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    Du silence et des ombres
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    4,2
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    85 critiques spectateurs

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    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    On parle ici d'un film d'un peu plus de deux heures dont l'histoire ne commence qu'au bout d'une. Et lorsqu'elle commence, elle n'a rien de surprenant, si ce n'est qu'elle ne prend pas les facilités auxquels les films abordant le racisme aujourd'hui prennent. Cela étant dit, la première heure est la mise en place de personnages qui ne serviront à rien, d'un autre personnage tertiaire qui ne fera véritablement son apparition que dans le dernier quart d'heure et pour présenter un avocat sans émotion, trop lisse qui se doit de défendre un noir dans une Amérique toujours marquée par le racisme. On est dans les années 1960 et aujourd'hui, on en a bouffé des films comme celui-ci et en beaucoup mieux. On peut louer les mérites du film mais d'un point de vue technique, il n'y a pas grand chose de marquant. Même Grégory Peck est franchement moyen tant il est trop dans la caricature voire l'absence de jeu.
    Beta-0110-0001
    Beta-0110-0001

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Je l'ai regardé après avoir lu le livre, et c'est très bien comme ça, peut-être que le film seul ne se suffit pas à lui-même
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 juin 2021
    Du silence et des ombres est probablement l'un des films les plus surévalués de tous les temps. La première heure est absolument ennuyeuse à mourir interminable et finalement sans intérêt. Les scènes s'enchaînent de façon très décousue sans lien et l'histoire ne va nulle part. Il n'y a aucune âme et on est proche d'un électroencéphalogramme plat en regardant ces enfants jouer car c'est presque exclusivement de cela qu'il s'agit. Puis vient la deuxième partie qui traite principalement du procès. C'est ce qui sauve un peu le film et pourtant même si on se laisse plus ou moins emporter par les témoignages et les manifestations avec les thèmes sous-jacents du racisme et de la ségrégation le film reste faible qualitativement. Mais ce qui est le plus déconcertant c'est le manque de cohérence du long métrage avec l'association de deux parties qui n'ont presque rien en commun. On a l'impression de regarder deux films complètement différents une chronique d'une enfance et pamphlet antiraciste. On dirait simplement que le réalisateur Robert Mulligan ne pouvait faire un choix entre les deux thèmes...
    steevevo
    steevevo

    3 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2020
    Mulligan s'attache aux deux enfants de l'avocat chargé de défendre un "noir" accusé du viol d'une pauvre fille que son père bête et brutal défend bec et ongle. La majeure partie du film suit les enfants et toute la préparation du procès apparaît en arrière fond avec la thématique principale du film: le racisme. Les scènes de procès dans la dernière demie heure semblent en décalage, et à dire vrai le film tire en longueur et trouve difficilement son rythme. Gregory Peck est excellent en bon père droit et honnête. La dénonciation du racisme ne va pas très loin, mais on doit bien reconnaître que le cinéaste est habile à nous faire peur et à révéler le racisme ordinaire sans trop appuyer. Dans le fond, un très agréable film dans un joli noir et blanc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2020
    Je ne comprends pas pourquoi ce film est aussi mal noté
    J'aime beaucoup ce film
    Comme dans un Été 42 , le fil rouge de ce film,c'est encore trois enfants
    Ils sont plus jeunes
    Deux d'entre eux sont les enfants d'un avocat veuf et courageux qui va défendre un noir accusé
    d'avoir violé une fille blanche
    Mais l'histoire se passe au USA dans les années 30
    Ce film du grand réalisateur Robert Mulligan est vraiment beau
    Je pense même qu'on peut le voir en famille
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2019
    Exellent , ça fait du bien de deterrer ces petits joyaux. Tres bonne interpretation , des petites scenes de suspens ou on retourne en enfance pour des grandes aventures du genre aller dans le jardin du voisin.
    Enfin scenario poignant reflet d'une epoque ou black n'etait pas beautiful.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Sans avoir lu le roman, j’ai quand même senti que le scénario avait un peu de mal à trouver un équilibre entre fidélité et efficacité. On devine un foisonnement du matériau d’origine, qui n’est ici rendu que superficiellement. Je trouve donc le résultat un peu boiteux du point de vue du récit, mais les décors, les acteurs, la réalisation et la jolie séquence du procès en font quand même un très bon film.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 768 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2018
    Un film qui mélange les codes pour montrer les répercussions d'un mensonge raciste et les dérives d'un système corrompu à travers une mise en scène qui s'y appesantit par didactisme.
    Padami N.
    Padami N.

