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James Ivory ajoute un nouveau chapitre à sa saga des Américains de Paris, qui va de Quartet à La fille d'un soldat ne pleure jamais, en passant par Jefferson. Cette fois-ci, il signe une comédie de moeurs contemporaine, rapide et légère, chic comme le sac Kelly qui lui sert d'emblème, un peu inconsistante, mais avec quelques portraits bien croqués et de délicieuses balades dans Paris.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Il faut dire que James Ivory semble croire que la richesse de ses bourgeois de personnages suffit à leur conférer immédiatement légèreté. Si bien que ce qui aurait pu être une charmante fantaisie ne paraît que vacuité capricieuse.
Ce vingt-cinquième long-métrage de James Ivory se situe pour l'essentiel à Paris et tente de capter l'esprit français comme un subtil éther nimbant chaque geste, phrase ou civet de lapin. (...) un nouveau ratage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaroscope
James Ivory ajoute un nouveau chapitre à sa saga des Américains de Paris, qui va de Quartet à La fille d'un soldat ne pleure jamais, en passant par Jefferson. Cette fois-ci, il signe une comédie de moeurs contemporaine, rapide et légère, chic comme le sac Kelly qui lui sert d'emblème, un peu inconsistante, mais avec quelques portraits bien croqués et de délicieuses balades dans Paris.
MCinéma.com
Il faut dire que James Ivory semble croire que la richesse de ses bourgeois de personnages suffit à leur conférer immédiatement légèreté. Si bien que ce qui aurait pu être une charmante fantaisie ne paraît que vacuité capricieuse.
TéléCinéObs
James Ivory a été jadis mieux inspiré, mais que diable ? C'est joli à regarder.
Télérama
Une comédie luxueuse et futile cultive le kitsch avec un tel aplomb qu''elle en devient attachante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Ce vingt-cinquième long-métrage de James Ivory se situe pour l'essentiel à Paris et tente de capter l'esprit français comme un subtil éther nimbant chaque geste, phrase ou civet de lapin. (...) un nouveau ratage.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com