Avis : Willard - Page 3

Alors la j'ai été épatée car le film m'a vraimment bleufée .
Une passionnante que émouvante et plaine de rebondissement .
Un acteur remarquable .
Une bo parfaite avec un casting magnifique (le patron c'est vraimment un enfoirée.
Une réalisation,des plans,les effets spéssiaux dont magnifique .
On ne s'ennuie pas une seconde .
Que dire de plus à part que le film et l'acteur sont génialisime .
Et une fin magnifique bien qu'il faut la comprendre .et d'ailleur la fin est violante et flipante
On pleure , on rigole ,on s'éclate .
Alors je vous shouete de passer un bon moment avec WILLARD.

lorsque l'on lit le synospis, on peut s'attendre a un film de seconde zone que l'on aurait l'habitude de voir en deuxime partie de soirée sur M6, mais la, je dois dire que j'ai été bluffé par ce film
que se soit par le jeu de Glover mais aussi des souris qui ici ont un rôle important: ils font changer la vie du personnage principale que l'on pourrait qulaifié au debut du film de raté

Remake du film du même nom de 1971, ce conte horrifique est une bonne trouvaille alors que le pitch laisse penser le contraire.
Willard est un jeune homme timide et craintif qui vit dans une vieille maison avec sa mère sénile. Au travail, il se fait persécuter et victimiser par son patron, Franck Martin. Un soir, il découvre que les rats qui habitent dans son sous-sol lui obéissent. Très vite, ses quelques amis vont se rassembler en une véritable armée de centaines de rongeurs...
La réalisation est assez bonne: le cadrage est bon, les mouvements fluides et précis, les prises de vues intelligentes et la mise scène réussie.
Le scénario est original, il y a des moments assez effrayants et d'autres émouvants, le tout tient la route avec néanmoins quelques longueurs. La fin est très appréciable.
Les acteurs sont très bons, mais le meilleur est Crispin Glover (Willard), dont la performance est incroyable. Les personnages sont bien écrits, on s'attache ou on les déteste facilement. Les dialogues sont assez bons.
La photographie est pas mal: la lumière correspond bien à l'ambiance, elle est froide et terne et les couleurs sont belles.
Le montage est malheureusement un peu trop simple et n'offre pas de réelles surprises.
Les décors sont très bons, en particulier la maison du protagoniste qui est superbe, les costumes réussis et la musique bonne.
Sans être un film génial, Willard est un film sombre et intelligent.

Une bonne surprise ce film. Moi qui m'attendais à quelque chose de plutôt moyen, j'ai été assez surpris de découvrir en ce Willard un bon film. Premièrement, on remarque dès le début une ambiance sombre, bien faite au niveau décor et au niveau musique. Viennent après les fameux rats, qui sont utilisés de façon assez intelligente, il faut le dire. J'ai bien aimé le fait d'opposer les deux personnages rats, Socrate le rat blanc qui est bon et innocent, et Ben le grand rat qui est tout à fait le contraire. Ces deux rats sont en quelque sorte le reflet de l'esprit du personnage, déchiré entre le bien et le mal. C'est un choix astucieux du réalisateur d'avoir préféré garder ce côté plus sombre du film, plutôt que de se diriger vers la surenchère. Cependant, s'il n'y aurait qu'une raison pour voir ce film, c'est la fabuleuse prestation d'acteur de la part de Crispin Glover, qui est vraiment inquiétant dans son rôle de jeune homme dérangé. Ce film aurait été un chef d'oeuvre, si ce n'était son début assez lent, mais surtout le personnage de Laura Elena Harring, qui est à la fin assez "cliché", et aurait pu être plus développé, surtout dans sa relation avec Willard. Pour conclure, je dirai donc que Willard est un film malheureusement plutôt inconnu, qui est bien plus que sympathique à regarder. Intéressant pour son ambiance, pour le personnage de Willard, mais également pour son scénario, qui est à la fin quand même assez original. Bref, un film à voir.

Voilà un film des plus déroutants.
Estampillé film d'horreur/épouvante alors qu'il tient plus du film noir, Willard fait parti de ces films où tout l'attrait réside dans une ambiance dérangeante ô combien réussie de par l'excellent jeu d'acteur de Crispin Glover, mais surtout par la présence de Ben, l'énorme rat manipulateur dont le seul regard installe le malaise.
Si le long métrage remplit son contrat à ce niveau, on pourra par contre regretter le rythme plutôt lent et un scénario où il ne se passe, au final, pas grand chose.
Willard n'est donc pas un chef d'œuvre du septième art, mais reste un film à voir pour parfaire sa culture cinématographique.