    59 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2018
    très beau film qui gardé son charme sur l'enfance et aussi sa force avec le plaidoyer d Atticus Finch .on se croirait dans un roman de Steinbeck ou Faulkner... même si il est adapté d'un roman au prix Pulitzer de 1961 contemporain au film.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    111 abonnés 2 335 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2018
    La réalisation n'est pas toujours à la hauteur de la narration et rend l'action parfois peu crédible.
    7eme critique
    7eme critique

    472 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2018
    "Du silence et des ombres" renferme un bon scénario, une belle mise en scène et des acteurs doués (que ce soit Gregory Peck ou bien les enfants), mais manquera de scènes fortes ou encore d'un rythme plus soutenu pour en faire une œuvre mémorable. Le film pourra paraître un peu long et mou, et ce n'est malheureusement pas la plaidoirie qui nous stimulera.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 582 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2017
    Récompensé par trois oscars, dont celui du meilleur acteur pour Gregory Peck, Du silence et des ombres est, avec Un été 42, l’un des films pour lesquels on se souvient le mieux de Robert Mulligan. Sorti en 1963, Du silence et des ombres fait partie de la série de sept films que le cinéaste a réalisé en collaboration avec Alan Pakula, alors producteur, collaboration qui marqua une période particulièrement faste pour Mulligan. Adaptation du best-seller d’Harper Lee Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur (également titre du film en version originale), premier et dernier opus de la romancière qui obtint au passage le prix Pulitzer, Du silence et des ombres effectue une plongée dans l’Amérique ségrégationniste des années 1930, vue à travers le regard de Scout, garçon manqué un peu surdouée à ses heures. Considéré aux États-Unis comme un film emblématique, Du silence et des ombres reste un peu méconnu en dehors du territoire nord-américain.
    A sa sortie française, après sa présentation au Festival de Cannes en mai 1963, le titre du film eût le même souci de traduction. Le titre orignal du roman et du film To Kill a Mockingbird fut traduit (adapté) par Du silence et des ombres. L’explication du titre est délivrée dans le livre comme dans le film. Le titre vient d’un proverbe américain : « It’s a sin to kill a mockingbird» (c’est un péché de tuer un oiseau moqueur). Selon la légende, l’oiseau moqueur est un oiseau qui aurait appris aux autres à chanter. Il pourrait chanter trente-neuf chants et imiter de nombreux sons.
    Cette métaphore de l’oiseau est filée tout au long du roman (et du film) pour souligner l’injustice qu’il y a de blesser des personnes innocentes ou sans défense. L’histoire du film est racontée du point de vue de Scout et de son frère. Elle fait entrer le spectateur dans le monde merveilleux et fantastique des enfants comme a pu le faire aussi La Nuit du chasseur (Charles Laughton 1955 d’après le roman de David Grubb). Des enfants qui finissent par perdre leurs illusions et découvrir le monde imparfait et hypocrite des adultes. Dès l’ouverture du film et son magnifique générique conçu par Stephen Frankfurt (il signa aussi ceux de Rosemary’s Baby, Network ou Superman) le spectateur pénètre littéralement dans la tête, l’imaginaire de Scout. Sur le thème principal composé par Elmer Bernstein, joué au piano note par note, la voix d’une petite fille chantonne et une main d’enfant ouvre une vieille boîte à cigares.
    La caméra plonge dans ce petit coffre à trésors rempli d’objets liés à l ‘enfance et les filme en très gros plans (on en retrouvera certains au cours du film). Un crayon (qui dessine des traits et griffonne le titre du film puis un oiseau) une montre à gousset (et son tic-tac), une épingle de nourrice, deux pièces de monnaie, deux figurines sculptées, une bille (qui roule pour en cogner une autre), un collier de perles, un harmonica, un sifflet... Et le dessin de l’oiseau se déchire, le film peut commencer et l’héroïne Scout Finch (en voix off) raconter son histoire : « Maycomb était une ville fatiguée même en 1932, quand je la connus... » Scout, fascinée d’imaginer les pires horreurs sur son voisin Boo Radley et curieuse de suivre le procès de Tom Robinson, jeune Noir accusé à tort de viol et défendu par son père, va finir par comprendre qu’ils sont tous les deux, des « oiseaux moqueurs ». Victimes innocentes des adultes, du racisme et de la société. S’il est un péché de tuer un oiseau moqueur, il en est de même de malmener les innocents que sont Tom Robinson ou Boo Radley. Derrière les apparences d’une peinture mélancolique de l’enfance, le film (et le roman) est aussi un pamphlet contre l’intolérance.
    Super fidèle au roman, Harper Lee assista en pleurs à la scène du plaidoyer d’Atticus (le père de Scout et donc d’elle-même) lors du tournage. Elle dit revivre la scène à ce moment-là. Ce père discret joué avec brio par Gregory Peck incarne un monde adulte conscient des injustices; un homme de conviction. Il est lien entre les deux récits (le procès et ce mystérieux voisin). Mais le cœur du film est le récit initiatique que ces trois enfants jouant perpétuellement à se faire peur vont vivre dans l’espace deux étés. Et c’est un peu de la perte de l’innocence de l’enfance qui passe dans ce film avec beaucoup de talent de douceur. Dans son traitement mais aussi dans son esthétique, ce film rappelle beaucoup « La nuit du chasseur ».
    Un très grand film sur l’enfance… le plaidoyer anti raciste bien utile en est relégué au second rang
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 août 2017
    Robert Mulligan, discret dans la machine Hollywoodienne, s’extirpe des rouages de la comédie afin d’amorcer un exercice de style qui lui convient parfaitement. Si ses précédentes œuvres ne suggèrent pas plus d’attention que cela, il est nécessaire de rappeler l’origine de son succès, qu’il tient dans une persévérance remarquable. Lui et son scénariste Horton Foote assurent l’adaptation du roman d’Harper Lee. Le premier détail qui frappe, et ce sera d’ailleurs le thème principal du récit, il s’agit du titre français. Mettant en avant un travail soutenu au niveau de la photographie, la réalisation ne dénaturera pas non plus l’authenticité du titre, qu’est « To Kill A Mockingbird ». On se penche rapidement dans un jeu de repères symboliques, où l’on ne relâchera jamais la pression sur les enjeux que chaque protagoniste aura à éprouver.

