Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Approximatif, avec une fin qui fait virage à 180 degrés, Aller simple... sait aussi charmer par son punch.
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
(...) beau film amer et futile .
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Dans quelle mesure le couple qui donne naissance au film ressemble au couple dont le même film raconte les tribulations n'a aucune importance : ce qui compte est le sentiment d'intense vécu qui fait palpiter l'image et le son, les corps et les paysages urbains, très bien filmés à la fois comme environnement réel et comme décor imaginaire, marqué par les représentations cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film est romantique, aventureux, émouvant, drôle parfois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
De bric et de broc, le scénario ne casse pas trois pattes à un canard. Mais ce premier film fragile est sympathique, parce qu'on y respire bien la joie de vivre et la liberté que l'on peut éprouver à New York, et que face à Jérémie Covillault, échappé des séries télévisées pour ados, Sarah Zoé Canner, également coscénariste, est tout à fait délicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Michel Ferry nous offre avec ALLER SIMPLE POUR MANHATTAN un film très attachant. Un long-métrage que l'on conseille volontiers à tous les amoureux de la grosse pomme et à tous ceux qui rêvent de la croquer. Même si certains (...) peuvent s'y casser les dents.
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Des instantanés new-yorkais qui séduisent par leur fraîcheur de ton.
Première
par Nicolas Schaller
(...) si on perd la grâce lunaire de (Mathieu Demy dans Le New-Yorker), on gagne encohérence avec moins de scènes pseudo-décalées et plus d'errances joliment filmées. Dommage que (...) Jérémie Covillault (...) force parfois un peu trop son côté french lover de sitcom et passe plus de temps à s'allumer des cigarettes qu'à exploiter une énergie naturelle et indéniablement communicative.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Tout petit petit, mais avec quelques éclairs d'émotions et une réelle liberté de ton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Sans le talent ou l'inventivité d'un Godard, Michel Ferry séduit quand il balade sa caméra hors des clichés rebattus sur Manhattan et s'attarde à filmer l'intimité new-yorkaise. Mais le scénario et l'acteur principal sont loin d'être à la hauteur !
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) une bluette passe-partout entre un Frenchie et une jeune Américaine, filmée sans grâce particulière en vidéo numérique. Tout ça est tellement vague et banal qu'on reste plus indifférent qu'autre chose.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Quitte à s'octroyer le pouvoir de délivrer des green-cards cinématographiques, on réservera plutôt nos faveurs à Raphaël Nadjari, cinéaste franco-new-yorkais autrement plus conquérant et pionner.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
De la première à la dernière séquence, ce n'est que ça: la course à la démerde, avec un peu de caméra sur l'épaule pour donner une impression d'urgence, et beaucoup de blabla pour faire risette à papa Woody.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aden
Approximatif, avec une fin qui fait virage à 180 degrés, Aller simple... sait aussi charmer par son punch.
Cahiers du Cinéma
(...) beau film amer et futile .
Le Monde
Dans quelle mesure le couple qui donne naissance au film ressemble au couple dont le même film raconte les tribulations n'a aucune importance : ce qui compte est le sentiment d'intense vécu qui fait palpiter l'image et le son, les corps et les paysages urbains, très bien filmés à la fois comme environnement réel et comme décor imaginaire, marqué par les représentations cinématographiques.
Le Parisien
(...) ce film est romantique, aventureux, émouvant, drôle parfois.
Les Echos
De bric et de broc, le scénario ne casse pas trois pattes à un canard. Mais ce premier film fragile est sympathique, parce qu'on y respire bien la joie de vivre et la liberté que l'on peut éprouver à New York, et que face à Jérémie Covillault, échappé des séries télévisées pour ados, Sarah Zoé Canner, également coscénariste, est tout à fait délicieuse.
MCinéma.com
Michel Ferry nous offre avec ALLER SIMPLE POUR MANHATTAN un film très attachant. Un long-métrage que l'on conseille volontiers à tous les amoureux de la grosse pomme et à tous ceux qui rêvent de la croquer. Même si certains (...) peuvent s'y casser les dents.
TéléCinéObs
Des instantanés new-yorkais qui séduisent par leur fraîcheur de ton.
Première
(...) si on perd la grâce lunaire de (Mathieu Demy dans Le New-Yorker), on gagne encohérence avec moins de scènes pseudo-décalées et plus d'errances joliment filmées. Dommage que (...) Jérémie Covillault (...) force parfois un peu trop son côté french lover de sitcom et passe plus de temps à s'allumer des cigarettes qu'à exploiter une énergie naturelle et indéniablement communicative.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tout petit petit, mais avec quelques éclairs d'émotions et une réelle liberté de ton.
Zurban
Sans le talent ou l'inventivité d'un Godard, Michel Ferry séduit quand il balade sa caméra hors des clichés rebattus sur Manhattan et s'attarde à filmer l'intimité new-yorkaise. Mais le scénario et l'acteur principal sont loin d'être à la hauteur !
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) une bluette passe-partout entre un Frenchie et une jeune Américaine, filmée sans grâce particulière en vidéo numérique. Tout ça est tellement vague et banal qu'on reste plus indifférent qu'autre chose.
Les Inrockuptibles
Quitte à s'octroyer le pouvoir de délivrer des green-cards cinématographiques, on réservera plutôt nos faveurs à Raphaël Nadjari, cinéaste franco-new-yorkais autrement plus conquérant et pionner.
Libération
De la première à la dernière séquence, ce n'est que ça: la course à la démerde, avec un peu de caméra sur l'épaule pour donner une impression d'urgence, et beaucoup de blabla pour faire risette à papa Woody.