Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Fantastikindia
par Ganesh & Laurent
Mélange détonant de mélodrame flamboyant, de scènes de comédie jubilatoires et d'excellentes séquences chantées et dansées, fresque familiale ambitieuse (...), "La Famille Indienne" est (...) un film exubérant et euphorisant.
La critique complète est disponible sur le site Fantastikindia
Aden
par La rédaction
Sans que jamais la profusion des clichés (palais, voitures luxueuses, antagonismes sociaux, jeunes premiers au sourire de fauve, héroïnes au regard hypnotique) n'entrave la profonde adhésion du spectateur à l'histoire. Du rire, des larmes, de l'amour et de la danse. L'Inde telle qu'elle est fantasmée dans une fresque où se reflètent les soubresauts de son histoire.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Tout part des yeux des acteurs. Chaque scène, sans exception aucune, se centre sur eux, sur leurs pétillements et les larmes qui en tombent en torrent. Hollywood filme dorénavant des machines et des acteurs virtuels. A Bollywood, on s'accroche encore au regard des humains. D'où la suprématie de ce cinéma de foire, voué à nous offrir ce que le cinéma de la côté ouest ne parvient plus à donner
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
MCinéma.com
par Camille Brun
La famille indienne, c'est des torrents de larmes pour les comédiens et des crises de fous rires pour les spectateurs. Alors, on n'est pas certain d'avoir le rapport au film que le réalisateur souhaiterait, mais une chose est sûre, qu'est-ce qu'on rigole !
Positif
par La rédaction
Dans sa démesure ou son économie, dans la farce ou le mélo, La Famille indienne témoigne toujours d'une étonnante foi en un cinéma qui n'existe plus qu'en Inde. Il provoque des joies de spectateur primitives, et des larmes dont on avait presque oublié le goût.
Première
par Olivier Lemaire
Cette épopée familiale représent la quintessence de l'esthétique Bollywood qui commence à faire de nombreux adeptes en Occident. Le réalisateur ne se fait pas prier pour recouvrir le tout d'une quantité sirupeuse de bons sentiments, d'amour fraternel ou d'aspirations poétiques. (...) Derrière le ridau social d'un propos édulcoré, la gaieté et l'optimisme frôlent la dictature. Et ça marche! (...) A croire que le film détient la formule pour nous faire avaler trois heures trente d'amourettes gnangnan avec un enthousiasme juvénile.
Télérama
par Jérémie Couston
Bollywood, en pleine mutation, lorgne vers MTV. Et l'opération séduction fonctionne à cent pour cent. On sort bollywoodien à mort.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Il faut savoir s'immerger dans cette esthétique à la fois primitive et luxuriante, entièrement au service du déclenchement des stimuli les plus primaires, où la jubilation succède aux larmes selon une progression enivrante. Un raccord fait succéder à des pales d'hélicoptère en mouvement une danseuse tourbillonnante, les protagonistes se dédoublent parfois au cours des numéros musicaux, les lieux changent spectaculairement (de l'Inde aux pyramides d'Egypte) au cours des parties dansées. Comment ne pas aimer cela ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Une véritable curiosité qui peut nous emporter, par certains moments, si on n'a pas peur du pathos.
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Cette grande fresque exotique est dépaysante comme une longue soirée de variétés sur petit écran. ça semble plutôt triste pour Bollywood. Le spectacle, au reste, n'est pas dénué d'hébétude euphorisante, quoiqu'un peu longuet... Il est vrai que le film, dans sa vocation universelle, proclame une haute leçon morale à laquelle le spectateur pourra toujours se raccrocher : "Face à une épreuve délicate, ferme les yeux et pense à tes parents."
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un bémol : une esthétique à l'américaine, alliant plans tournés à l'hélicoptère, voitures de sport dernier cri, intérieurs nouveau riche et chorégraphie hip-hop qui frise parfois la caricature d'un clip MTV. Mais au final, c'est-à-dire au bout de 3h30, l'irrésistible folie bollywoodienne l'emporte.
Zurban
par Eric Quéméré
Comparé à La famille indienne, Devdas semble d'une austérité bergmanienne. (...) Intrigue improbable, numéros kitsch et casting Colgate, tout est réuni pour nous transporter dans une autre dimension.
