Un peu plus gore que le premier mais le scénario est moins bon... L'idée du bébé est moyenne et la Mort commence malheureusement à se personnifier : c'est la Mort, pas un fantôme quelconque donc elle tue seulement par accidents ou malchance. Dans ce film, on voit des fenêtres et volets se fermer tout seuls, ce que voulait éviter le premier film car la Mort ne doit pas faire de gestes de ce genre. C'est dommage car l'idée qu'ils ne soient pas morts grâce aux premiers était bonne. http://tempslibre.forumr.net
Comment faire mourir ses personnages de toutes les manières possibles?C'est la question qu'on du se poser les auteurs de destination final,et c'est bien le seul atout du film,car il n'y a aucune intrigue(ça il fallait si attendre)ni aucune histoire.Les scénaristes enfiles les morts débiles les unes après les autres.Ce qui aurait pu être une série B moyenne n'est rien d'autre qu'une mauvaise idée mise ne image.
Dans la continuité, ce film tient la route du début à la fin. Le suspense est à son comble, les scènes sont travaillées pour donner le maximum d'effet.La scène de l'accident est particulièrement réussie et aurait été efficace pour un spot de prévention routière!Toujours aussi jouissif, une réussite même si le concept est déjà connu.
Il ne faut pas cracher sur les navets, ingrédients indispensables à toute bonne soupe aux légumes. Dans le cas de "Destination finale 2", pas de danger: le film est assez naveteux pour que le potage prenne bien. Intrigue cousue de fil blanc, acteurs de cinquième zone, imagination débridée dans l’art de faire mourir les personnages de façon à la fois horrifique et rigolote, naïveté touchante des effets spéciaux... Ce cocktail roboratif se déguste avec plaisir, seul ou entre amis, autour d’une bonne bouteille. Ne pas abuser tout de même…
Un second opus qui commence sur les chapeaux de roues (et le mot est faible), avec comme intro, une des plus impressionnantes scènes d’autoroute au cinéma, la fameuse scène du carambolage où s’entrechoc à la fois des poids lourds, des voitures, bus, moto, etc. La Faucheuse poursuit sa route, drainant derrière elle les macchabées, suite à différentes morts toutes plus impressionnantes les unes que les autres (percuté par une moto, défoncé par un tronc d’arbre, écrasé par une plaque de verre, crâne transpercé par une échelle ou un tube en PVC, etc). Une chose est sur ici, les scénaristes ont mis les bouchées doubles et contrairement au premier opus, celui-ci fourmille de petits détails qui créent la différence. Mise en scène macabre et hyper réaliste sont au programme de ce Destination Finale 2 (2003), où James Wong (qui officialisait sur le premier opus) a laissé place à David R. Ellis, qui marque la franchise au premier coup d’œil. Plus trash, plus saignant, plus sanguinolent, la saga se bonifie avec le temps, en témoigne les résultats avec le troisième opus. Un quatrième serait d’ors et déjà en préparation !
Même si ce deuxième épisode n'offre pas d'originalité ni d'évolution, il est tout de même une suite efficace de "Destination finale", avec des scènes de meurtres machiavéliques.
Comme d'habitude la scène d'entrée est ébouriffante!Très gore aussi tout comme la suite du film.L'intrigue est passionnante et originale, on se prend au jeu et on essaie de deviner pour chacun la mort qui va leur venir!Très prenant...
Un début fracassant pour une suite exploitant toujours le concept de la Mort. Violent et tout à fait classique dans son déroulement, Destination finale 2 se regarde tout de même avec plaisir.
Le meilleur de la trilogie, une bonne dose d'humour et c'est bien plus sanglant. L'histoire se veut un peu plus poussé mais il est dommage que la mort agisse de façon si explicite. Un trés bon moment.
Cette suite reprend les qualités du premier, de bons interprètes et des personnages de tout âge et horizon (ça nous change du groupe d'ado décérébré) plus un postulat excitant qui peut donner lieu à des situations inventives et tendues. Le film est incontestablement supérieur à son modèle, le rythme est plus soutenu, les accidents plus inventifs et spectaculaires, le gore tache plus. Reste quand même quelques mort un peu poussives et des éléments fantastiques mal venus (les visions de l'héroïne).