son rôle dont le titre du film met dèjà en lumière une ou deux chansons (« Cèlestin » , avec un double de Fernandel). Mais face à l'acteur populaire du cinèma français, mais qui est donc cette mystèrieuse "Mam'zelle Nitouche" version 54 qui mange des pâtisseries comme on boit du petit lait ? Eh bien c'est la jolie et mimi èlève du couvent, Pier Angeli, quasi prête pour sa carrière de star à Hollywood, avec un accent des plus charmants! Les 50's oblige, nous sommes ici en couleurs et nous retrouvons quelques connaissances comme Louis de Funès, Daniel Ceccaldi ou encore Maurice Biraud! De la niaiserie, des chansons, de l'amour et beaucoup de plumes...
Bon divertissement avec un Fernandel toujours égal à lui même qui arrive à faire sourire sans peine. Ce film permet de découvrir quelques acteurs qui ont su percer comme Louis de Funes, Maurice Biraud et Daniel Ceccaldi. A voir pour la culture cinématographique et pour un petit divertissement
Tout est prétexte pour la bluette bien légère. Agrémentée de scènes gentillettes ou naïves pour ne pas dire ridicules. C'était une opérette avant d'être un film. Cela vaudrait certainement le coup de lui donner une chance avec la musique car ici cela reste bien niais quand même.
Pieux organiste le jour dans un pensionnat de jeunes filles, Célestin occupe ses nuits à des escapades pendant lesquelles il donne, sous le nom de Floridor, des opérettes d'un autre registre que les Ave Maria... Cette double vie offre par conséquent à Fernandel un personnage double qui, toutefois, reste un aspect assez indifférent hors quelques quiproquos conventionnels de la comédie d' Yves Allégret. Un soir, Célestin joue les chaperons d'une demoiselle de l'institution (Pier Angeli dans un numéro de charme et de fantaisie juvénile un rien ostentatoire) à laquelle on doit présenter son futur mari.Cette Mam'zelle Nitouche et sa bluette polissée avec un beau militaire cohabitent avec la partie comique confiée à Fernandel. Le film, pour lequel Allégret s'est appliqué à une rutilante et colorée reconstitution d'époque (robes froufrouteuses, uniformes de dragon) mèle joyeusement la comédie musicale, le boulevard et le vaudeville militaire (courte apparition à la caserne de de Funès, de Ceccaldi, de Biraud). C'est enjoué mais c'est daté aussi, parce qu'on est constamment dans les conventions un peu puériles d'un genre qui ne se complique pas en situations subtiles et personnages nuancés.