Fantastikindia
Mélange détonant de mélodrame flamboyant, de scènes de comédie jubilatoires et d'excellentes séquences chantées et dansées, fresque familiale ambitieuse (...), "La Famille Indienne" est (...) un film exubérant et euphorisant.
Aden
Sans que jamais la profusion des clichés (palais, voitures luxueuses, antagonismes sociaux, jeunes premiers au sourire de fauve, héroïnes au regard hypnotique) n'entrave la profonde adhésion du spectateur à l'histoire. Du rire, des larmes, de l'amour et de la danse. L'Inde telle qu'elle est fantasmée dans une fresque où se reflètent les soubresauts de son histoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Tout part des yeux des acteurs. Chaque scène, sans exception aucune, se centre sur eux, sur leurs pétillements et les larmes qui en tombent en torrent. Hollywood filme dorénavant des machines et des acteurs virtuels. A Bollywood, on s'accroche encore au regard des humains. D'où la suprématie de ce cinéma de foire, voué à nous offrir ce que le cinéma de la côté ouest ne parvient plus à donner
MCinéma.com
La famille indienne, c'est des torrents de larmes pour les comédiens et des crises de fous rires pour les spectateurs. Alors, on n'est pas certain d'avoir le rapport au film que le réalisateur souhaiterait, mais une chose est sûre, qu'est-ce qu'on rigole !
Positif
Dans sa démesure ou son économie, dans la farce ou le mélo, La Famille indienne témoigne toujours d'une étonnante foi en un cinéma qui n'existe plus qu'en Inde. Il provoque des joies de spectateur primitives, et des larmes dont on avait presque oublié le goût.
Première
Cette épopée familiale représent la quintessence de l'esthétique Bollywood qui commence à faire de nombreux adeptes en Occident. Le réalisateur ne se fait pas prier pour recouvrir le tout d'une quantité sirupeuse de bons sentiments, d'amour fraternel ou d'aspirations poétiques. (...) Derrière le ridau social d'un propos édulcoré, la gaieté et l'optimisme frôlent la dictature. Et ça marche! (...) A croire que le film détient la formule pour nous faire avaler trois heures trente d'amourettes gnangnan avec un enthousiasme juvénile.
Télérama
Bollywood, en pleine mutation, lorgne vers MTV. Et l'opération séduction fonctionne à cent pour cent. On sort bollywoodien à mort.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Il faut savoir s'immerger dans cette esthétique à la fois primitive et luxuriante, entièrement au service du déclenchement des stimuli les plus primaires, où la jubilation succède aux larmes selon une progression enivrante. Un raccord fait succéder à des pales d'hélicoptère en mouvement une danseuse tourbillonnante, les protagonistes se dédoublent parfois au cours des numéros musicaux, les lieux changent spectaculairement (de l'Inde aux pyramides d'Egypte) au cours des parties dansées. Comment ne pas aimer cela ?
Les Inrockuptibles
Une véritable curiosité qui peut nous emporter, par certains moments, si on n'a pas peur du pathos.
Libération
Cette grande fresque exotique est dépaysante comme une longue soirée de variétés sur petit écran. ça semble plutôt triste pour Bollywood. Le spectacle, au reste, n'est pas dénué d'hébétude euphorisante, quoiqu'un peu longuet... Il est vrai que le film, dans sa vocation universelle, proclame une haute leçon morale à laquelle le spectateur pourra toujours se raccrocher : "Face à une épreuve délicate, ferme les yeux et pense à tes parents."
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un bémol : une esthétique à l'américaine, alliant plans tournés à l'hélicoptère, voitures de sport dernier cri, intérieurs nouveau riche et chorégraphie hip-hop qui frise parfois la caricature d'un clip MTV. Mais au final, c'est-à-dire au bout de 3h30, l'irrésistible folie bollywoodienne l'emporte.
Zurban
Comparé à La famille indienne, Devdas semble d'une austérité bergmanienne. (...) Intrigue improbable, numéros kitsch et casting Colgate, tout est réuni pour nous transporter dans une autre dimension.