    Commençons chronologiquement avec l’âge innocent et influençable qu’illustre l’enfance. Jem (Phillip Alford) et Scout (Mary Badham), sont respectivement frère et sœur, âgés de dix et six ans. Ils définissent avant tout le support scénaristique privilégié dans toute réalisation universelle, afin que l’empathie se partage plus aisément à leur égard. On prend alors le temps d’installer l’archétype du fantastique que tous les jeunes esprits savent pleinement exprimer. Le quartier se transforme en air de jeux mettant en valeur les peurs enfantines. La saison des vacances dont ils profitent leur permet également de conter et d’explorer les rumeurs de personnalités « fantomatiques ». Arthur ‘Boo’ Radley joue cet intermédiaire et suscite bien des réflexions quant à la véracité de ce qui se raconte. Bien entendu, la vivacité de l’esprit, alliée au recul nécessaire, est de rigueur afin de préserver l’âme d’êtres en pleine construction mentale.

    Puis peu à peu, la distance avec la réalité se mesure à travers leur éducation. Il s’agit également d’un élément complémentaire dans la lecture d’un drame. On assume pleinement le regard subjectif d’un enfant lorsqu’il est face à une force qui le dépasse. Ici en l’occurrence, l’enfant bute sur l’approche de l’âge avancé qui n’est pas toujours synonyme de sagesse. Malgré tout, leur père soutient cette figure et les guide avec rationalité et honnêteté dans un monde indomptable. Atticus Finch (Gregory Peck) est cette figure paternelle et autoritaire qui œuvre pour la justice de tous les hommes sans exception. A partir de ses principes, forts en charisme et en efficacité, chacune de ses interventions à l’écran est d’une fulgurance bluffant. On y croit en cette éducation, valorisant les valeurs qu’il amène avec un soupçon de réalisme aux yeux de ses enfants. Et bien qu’il ne rompe pas entièrement la frontière de l’imaginaire qui les font vivre, il respecte leur volonté et leur intimité de découvrir un monde plein de surprises.

