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Un visiteur
2,5
Publiée le 22 avril 2008
Bof. C'est dur à dire mais il y a quelque chose qui ne m'a pas plu dans le film, peut-être la façon dont le sujet est traité, çà me paraît très superficiel, parfois un peu ridicule... On ne voit pas trop les personnages évoluer et ca se finit un peu en queue de poisson... Alors certes l'esthétique est sympathique, mais on en retient pour ainsi dire... rien
Merveilleux ... Eva Green est jouissif dans ce film. C'est un super scénario, remplit de référence cimatographique. Un film unique dans son genre, il n'y a rien à en dire, il est parfait ... Le parallèle entre la liberté des jeunes dans un apartement, et Mai 68 est super bien fait. A voire comme film, il est énorme.
Huis clos entre trois jeunes (et beaux) adultes dans un grand appartement bourgeois sur fond d'éveil à la sexualité et de révoltes soixante-huitardes. Le film débute bien, mais l'ensemble reste propret, tant sur le fond que la forme, et la trame historique est rendue presque anecdotique.
c'est un très beau film, j'ai beaucoup apprécié le fait de pouvoir observer au ralenti eva green de cette façon c'est époustouflant!!! quel corps^^!! j'espère qu'elle en refera un autre comme ça!!!
Un frère et sa soeur, à la relation symbiotique (siamoise?), invitent chez eux un jeune américain... Ce qui devait arriver arrive, sans tabou, naturellement, dans les remous de mai 68, à Paris. Le jeu initiatique ainsi né aurait pu très mal tourner, si "la rue n'était entrée dans l'appart!" "C'est pas parce que Dieu n'existe pas que çà te donne le droit de te prendre pour lui" est une autre citation que je trouve intéressante dans ces "INNOCENTS"de Bertolucci(dernier tango...). Les 3 jeunes "innocents" sont parfaits, mais Eva Green crève l'écran.
D'une sensualité obscène sans atteindre une provocation absurde, un trio d'une homogénéité remarquable. Des paroles à la verve sans taches. Un superbe film. Comme on l'a déjà dit, "68 version 69".
Ce que j’ai préféré, sans aucun doute ce sont les nombreux hommages au cinéma ( : Rien que pour cela, le film mérite déjà qu’on lui mette la moyenne… Ensuite, ce trio qui s’aiment et se détruit ! Les acteurs jouent merveilleusement bien ! La relation presque incestueuse ne nous laisse pas indifférent et nous montre à quel point le milieu de la famille peut devenir étouffant à un tel point qu’il en destructeur… Parce que c’est bien de là que tout part, non ? La relation parents/enfants entre la mère qui ose à peine émettre un avis et le père, poète raté qui emmerde son fils et que son fils emmerde. Un film efficace qui nous fait ressentir un tas d’émotion… Un film génial, dans le contexte « mai 68 » avec des ados paumés qui ne savent plus où se mettre. Seul point négatif, peut-être un peu trop de scènes de nus.
Bertolucci nous livre ici un huis clos mettant en scène trois adolescents soixante-huitards ; se servant ainsi d'un contexte historique légendaire pour combler les lacunes d'une oeuvre qui se voudrait irrévérencieuse mais qui n'est qu'empâtée et sans réelle fantaisie.
Exploitant le registre de l'initiation sexuelle à souhait, les personnages se livrent à leurs badinages intempestifs dans une atmosphère innocemment perverse qui devient rapidement oppressante et lassante.
Le spectateur n'est pas choqué, il est ennuyé ; mises à part quelques scènes ou l'érotisme bascule maladroitement dans la pornographie. La psychologie des personnages se voudrait retorse, elle est simplement "cliché".
On s'attendait à un film intimiste relatant la réelle implication politico-sociale de trois jeunes dans un Paris survolté, qui se découvrent peu à peu un penchant pour la débauche ; on se retrouve avec "un ménage à trois" incestueux et quelques idées (ah, quand même) révolutionnaires d'une banalité effarante.
Ajoutez à cela des scènes qui n'inspirent que perplexité : à noter la réaction presque naturelle des parents quand ils découvrent les corps nus entassés de leurs deux enfants et de leur invité ; bien que le père ait une mentalité ancrée dans les traditions. J'aurais aimé avoir des parents comme ça : il y aurait tous les jours des orgies chez moi, et ces derniers participeraient à la rédaction des bristols ;)
Je mets quand même une étoile pour saluer la prestation des acteurs qui ont tenté d'apporter à leurs personnages cette touche de fraicheur fânée dans un film d'une trivialité totalement aseptisée.
Dommage. Bertolucci nous avait pourtant habitués à mieux.
Tourné sous l'inspiration de vieux films en noir et blanc, reproduisant parfois plusieurs scènes, les montrant à l'originale et agréablement parodiée. La beauté du nu des trois corps est orchestrée d'une telle façon qu'on en est presque curieux, à pencher la tête pour observer non pas par voyeurisme mais pour en déceler chaque part, cherchant le défaut qui tue sans jamais le trouver. Les petits jeux, les petits gages se transformant vite en une folle aventure amoureuse de découverte du corps et de l'amour. Drôle, sensuel et engageant, The Dreamers révèle le corps humain sans tabous, et toujours d'une façon douce, délicate et chaudement délicieuse, presque envieuse. (suite de ma critique sur mon blog)
C'est avant tout vulgaire, ça tourne autour d'une paire de pis lourds et grotesques, il n'y a pas là de quoi faire un film. (Mais quel est donc l'intérêt de ce genre de production, pourquoi perdre autant de temps, de moyens, d'argent, etc. voilà la question qui me taraude.) Il me semble qu'il existe des revues spécialisées et des films, aussi, pour ceux qui veulent voir des seins, alors pourquoi en imposer à des braves gens qui n'ont rien demandé durant près de 120 minutes ?
J'avoue que la présence de Mai 68 est absolument anecdotique puisqu'on suit ici trois ados dont deux enfants bourgeois incestueux qui font joujou avec un gentil et naïf Américain, j'ai mis deux étoiles uniquement pour les acteurs, magnifique trio étrangement à l'aise dans des scènes peu académiques...
Trois sujets composent la sauce de ce film magnifique:Paris en Mai 68,les références au cinéma,la quête d'identité,le tout sur fond de musique d'époque.Tout est maîtrisé,ciselé,précis.On est en Mai 68,on est à Paris,on aime les personnages;on est nostalgique de cette époque en sachant que plus tard on regrettera la présente.Un film à conserver.
Innocents ou l'histoire de 3 jeunes qui vivent dans un monde à eux et partagent leurs expériences, plutôt osées parfois et à la limite de la folie.. Beaucoup de référence cinématographique, une bande son vraiment sympa, des acteurs sincères dans leur rôle. Vraiment interessant.
Jai vu ce film en DVD. Il ma beaucoup plu malgré quelques moments un petit peu plus ennuyeux. Javais besoin de 20 minutes pour reconnaître que Michael Pitt (lacteur principal) était Kurt Cobain dans Last days.