Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
(...) ce film-là, s'il a sans doute besoin de soutien pour convaincre d'y aller voir, n'a plus besoin d'aucun renfort ou raison extérieure dès qu'il a commencé. (...) Cela avec les plus élémentaires des moyens techniques et matériels et une générosité précise qui fit, à Cannes 2001, (...) l'une des meilleures surprises du Festival.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Porté par un réel sens de la composition, rigoureux et profond, tenace et désespéré, ce premier film, d'une intensité rare, est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par François Gorin
Wang Chao ne dévie pas de sa ligne mince, funambule exercice entre chronique sociale et fable amère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le cinéaste s'en tient (...) aux actes, décrits sans effusions. Et, à force d'en détailler la matière, le film en révèle la puissance spirituelle. Le parcours physique de chacun des trois personnages laisse deviner leur âme.
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Larcher
Avec ses touches de mélo, L'orphelin d'Anyang évoque un Kid où Chaplin aurait la démarche lourde et Edna Purviance le regard désabusé d'une junkie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Cine Libre
par Philippe Leclercq
On est surpris par tout ce que le regard du metteur en scène recèle de patience et d'amour. S'il nous montre des êtres les uns en face des autres, confrontés à leur propre misère, il ne le fait jamais qu'avec une très grande douceur. Le résultat est toujours stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Humanité
par Michaël Melinard
Si ce film pèche parfois par manque de rythme, il reste une belle réussite et il le doit en partie à sa structure rigoureuse et au regard distancié choisi par le réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Grégoire Leménager
La fable est simple. Sans lui ajouter la moindre fioriture, Wang Chao en restitue les enjeux à travers de longs plans fixes et un montage abrupt qui évoquent davantage le formalisme épuré d'un Bresson que l'esthétisme des grands maîtres du cinéma asiatique.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
La mise en scène très maîtrisée, décrit les personnages, les lieux, la société, avec une élégance dépouillée, et une rare délicatesse de touche.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'Orphelin d'Anyang est un film attachant qui demande juste un peu de patience dans sa première partie. Après, comme le bébé, on se laisse bercer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Wang Chao est très fort pour filmer l'impression que lui fait la réalité, seconde après seconde. Ses plans fixes d'une durée volontiers suppliciante, sa manière de les accorder en un engrenage catastrophique, la neutralité expressive de ses acteurs non professionnels, le bruit omniprésent de la bourgade mettent le spectateur au contact d'un monde qui n'a même plus besoin d'être inventé pour paraître issu d'une imagination perverse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Michel Eltchalninoff
(...) même si le dénouement tranche trop rudement entre le réalisme et le conte de fée, le film dégage une fragile humanité qui en bouleversera plus d'un.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Wang Chao quitte les sentiers battus d'une tradition au bord de la paralysie (le mélo chinois), et accouche d'un cinéma à l'image du fulgurant dénouement du film, empli d'une beauté secrète et indécidable.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Claire Vassé
(...) Wang Chao (dont c'est le premier film) se révèle être un cinéaste prometteur. Laissant le temps aux corps de s'appréhender, de s'approcher et de s'apprivoiser, il distille une émotion volée au cours de la vie, saisie au détour d'un plan.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Chronic'art.com
par Elysabeth François
(...) la froide mécanique déroulée par son récit n'évite pas toujours les travers didactiques du témoignage édifiant et limite de fait quelque peu la portée du message.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Pour ses débuts, le jeune cinéaste fait déjà preuve de beaucoup de savoir-faire. Pourtant, on regrettera sa propension à donner trop de temps au temps (certaines scènes sont interminables !) et une fin trop ouverte, à la limite de l'incompréhensible.
