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Un visiteur
2,5
Publiée le 4 février 2007
J'ai apprécié ce film - surtout son petit côté sexuel - mais il est clair que vous n'aurez pas la révélation avec ce film petit bourgeois. Enfin, ça peut rappeler leur enfance à des spectateurs qui n'ont pas vécu dans la pauvreté et ont eu la chance de cultiver longuement leur naïveté.
J'ai trouvé intéressant de dépeindre une relation fusionnelle entre jumeaux, c'est ce qui rend le film étrange voir malsain ?
The Dreamers est captivant, de part d'abord ses acteurs, Eva Greene et Michael Pitt en grande forme, ils crèvent l'écran. Le scénario est riche en références, clin d'oeils (historique, personnalités, cinéma), un huit clos sous fond de mai 68 qui fonctionne d'un bout à l'autre. C'est très dérangeant parfois, à s'en perdre, ne plus savoir quoi penser de ce que l'on regarde, mais le scénario, le jeux continue, rassure (ou non) et nous mène à la fin d'une superbe oeuvre. Pas culte, mais pas loin, un film à ne pas louper... à regarder si ce n'est pas encore fait. Il vaut le coup d'être vu qu'on adore ou qu'on déteste.
C'est faible. Le mille et unième huis clos incestueux avec jeux pervers et gages sordides à la clef. Bertolucci parvient avec un certain talent à faire cohabiter l'écoeurant et le banal. Certains se pâment devant l'habileté du maître à créer une ambiance glauque et oppressante : premièrement ce n'est pas un gage de satisfaction pour le spectateur ! Deuxièmement, qu'ils viennent visiter ma cave, je crois que je suis bon pour la FEMIS. Les acteurs sont cependant assez justes, notamment Eva Green et Michael Pitt.
Un film quand même super bizarre ... Lorsque j'ai vu Innocents, je m'attendais à un film sur Mai 68. En fait mai 68 est un gros pretexte. Pas de révoltes de la jeunesse dedans , pas de convictions. A la limite un rappel sur des beaux moments de cinéma . Ces trois ados sont enfermés dans un appart immense purement bôbô...ou ils jouent à qui se tripotera le plus. Mention très special à Eva Green que j'ai decouvert et qui est -il faut bien le dire - délicieuse.
un bon film que j'ai aimé pour ses acteurs, pour sa mise en scène, son rapport avec le cinéma, la bande son, du très bon cinéma malgré le parrallèle naïf avec Mai 68
Les deux étoiles vont aux acteurs qui font de leur mieux pour donner à ce film un sens. En fait, cela aurait pu se passer en 1960, en 1970 ou en 2004 et on ne voit pas pourquoi il fallait rattacher cela à Mai 68. Avec un film intimiste, on a toujours l'impression d'être un voyeur mais dans ce film, je me suis réellement senti comme tel. Fi des pudibonderies, mais les scènes érotiques, certes bien filmées, ne sont là que pour mettre en valeur des corps de jouvenceaux et d'une jouvencelle au demeurant charmants mais on ne voit pas ce que cela apporte. Si mai 68 était réellement la trame de fond, alors il aurait été plaisant de faire ressortir l'apprentissage sexuel et politique dans les dialogues ou les actes. Au lieu de cela, on doit assister à des dialogues absolument médiocres et sans intérêt et des scènes d'ébats sexuels sans grand intérêt. Bref, je suis déçu mais il en faut pour tous les goûts.
Très bon film, la fin ma beaucoup attristé mais c’était l’effet voulu. Je me suis beaucoup attachée au personnage de Mattwey, quelle belle personne. Et puis leur trois corps sont absolument magnifiques, très bien filmés et jamais en excès. C’est un grand oui!
Nul. Mai 68 n'est qu'un stratagème pour attirer le spectateur (de plus, les scènes de rue reconstituant les événements sont littéralement consternantes). L'histoire : vicissitudes d'enfants de la bourgeoisie parisienne, branchouillés de l'époque, jouant à touche-pipi sous les lambris dorés de l'appart' des parents habitant le 7ème. Un désastre cinématographique.
Ce film est une petite merveille. Enormément de références cinématographiques mais surtout une prestation époustouflante, magnifique, splendide d'Eva Green. C'était son premier rôle et je suis certain que ça restera un de ses plus grands rôles. En un mot, splendide...