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Fêtons le cinéma
702 abonnés
3 053 critiques
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1,5
Publiée le 21 mai 2021
The Fly II ne conserve de son aîné que sa trajectoire horrifique, rendue machinale par la dégradation physique du personnage principal dont les mutations nous sont connues d’avance et n’atteignant jamais l’effroi clinique et organique du film de David Cronenberg. La romance s’avère des plus convenues, tombe sur l’intrigue scientifique comme un cheveu sur la soupe, n’apporte rien sinon quelques plans érotiques et un cadre propice à la montée d’une tension déjà observée, mais en mieux. La filiation se voit martelée par des références lourdement amenées et des extraits vidéo de Brundle père parlant à la caméra ; voilà l’écueil principal contre lequel bute le présent long métrage : son absence de vision personnelle et sa génuflexion devant la prouesse et l’innovation du volet original. À quoi bon alors mettre en chantier une suite ? Ah oui… l’argent.
Il est toujours difficile de passer derrière un chef d'oeuvre surtout que cette suite prend la direction de la serie B pas désagréable mais anecdotique.Confié à un specialiste des effets speciaux, le film fait la part belle aux trucages et surtout aux maquillages et animatronic toujours aussi réussi avec la fameuse transformation en mouche même si certains effets sont raté ( le chien).Par contre le scénario ne vole pas haut et ose même un happy end déplacé et grotesque.
Une bonne suite tout aussi dérangeante que le premier film voir même un peu trop (Scène du chien).Mais quelques incohérences gâche un peu le film.Dommage mais tout de même regardable.
Une suite navrante au film culte de David Cronnenberg réalisée par Chris Walas !!! Saturn Award pour le Meilleur film d'horreur, pour le maquillage et pour la musique, en 1991. Avec Eric Soltz ( Pulp Fiction, Jerry Maguire, Anaconda, le prédateur , Les lois de l'attraction, l'Effet Papillon) , Daphne Zungia ( la série TV Melrose Place, la Folle Histoire de l'espace de Mel Brooks, la série TV Les Frères Scott) , Lee Richardson ( Le prince de New York de Sidney Lumet , L'excorsite , la suite, Contre-Enquête de Sidney Lumet, Une étrangère parmi nous de Sidney Lumet) , John Getz ( la Mouche, Sang pour Sang, The Social Network de David Fincher , Jobs , le biopic sur Steve Jobs avec Asthon Kutcker , un acteur qui a du potentiel ) !!!
D'habitude, je vois souvent les suites après un précédent considéré excellent ou un chef d'oeuvre bien raté. Mais celui, il tient vraiment la route. Certes, il n'est pas aussi bien que le premier mais celui-ci reprends bien quelques ingrédients bien exploité dans le second. Le scénario est vachement bien pensé, il y a de l'idée, il y a une vision du réalisateur qui est pas mal du tout et on retrouve un peu une certaine nostalgique qu'on le sent dans le premier. Casting d'acteurs pas trop mal dans l'ensemble. Je ne cache pas qu'on est aussi transporté que dans le précédent. Pour les âmes sensibles, il vaut mieux s'abstenir, il y a des scènes bien gores. Quelques longueurs d'ennuis mais la fin rattrape tout. Du maquillage bien utilisé. Des effets spéciaux pas trop mal. Une très bonne fin. Bref, j'ai envie dire que pour l'instant que c'est la meilleure suite après un chef d'oeuvre.
Il faut reconnaitre qu'il y a de quoi être séduit au premier abord par cette "Mouche 2". En effet, l'ambance et la mise en scène s'avèrent vraiment soignées, et l'ambiance assez étrange parvient vraiment à faire son effet. De plus, le film semble vouloir se diriger vers une autre direction que le précédent opus, avec un scénario apparemment plutôt remanié. Hélas, la suite ne tient pas la distance, l'histoire s'avérant être quasi-identique à la précédente sans lui apporter vraiment quoi que ce soit de nouveau. Reste quelques belles idées de mise en scène qui permettent tout de même de capter notrez attention, et cela même si l'inévitable histoire d'amour s'avère assez prévisible bien que pas aussi terne que l'on aurait pu s'y attendre. Car on reconnaitra également à Eric Stoltz et Daphne Zuniga une certaine fraicheur permettant au film de garder un certain sens. Dommage alors que Walas aie jugé utile de terminer sur une course-poursuite de près d'une demie-heure certes plutôt bien foutu mais qui sent tout de même fortement le "sous-Alien de série B". On a en prime un déchainement de violence peu ragoutant (certaines scènes vraiment gores font leur effet mais quelle utilité en définitive?) qui poussent le film à descendre à un niveau qui était pourtant resté assez honnête jusque-là. Et que dire de cette fin assez navrante (même si le réalisateur avait eu la décence de nous y préparer en milieu de film en l'évoquant), mais malgré tout cela arrive tout de même une sorte de vague contrôle sur l'ensemble, faisant que certaines scènes (encore!) permettent à l'ensemble de ne pas perdre tout intérêt. Voila donc une suite au fond assez inutile et qui est loin d'être exempte de tout reproche, mais qui aura au moins eu le mérite d'offrir une mise en scène soignée et quelques jolie idées, et cela ne serait-ce que pendant la moitié du film. On s'en contentera.