Un de mes films d'horreur preferé. Crispin Glover y est simplement magnifique ! Une histoire très originale adaptée adaptée d'une nouvelle de Stephane Gilbert intitulée Ratman's Notebooks, que je n'ai jamais lue.
Avec une musique de la grande Shirley Walker, qui signa la musique d'un autre de mes films d'horreur culte, Black Christmas ( son dernier travail, un film "slasher" complètement loufoque du même réalisateur Glen Morgan ).
Les images sont sublimes, noirceur, ombre, veille demeure ou habite Willard, une veille mere alitée...par moments on se croirait dans un film d'animation, tant le côté sombre est appuyè.
Willard est une terrible histoire de revanche, le père de Willard était proprio de l'entreprise où il travaille...mais regardez donc le film !
Pourquoi je note si tard ? Parce que je suis tombe sur une version française, j'avais vu ( et revu ) l'original à sa sortie.
Glen Morgan n'a fait que deux films...ils sont cultes pour moi. J'aurais voulu qu'il en fasse plus, mais il ne peut pas faire des films rien que pour moi !

Ce film réussi le pari de donner dans la qualité avec un scénario qui pourrait pourtant sortir tout droit d'un navet en puissance. Cela bien sûr grâce à l'excellente interprétation de l'acteur Crispin Glover dont le travail donne toute la profondeur à ce film.

Le spectateur est enfermé dans la bulle de la folie du personnage principal et c'est là la force et la faiblesse de ce film, car hormis cette très bonne interprétation, le reste du film est sans grande originalité, et les autres rôles du film presque inexploités puisque tout tourne autour du personnage principal et de sa psychose. J'ai cru d'ailleurs voir un hommage à Psychose d'Hitchcock dans le rapport qu'entretiennent Willard et sa mère.

Intéressant cette fable sur la communication entre rongeurs et humains : mammifères tous les deux ! Dommage que la force a vaincre : le "patron" de Willard, soit un peu caricatural et pas bien mis en place. Et la fin, par une rationalisation, gâche le mystère qui pouvait se percevoir de nombreuses fois dans le film

Willard souffre d'une trame peu rythmée, le film peine a nous faire croire qu'une meute de rats peut devenir une arme machiavélique afin d'assouvir la soif de vengeance d'un protagoniste manquant cruellement de confiance en lui.
Il est cependant vrai que le rat fait peur, mais plus par sa saleté et les maladies qu'il transmet que par ses morsures ridicules.

c'est le remake de BEN , à part qu'il ne s'agit pas d'un enfant , mais d'un adulte qui est l'amis des rats....il y a une allusion à Ben en reprenant cette chanson de M Jackson "ben"qu'il chantait pour le premier film.

Que dire d'un film ou 2 des personnages principaux sont des rats?Que dire d'un film ou le seul sentiment que l'on ressent pour l'acteur est de la pitié?Que dire? C'est un film minable un nanar d'or a regarder avec delectation (tellement cété bon je lai regardé en 3 fois!!)

Crispin Glover remarquable.
Un homme-enfant timoré et raillé trouve sa vengeance dans un couple de rats : Ben le chef de guerre et Socrate le sage.
Drole et unique. A voir!

Ce n'est pas un chef d'oeuvre de l'épouvante, mais pendant tout le film, j'étais toute tendue (en plus j'avais mon petit chaton (pas plus grand qu'un rat) dans les mains et à des moments... vous avez compris ce que je veux dire), le film ne m'a pas ennuyé. Si j'avais regardé un autre film à l'heure où j'ai regardé celui-ci, je me serais endormie, mais là, c'est impossible...

Willard
Un film de Glen Morgan

Ambiance oppressante pour cette histoire déjà portée à l’écran il y a une bonne trentaine d’année par Daniel Mann. Sur son propre scénario –tiré du roman éponyme de Stephen Gilbert- Glen Morgan a bâti un univers progressivement étouffant, à la fois cynique et drolatique.

