Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Adjani voulait faire Adolphe, elle voulait jouer Ellénore, et elle avait raison : personne ne sait comme elle mourir d'amour.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
Quant à Isabelle Adjani, sa simple présence est toujours magnétique, on ne regarde qu'elle.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
S'il n'est sûrement pas le plus excitant des cinéastes français -frôlant par trop de respect un certain académisme-, Jacquot a su en tout cas avec Adolphe réussir un pari cette fois-ci risqué.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Adolphe est un film violent, et assez dérangeant. En cela il est d'ailleurs fidèle au livre de Constant, mais avec les moyens du cinéma, un cinéma moderne qui ne s'effraie pas de s'aventurer dans toutes les directions, réelles et imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Romanesque et romantique à souhait, intense jusqu'au bout, ce film offre à Isabelle Adjani l'un de ses tout meilleurs rôles. Face à elle, Stanislas Merhar est à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
La sobriété tranchante du film peut freiner l'adhésion du spectateur. Il faut dire qu'on est plus habitué au lyrisme dégoulinant des images en tous genres sur l'amour que nous assènent la télévision, le cinéma et la publicité. Mais ici la ferveur traverse cependant l'écran, grâce à l'intensité d'Isabelle Adjani, qui retrouve le chemin des héroïnes qui ont fait sa gloire.
Première
par Sophie Grassin
Dès le prégénérique, tout est dit : Elléanore lance un cri muet à Adolphe qu'elle regarde dans un miroir transparent qu'elle ne peut traverser. Le film sera à cette image, élégant et un peu abstrait, sans réelle empathie émotionnelle possible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Le film a la beauté majestueuse d'une sculpture en mouvement : il est fait d'un bloc, au risque peut-être d'une certaine monotonie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
L'intelligence de Jacquot est d‘avoir fait la part belle au texte du livre. On ne peut qu'être tenu en haleine par les palpitations de cette histoire d'amour qui n'en finit pas de mourir.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cine Libre
par Maureen Loiret
L'image, quant à elle, de Benoît Delhomme, reconstitue à merveille la froide neutralité chromatique des deux peintres Ingres et Hammershoi, mettant en valeur les décors et costumes admirablement choisis. D'où vient alors ce sentiment de lassitude qui par moments nous taraude comme si l'ennui du personnage à son tour nous gagnait ? Comme si la maîtrise excessive du cinéaste avait tué, elle aussi, le nerf de la passion dont Isabelle Adjani a seule le secret.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette adaptation froide et soignée d'un roman classique dégage un ennui distingué. Un beau livre d'images.
Brazil
par Clémentine Poniatowski
La répétition du propos impose un rythme lent à ce film que la beauté de l'image, empruntée aux tableaux de Ingres par Benoït Delhomme, ne parvient pas à sauver de l'ennui.
Le Figaroscope
Adjani voulait faire Adolphe, elle voulait jouer Ellénore, et elle avait raison : personne ne sait comme elle mourir d'amour.
Cahiers du Cinéma
Quant à Isabelle Adjani, sa simple présence est toujours magnétique, on ne regarde qu'elle.
Chronic'art.com
S'il n'est sûrement pas le plus excitant des cinéastes français -frôlant par trop de respect un certain académisme-, Jacquot a su en tout cas avec Adolphe réussir un pari cette fois-ci risqué.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Adolphe est un film violent, et assez dérangeant. En cela il est d'ailleurs fidèle au livre de Constant, mais avec les moyens du cinéma, un cinéma moderne qui ne s'effraie pas de s'aventurer dans toutes les directions, réelles et imaginaires.
Le Parisien
Romanesque et romantique à souhait, intense jusqu'au bout, ce film offre à Isabelle Adjani l'un de ses tout meilleurs rôles. Face à elle, Stanislas Merhar est à la hauteur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
La sobriété tranchante du film peut freiner l'adhésion du spectateur. Il faut dire qu'on est plus habitué au lyrisme dégoulinant des images en tous genres sur l'amour que nous assènent la télévision, le cinéma et la publicité. Mais ici la ferveur traverse cependant l'écran, grâce à l'intensité d'Isabelle Adjani, qui retrouve le chemin des héroïnes qui ont fait sa gloire.
Première
Dès le prégénérique, tout est dit : Elléanore lance un cri muet à Adolphe qu'elle regarde dans un miroir transparent qu'elle ne peut traverser. Le film sera à cette image, élégant et un peu abstrait, sans réelle empathie émotionnelle possible.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le film a la beauté majestueuse d'une sculpture en mouvement : il est fait d'un bloc, au risque peut-être d'une certaine monotonie.
Zurban
L'intelligence de Jacquot est d‘avoir fait la part belle au texte du livre. On ne peut qu'être tenu en haleine par les palpitations de cette histoire d'amour qui n'en finit pas de mourir.
Cine Libre
L'image, quant à elle, de Benoît Delhomme, reconstitue à merveille la froide neutralité chromatique des deux peintres Ingres et Hammershoi, mettant en valeur les décors et costumes admirablement choisis. D'où vient alors ce sentiment de lassitude qui par moments nous taraude comme si l'ennui du personnage à son tour nous gagnait ? Comme si la maîtrise excessive du cinéaste avait tué, elle aussi, le nerf de la passion dont Isabelle Adjani a seule le secret.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Cette adaptation froide et soignée d'un roman classique dégage un ennui distingué. Un beau livre d'images.
Brazil
La répétition du propos impose un rythme lent à ce film que la beauté de l'image, empruntée aux tableaux de Ingres par Benoït Delhomme, ne parvient pas à sauver de l'ennui.