Cette suite de "La Mouche" sorti en 1989 et réalisé cette fois par Chris Walas est nettement moins bonne que le premier. On suit cette fois le fils de Brundle Mouche, Martin, qui est élevé dans un laboratoire et qui grandit à une vitesse phénoménale et il reprend les travaux de son père sur les télé-porteurs mais les gènes hérités de son père vont vite refaire surface. Le scénario n'est donc pas vraiment original et sonne vraiment être écrit pour faire une suite facile qui surfe sur le succès du premier. La surprise n'est donc pas au rendez-vous car on devine très vite la fin et les personnages ne sont dans l'ensemble pas très recherchés et assez clichés. La trame de l'histoire tient quand même assez la route et c'est tout de même sympathique de suivre les aventures de ce personnage et de plus, le film est bien rythmé et on ne s'ennuie pas. Pour ce qui est des effets spéciaux, ils sont bons, voir même très bon mais le costume pour spoiler: la mouche géante était beaucoup plus réaliste et dégoutant dans le premier. Du côté des acteurs, nous avons Eric Stoltz, le Marty McFly original de "Retour vers le Futur" qui joue plutôt bien, Daphne Zuniga et Lee Richardson qui jouent eux aussi assez bien. "La Mouche 2" n'est donc pas génial et surtout pas très utile au premier mais il se laisse malgré regarder par simple plaisir.
On aurait aimé contempler des scènes aussi fortes que celle de "La Mouche" dans le fade successeur sorti en 1989 et réalisé par le pâlichon Chris Walas. Le film nest pas un navet, soyons honnête, mais il se contente de reproduire peu ou prou la structure narrative du film de Cronenberg en la déplaçant dans le temps - un enfant est né de lunion susmentionnée et celui-ci, atteint dune maladie qui le fait vieillir rapidement en faisant un adulte surdoué à lâge de cinq ans, souffre des mêmes mots que son père et va essayer de refaire fonctionner la machine à téléporter dans le but de réussir la fusion qui le sauverait. Ce film est un film dhorreur moyen, tout à fait regardable, mais absolument incomparable avec son géniteur qui est, lui, exemplaire dans sa mise en scène et dérangeant dans ses thèmes abordés.
Bien moins percutant que la première partie, La Mouche 2 ne vaut que pour la clôture de la malediction familiale et de l'hérédité. Malheureusement tout est convenu et peu intéressant quand on connait la qualité du métrage de Cronenberg.
Un film d'horreur bien particulier, dans l'ensemble je n'ai pas trop aimé. Le scénario ne m'a pas captivé plus que ça, le film devient rapidement un petit survival assez gore et bête et méchant. Les acteurs ne m'ont pas marqué plus que ça. Bon le film a quand même le mérite de dénoncer les volontés de profits à des fins douteuses sur le thème de la modification génétique. Je n'ai pas vu le film original, mais franchement cette suite ne m'en donne pas l'envie
une très mauvaise suite. la mouche est pitoyable, l'histoire débile, les effets-spéciaux ridicule. on croirait voir un téléfilm pourri sur M6. petite parenthèse pour eric stolz quand meme. sinon je conseille a film a personne, sauf pour les amateurs des navets.
Dans le genre "gros nanar qui tâche", celui-là, il est pas mal. La bestiole semble tout droit sortie d'une soirée disco trop arrosée, les acteurs sont complétement perdus et grimacent à tel point qu'on a envie de leur filer des laxatifs, le scénario a été probablement concoté par des gars trop malades pour être admis à Sainte-Anne et le "twist" final, mémorable de connerie amphigourique, vous fera marrer encore le lendemain matin. Parce que, quand le méchant est puni en devant ramper, habillé d'un matelas Epeda enroulé autour du corps à l'aide d'un collant géant rose chair (il ressemble au bonhomme Michelin d'ailleurs), et qu'il voit une mouche venir se poser sur sa gamelle en signe d'ironie suprême...alors là, c'est énorme.
Il est grand temps de réhabiliter ce film mal aimé et surtout mal connu . Pas directement réalisé après le film de Croneneberg mais en 1989 il n a pas à rougir de son aîné. Une suite plutôt originale vu les événements de la fin de "The Fly " on se demande à chaque instant jusqu'où le scénariste va nous amener . Le final est effectivement inattendu et pour le coup met un terme à des possibilités de suite .
Une fois qu'on part du principe que le film sera de toute façon une exécrable suite commerciale, on ne peut plus guère y trouver que des qualités. Le film de Cronenberg a ici été repris par son responsable des effets spéciaux. Résultat : une bonne continuité dans le gore, des effets exhibés et un lien de plus en plus flou avec le fameux diptère, ce qui a aussi sa part avantageuse car c'est une autre histoire qui commence. Dans cette histoire, on peut constater avec une certaine satisfaction que la créature garde un fort côté humain ; un fil rouge inhabituel pour un scénario aussi brutal qui s'avère miraculeusement une bonne recette. Hélas, à part ces quelques points forts, il n'y a pas grand-chose d'autre que de piètres acteurs et un petit budget. Le comble est atteint quand les personnages annoncent qu'ils ne savent plus quoi faire ; un aveu qui reflète bien l'impasse que représente cette oeuvre.