Pour remplacer Bruce Davison, qui incarnait en 1971 le héros du film –Willard- et que l’on remarque sur de nombreux tableaux et autres photographies, Glen Morgan a réussi un petit coup d’éclat. Son ingénieuse trouvaille a en effet été de s’adjoindre les services du génial Crispin Glover.
Indéniablement trop rare dans nos salles obscures, Crispin Glover donne à son personnage la touche de folie qui lui est propre. Aperçu il y a une quinzaine d’année dans le Retour vers le Futur de Robert Zemeckis –il interprétait le père timoré et alors jeune de Michael J. Fox, alias Marty MacFly- le comédien a été aperçu plus récemment sur nos écrans sous les traits de l’infâme Sac d’os, ce mystérieux individu qui évoluait dans le sillage glamour du Charlie et ses Droles de Dames, version MacG.
Dans Willard, Crispin Glover se met dans la peau d’un trentenaire décalé qui vit dans une sinistre masure avec une bien acariâtre maman. Mal à l’aise en société, brimé par son supérieur et tyrannisé par une mère comme on n’en voit qu’au cinéma, Willard est un être torturé et introverti. Il ne semble avoir sa place nulle part, tant sa personnalité et son apparence paraissent en décalage avec le monde qui l’entoure. Mais Willard a un secret, un étonnant secret. Il a des amis, beaucoup d’amis, mais d’un genre bien particulier.
Suite à un regain d’activité du secteur de la construction immobilière dans son quartier, les rats et les souris du voisinage se sont réfugiés dans son sous-sol. Tous les rats et toutes les souris. C’est-à-dire que des dizaines, puis des centaines de rats ont élu domicile dans la cave obscure de la demeure familiale. Avec ses nouveaux locataires, Willard nouera des liens particuliers, allant même jusqu’à se faire comprendre par eux. Mais ce sera surtout avec deux d’entre-eux que l’étrange jeune homme établira des rapports plus complexes. D’abord avec Socrate, une petite souris blanche « pacifique », qui deviendra son animal de compagnie puis son ami à temps plein. Et ensuite avec Ben, un rat aussi imposant que maléfique. Avec ce dernier, Willard ne cessera d’être en conflit. Le combat pour la prise du pouvoir au sein du groupe sera d’ailleurs fascinant.
En tournant Willard, Glen Morgan a voulu créer une atmosphère glauque, sordide. La sombre et imposante bâtisse qu’habitent Willard et sa mère va dans ce sens, ainsi que la psychologie ô combien torturée du personnage principal. Si l’on y ajoute des mouvements de caméra qui mettent en relief la menace que représente l’invasion des rats en amplifiant son caractère furtif, on obtient le résultat escompté, un contexte résolument fantastique.
Après une mise en route plutôt lente, les pièces de l’engrenage se mettent en place. Willard va utiliser ses hordes de nouveaux compagnons pour répondre aux agressions dont il est la victime. Son patron en fera les frais, bientôt dépassé par une escalade de violence qu’il aura contribué à créer. Plus tard, le duel changera d’orientation, pour s’articuler autour de Ben et de Willard. Celui-ci, recouvrant un semblant de lucidité malgré sa névrose, se rendra compte qu’on ne se défait pas aussi facilement d’une espèce aussi débrouillarde, et qu’il ne peut être question de la trahir.
Au final, on retiendra de Willard l’interprétation intense de Crispin Glover, et le côté insidieux d’une menace à la fois omniprésente et furtive. En somme, une bonne alternative aux films pour amateurs de petites bêtes velues qui grouillent un peu partout.

Grande déception.
Je met une étoile car le scénario est intéressant mais
malheureusement le reste est un foirrage total.
L'idée des producteurs de copié bêtement le film "Psychose" en y mettant un fils seul dans une grande
et vielle maison avec sa mère complétement à la masse,
c'est déjà pas très fut fut. Mais le pire c'est que l'acteur principal nous livre prestation très très, mais alors très MEDIOCRE . Anthony Perkins ce retournerait dans sa tombe ...
De plus le film est long, trop long, est l'histoire
des rats ne tient pas debout. Le petit rat blanc gentil (Socrate). Le gros rat noir et méchant (Bill)
voulant tous deux les faveurs de Willard etc etc ...
Le regarder en une fois croyez moi c'est dur .
Vraiment dommage, je ne me laisserai plus jamais avoir par un bon scénario ...