    Cependant, la famille se trouve rapidement confronté à la violence engrenée par le procès de Tom Robinson, un noir. Tout comme l’école que l’on évoque à peine, on découvre que Scout est constamment en pleine révolte contre son enseignante. Cela se réfère principalement à la divergence des points de vue entre elle et son père qui s’opposent distinctement. Ce qui est dommage, c’est d’avoir sacrifié cet aspect qui aurait sans doute illuminé quelques zones brouillées et discrètes du récit. Cela dit, tout se ramène à la cohabitation d’un univers d’enfants et d’un univers d’adultes, que l’on transpose respectivement dans la cabane et la maison. Quand vient le procès, la scène où le débat fait rage entre les prétendues victimes et l’accusé n’est rien d’autre qu’un lieu de neutralité morale. C’est ce que l’on aimerait penser bien entendu, or la réalité se redessine à travers le contexte d’une ségrégation encore vivante. Les plans séparant le camp des noirs et le camp des blancs sont clairement exposés. Remarquons d’ailleurs qu’aucun enfant de couleur n’est scolarisé auprès des enfants Finch, un argument qui prend plus d’impact et de sens dans ces circonstances. Tandis que le soutien de l’accusé manque de visibilité, les opposants occupent une grande partie de la salle, venant renforcer une haine aveugle qui n’entendent ni la raison, ni la justice.

    C’est à ce moment où l’on imbibe le regard d’un enfant dans la réalité et la cruauté que la vie amène et emporte avec elle. Le contraste avec la vision d’adultes expérimentés les laisse autant perplexe que nous autres observateurs objectifs, bien que certains se simplifient la tâche en restant conservateurs sur des valeurs déshumanisantes. La réponse que l’on cherche à atteindre durant l’intrigue n’est pas remis en cause avant le dénouement, exposant les faiblesses des principes d’Atticus. On y démontre que le silence parfois plus légitime que de s’engager dans une cause que l’on estime juste. On franchit les limites de la raison et des droits civiques, afin de mieux appréhender le parcours initiatique que le procès a déclenché.

    Ainsi, « Du Silence et des Ombres » raconte avant tout le plaidoyer contre la ségrégation raciale et l’injustice qu’elle fréquente encore de nos jours, même si elle proposait davantage de sens à l’époque. Ainsi, par sa technicité, sa sobriété, sa maîtrise et sa dextérité dans le discours, il convainc le premier auditoire que sont les spectateurs. La métaphore de l’oiseau moqueur, espèce nuisible pour les récoltes et inoffensive pour autrui, gagne en impact aussi bien sur la scène du procès que dans le quartier où vivent les Finch. Atticus partage deux mondes et se heurte aux limites de ce qui l’humanise. On titille suffisamment les propos dans une mise en scène qui se veut bavarde, mais qui aura le mérite de satisfaire l’œil et la conscience dans une ambiguïté pédagogique et universelle.
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2017
    Au travers du regard d’une fillette de 6 ans et de son frère de 10 ans, dans une bourgade ennuyeuse d’Alabama en 1932, le film raconte un enchainement d’événements sur deux ans, avec pour point d’orgue le procès d’un ouvrier planteur Noir accusé d’avoir battu et violé une jeune fille Blanche.
    Si le film semble s’éterniser sur les jeux, observations et actes d’enfant du début, la mise en place des interdépendances événementielles trouve bientôt toute sa finesse dans le télescopage entre les gamins prodigues, leur père, veuf et avocat, chargé de la défense de l’accusé, l’apparent idiot du village, et le bon sens d’un shérif qui croit plus en la paix qu’en la loi. Clairement politisé par cet aspect et par celui du militantisme pour les droits des Noirs à la grande époque de Martin Luther King, cette captivante et touchante aventure de 1962 frise l’hérésie dans un pays si hypocritement puriste et légaliste.
    Entre une communauté rurale Blanche du Sud, raciste et ruinée par la crise, et une Noire vivant encore dans l’inertie servile du 19ème siècle, ce drame humain, social et familial, servi par un fringuant Gregory Peck et un tout jeune Robert Duvall, nous embarque dans la dénonciation d’une justice ségrégationniste, et dans l’apologie de la morale et du bon sens sur la mathématisation tragique de la loi.
    Shephard69
    Shephard69

    287 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2017
    Adapté du célèbre roman d'Harper Lee "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur", un superbe film qui adopte le point de vue de deux enfants pour évoquer, pendant les années 30, à travers le procès d'un homme noir accusé d'un viol des thèmes comme la discrimination, la différence, le racisme mais aussi l'intégrité et le sens moral. Assez proche du long-métrage de Siney Lumet "12 hommes en colère", l'originalité de l'écriture en moins avec quelques ficelles de narration un peu grossières ainsi que quelques longueurs pesantes, une oeuvre touchante, puissante dans laquelle Gregory Peck incarne une magnifique figure paternelle et héroïque. Du grand cinéma.
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