Première
par Christophe Narbonne
(...) le scénario gravite subtilement autour de la culpabilité de la mère et de la vénalité de l'ouvrier sans les accabler. (...) l'introduction d'un troisième personnage (...) entretient un suspense un peu artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) ce film-là, s'il a sans doute besoin de soutien pour convaincre d'y aller voir, n'a plus besoin d'aucun renfort ou raison extérieure dès qu'il a commencé. (...) Cela avec les plus élémentaires des moyens techniques et matériels et une générosité précise qui fit, à Cannes 2001, (...) l'une des meilleures surprises du Festival.
Les Inrockuptibles
Porté par un réel sens de la composition, rigoureux et profond, tenace et désespéré, ce premier film, d'une intensité rare, est une réussite.
Télérama
Wang Chao ne dévie pas de sa ligne mince, funambule exercice entre chronique sociale et fable amère.
Aden
Le cinéaste s'en tient (...) aux actes, décrits sans effusions. Et, à force d'en détailler la matière, le film en révèle la puissance spirituelle. Le parcours physique de chacun des trois personnages laisse deviner leur âme.
Cahiers du Cinéma
Avec ses touches de mélo, L'orphelin d'Anyang évoque un Kid où Chaplin aurait la démarche lourde et Edna Purviance le regard désabusé d'une junkie.
Cine Libre
On est surpris par tout ce que le regard du metteur en scène recèle de patience et d'amour. S'il nous montre des êtres les uns en face des autres, confrontés à leur propre misère, il ne le fait jamais qu'avec une très grande douceur. Le résultat est toujours stupéfiant.
L'Humanité
Si ce film pèche parfois par manque de rythme, il reste une belle réussite et il le doit en partie à sa structure rigoureuse et au regard distancié choisi par le réalisateur.
L'Obs
La fable est simple. Sans lui ajouter la moindre fioriture, Wang Chao en restitue les enjeux à travers de longs plans fixes et un montage abrupt qui évoquent davantage le formalisme épuré d'un Bresson que l'esthétisme des grands maîtres du cinéma asiatique.
Le Figaroscope
La mise en scène très maîtrisée, décrit les personnages, les lieux, la société, avec une élégance dépouillée, et une rare délicatesse de touche.
Le Parisien
L'Orphelin d'Anyang est un film attachant qui demande juste un peu de patience dans sa première partie. Après, comme le bébé, on se laisse bercer.
Libération
Wang Chao est très fort pour filmer l'impression que lui fait la réalité, seconde après seconde. Ses plans fixes d'une durée volontiers suppliciante, sa manière de les accorder en un engrenage catastrophique, la neutralité expressive de ses acteurs non professionnels, le bruit omniprésent de la bourgade mettent le spectateur au contact d'un monde qui n'a même plus besoin d'être inventé pour paraître issu d'une imagination perverse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
(...) même si le dénouement tranche trop rudement entre le réalisme et le conte de fée, le film dégage une fragile humanité qui en bouleversera plus d'un.
Urbuz
Wang Chao quitte les sentiers battus d'une tradition au bord de la paralysie (le mélo chinois), et accouche d'un cinéma à l'image du fulgurant dénouement du film, empli d'une beauté secrète et indécidable.
Zurban
(...) Wang Chao (dont c'est le premier film) se révèle être un cinéaste prometteur. Laissant le temps aux corps de s'appréhender, de s'approcher et de s'apprivoiser, il distille une émotion volée au cours de la vie, saisie au détour d'un plan.
Chronic'art.com
(...) la froide mécanique déroulée par son récit n'évite pas toujours les travers didactiques du témoignage édifiant et limite de fait quelque peu la portée du message.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Pour ses débuts, le jeune cinéaste fait déjà preuve de beaucoup de savoir-faire. Pourtant, on regrettera sa propension à donner trop de temps au temps (certaines scènes sont interminables !) et une fin trop ouverte, à la limite de l'incompréhensible.
Première
(...) le scénario gravite subtilement autour de la culpabilité de la mère et de la vénalité de l'ouvrier sans les accabler. (...) l'introduction d'un troisième personnage (...) entretient un suspense un peu artificiel.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr