Derniers Avis sur La Poursuite dura sept jours

« La Poursuite dura sept jours » est un « petit » western plutôt original que j'ai trouvé plaisant car il se développe plusieurs thèmes avec des Tuniques bleues, de l’infanterie, des Indiens et une maladie mystérieuse. Guy Madison, dans le rôle principal, offre une performance sobre mais convaincante. James Whitmore est très bon, et j'ai particulièrement apprécié le personnage du colonel, qui apporte une certaine profondeur au film. Le scénario brille surtout pour son action et son dynamisme et tout l’aspect stratégique développé par le capitaine pour contrer les Indiens. L'histoire d'amour, bien que secondaire, est moins intéressante, mais cela reste un détail dans un film par ailleurs vif et sérieux. Sur le plan technique, le film est bien réalisé avec de beaux paysages et une mise en scène qui offre de superbes chevauchées. La scène de la charge depuis la montagne est particulièrement mémorable. Bien que le réalisateur montre quelques lacunes en matière d'action pure, le film est globalement une jolie surprise, avec une bande son appropriée.

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Un bon western qui vaut principalement pour son scénario intéressant et peu convenu. Les scènes de bataille sont également réussies.

un western qui reste assez peu connu et pourtant il reste pour ma part tres plaisant

un scenario original ( melant action romance suspence ) des prestations d acteurs qui restent de bonne factures

des dialogues ( parfois avec un brin d humour ) et des scenes assez bien rendue a l ecran ( la derniere bataille avec les indiens mais aussi les assaults de ceux ci sur le cortege sont bien filmes je trouve

le film est en cinemascope qui pour l epoque est revolutionnaire et qui reste appreciable pour les decors
grandioses

un vrai plaisir et un vrai belle decouverte pour ma part

Premier film tourné en Cinémascope par la Warner Bros, " La poursuite dura sept jours" raconte les mésaventures d'un médecin qui se voit contraint de prendre le commandement d'un convoi militaire alors qu'il s'apprête à traverser un territoire indien. L'ensemble se suit avec un certain intérêt grâce à une histoire plaisante et une mise en scène assez percutante, comme en témoigne l'attaque finale entre les indiens et la cavalerie qui s'avère bien prenante à suivre. Les comédiens ne font pas forcément une performance extraordinaire (notamment en ce qui concerne Guy Madison que l'on sent pas trop impliquer alors qu'il possède le rôle principal), mais cela n'empêche pas de passer un moment tout à fait sympathique devant ce western qui possède en plus une photographie qui ne manque pas d'élégance.

Un Western méconnu réalisé par un cinéaste inconnu avec des acteurs peu connus , on a peur du pire et ce film est médiocre !! Réalisé en 1952, "La poursuite dura sept jours" mélange de façon original le genre Western avec la médecine, pour ma part, ça n'a pas fonctionné. Le médecin d'une cavalerie Américaine prend le commandement suite à la convalescence de son supérieur. Les hommes sont méfiants envers cette hiérarchie, les Indiens les encerclent et une épidémie de varicelle, de vérole se propagent chez quelques malades. Pour faire ce long métrage, le metteur en scène David Butler disposait de bons moyens pour faire quelques choses de bien, des batailles avec une belle photographie et la musique sensationnel de Dimitri Tiomkin A part ça, l'histoire patine avec la médecine, soigner les blessés et autres, c'est pas très emballant tout ça de plus que les acteurs ne sont pas très bons. Vous pouvez passer votre chemin.

Un petit western pas révolutionnaire en effet, mais qui n’est pas non plus ingrat, loin de là. Les amateurs de film d’aventure devraient trouver leur compte, et ça fait plaisir de voir des Tuniques bleues à l’écran, aujourd’hui ce n’est plus trop le cas !
Le casting ne présente pas de grosses stars du genre, et le héros est campé par un Guy Madison sobre mais assez convaincant. Il mène relativement bien la danse, mais se fait parfois piquer la vedette par des seconds rôles plus typés, et plus marquants en fait. James Whitmore est très bon par exemple, et j’ai bien aimé aussi le personnage du colonel, d’un caractère qui tout de suite donne du relief à un film. L’acteur, peu connu, est à la hauteur. Seule présence féminine marquante, Joan Weldon n’est pas spécialement mémorable, mais elle a un physique, et en dépit de son rôle assez ingrat (assurer le quota féminin du film), elle parvient parfois à retenir l’attention.
Le scénario est surtout intéressant pour son action et son dynamisme. On ne s’ennuie pas devant le spectacle, et il y a de bonnes idées, notamment dans le final. L’histoire d’amour est plus encombrante qu’autre chose, et vu le traitement que le réalisateur lui donne il devait avoir le même avis, mais c’est un élément de détail. Pour le reste La Poursuite dura sept jours est un métrage vif, plutôt sérieux, qui n’échappent pas aux lourdeurs du genre (un certain manque de réalisme tout de même !), et aux facilités, mais qui se présente comme un film d’aventure à l’ancienne, et qui en la matière conserve tout son intérêt.
Sur la forme la principale critique que je ferai consiste dans une figuration un peu restreinte, qui vu l’ambition du projet est forcément un handicap sur lequel il est difficile de passer purement et simplement. Pour le reste il y a de beaux paysages, la mise en scène sait être ample et présente de belles chevauchées et la prise de hauteur permet aussi de bien se rendre compte des manœuvres. La séquence de charge depuis la montagne vers la fin est assez marquante tout de même. Après c’est vrai qu’au niveau de l’action pure, le réalisateur présente certaines lacunes, mais le film reste lisible est agréable, avec une bande son martiale pas mémorable mais dans le ton du film.
Franchement, La Poursuite dura sept jours est un film d’aventure à l’ancienne proprement fait, et pour le moins séduisant si on est un minimum sensible au genre. J’ai trouvé le résultat plus que satisfaisant en tout cas, surtout que sans star et avec un réalisateur méconnu aux commandes, on pouvait craindre le pire ! 3.5

Pur manuel de technique et de stratégie militaire à l'époque des Amérindiens et des Cow-boys, The Command ou "La poursuite dura 7 jours" ne révolutionne absolument pas le genre western. Il le complète, sans véritablement engouement ni intrigue véritablement passionnant. On s'ennuie alors très rapidement préférant les longues scènes de dialogues (planification d'une stratégie, surveillance...) que de passages à l'action. Probablement, le seul fait intéressant du film, Guy Madison qui campe le (faux) rôle de Capitaine alors qu'il n'est qu'un simple médecin doit également s'occuper d'un cas de maladie qui semble contaminer les civils. Bref, un certains nombre de choses intéressantes qui ne dépassent pas le cadre de l'essai. L'aspect technique est rudimentaire. Rien de nouveau sur ce côté donc.

L'histoire d'un convoi au travers des troupes indiennes avec une petite trame romantique et un problème de contagion au sein des civils. Western assez massacreur avec un point de vue unique sur les troupes américaines. Il s'en suit de longues batailles assez bien filmées et efficaces. La relation entre le jeune docteur et la femme est au coeur de ce western agréable, mais sans plus car je trouve que cette romance affadit un peu le tout.

Pas mal, c’est tout ce qu’on peut dire car seul le scénario est original, la réalisation elle étant d’une grande platitude avec des longueurs injustifiées. Guy Madison est transparent comme médecin, un peu plus consistant en capitaine improvisé mais totalement décevant en amoureux. Il est presque dommage de ne pas entendre chanter Joan Weldon, si sa voix est à la hauteur de sa beauté, on y a perdu. Le mérite de ce film provient de l’affrontement des colons soutenus par l’armée, cavalerie et infanterie réunies, contre des tribus indiennes s'alliant suite à la bataille de Little Big Horn. Il y a de belles et longues chevauchées. La stratégie mise en place par McClaw est intéressante mais je doute de son efficacité si les événements eussent été réels. La façon de combattre des indiens jugée réaliste en 1954 est en fait assez timide, d’autres metteurs en scène ont fait ou feront beaucoup mieux. Par ailleurs, les ''peaux rouges'' sont considérés comme des sauvages. Non seulement c’est dit, mais aucun d’eux n’aura droit à une présentation ou une prise de parole. Comme les animaux, il faut juste prendre garde à ne pas les contaminer avec des microbes qu’ils ne connaissent pas et encore c’est un médecin qui l’affirme.