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cylon86
2 519 abonnés
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3,0
Publiée le 20 juillet 2016
Longtemps considéré comme le dernier opus de la saga "Rocky" avant son retour dans "Rocky Balboa", "Rocky V" marque un certain assagissement pour le boxeur. Disons en tout cas qu'on y retrouve la simplicité des deux premiers films avant que la saga ne parte vers le grandiloquent et verse dans le patriotisme américain dans l'épisode 4. Ici, Rocky se retrouve avec des lésions dues à son combat contre Drago et un mauvais placement d'argent le ruine, le contraignant à retourner vivre dans son ancien quartier. C'est là qu'il prendra sous son aile un jeune poulain, délaissant alors son fils qui n'admire que lui, puisqu'il ne peut plus boxer. Sans être renversant, ce cinquième opus a le mérite d'effectuer un certain retour aux sources tout en laissant Stallone y exprimer tout l'amour qu'il éprouve pour son fils, aussi bien à la ville qu'à l'écran puisque c'est son propre fils qui joue celui de Rocky. Par le biais d'un émouvant flash-back avec Mickey, le thème annoncé est celui de la paternité et de la transmission mais comme dit Adrian, tout le monde n'a pas le cœur de Rocky qui finira par devoir affronter son poulain dans un combat de rue intense à la réalisation nerveuse. Écrit avec amour par Stallone qui connaît ses personnages mieux que quiconque, "Rocky V" est un retour aux sources un brin naïf mais sincère et il faut bien avouer que c'est bien pour cela que l'on aime Rocky.
ce film est le moins bien de toute la saga . L'histoire est pas intéressent , le film est long , lent et ça ne passionne pas vraiment . 2 étoile car c'est quand même Rocky et toujours un plaisir de le revoir . sa relation avec sont fils est intéressant mais sinon y a pas beaucoup de chose bien .
Rocky V, tente de renouer avec les origines de la saga. Notamment en laissant l'aspect "bling-bling" de côté. Rocky se retrouve fauché et inapte à la boxe, il retourne donc dans son quartier. Seulement la magie et l'alchimie des deux premiers film n'opère plus et le film tombe dans la caricature.
Retour au sources des origines de la sagas avec l’ambiance des deux premiers films qui avait perdu depuis le troisième épisode, un film très bon et touchant, il est souvent considéré comme le pire de la saga mais n'allez pas croire ce que dit les gens qui critique ce film de façon négative.
Véritable retour aux sources (Balboa redevient pauvre, retrouve la rue et son petit chapeau), histoire de boucler la boucle, confirmé par la présence de John Avildsen, réalisateur du Rocky originel, cet épisode est sans aucun doute le moins utile des films de la saga, le plus faible et le plus critiqué ; il est vrai qu'on peut y voir une facilité dans les relations entre père et fils, de l'émotion souvent forcée ou mal calibrée, et aucun combat sur le ring pour Rocky qui se contente d'un street fight assez original, et pourtant en dépit du fait qu'il utilise toujours le même schéma, il ne m'a pas laissé complètement indifférent, même si je lui préfère les opus 3 ou 4. L'excellente BO rythmée par le "Keep it up" de Snap, le "Go for it" de Joey B. Ellis ou le "Measure of a man" en générique de fin par Elton John, s'inscrit dans son époque de réalisation, et s'accorde au scénario de Sly qui insiste plus sur l'émotion et les désillusions du champion.
Cet opus est plus faible. L'âge avançant on découvre une lésion au cerveau de Rocky ( là encore on s'inspire de l'histoire vraie et de la maladie de Mohamed Ali). Son combat va lors être double, combattre la maladie et prouver qu'il est le meilleur. Le film est parfois un peu long, une mise en scène trop fade, Plus beaucoup d'intérêt si ce n'est de retrouver Stallone, toujours attachant.
Malgré tout le charme que je puisse lui trouver le passablement ridicule "Rocky IV" est le seul opus auquel je n'accorde pas la moyenne, et j'avais logiquement très peur de ce cinquième opus, étirement scénaristique oblige (mis à part le second, chaque "Rocky" fut pour moi un peu moins bon que son prédesseceur) mais aussi parce que ce film est le plus mal-aimé du grand public. Au début je trouvais cela pas mal sans plus, l'élément perturbateur m'apparaissait comme un prétexte à tirer encore un peu plus sur la corde, et pourtant, j'ai progressivement retrouvé dans ce cinquième opus ce qui faisait le charme du tout premier et bien que je n'approuve pas la fin, à l'arrivée du générique le constat est sans appel: j'adore "Rocky V". Je le place volontiers au niveau des deux premiers, peut-être même un léger cran au-dessus. Stallone opère un vrai retour aux sources au niveau du scénario, d'abord en ramenant les personnages à leur situation d'origine et dans leur quartier d'origine, puis en renouant avec un aspect de la saga qui s'était quelque peu égaré lors des deux précédents, la leçon d'humilité. L'intrigue tournant autour de l'évolution de Rocky d'élève à maître (à laquelle "Million Dollar Baby" doit pas mal, soit dit en passant) met également en lumière un aspect du personnage que l'on ne connaissait pas, sa facette la plus humaine. Beaucoup semblent se plaindre de l'absence de véritable combat final sur un ring, je trouve au contraire dommage que le film se sente obligé de suivre encore cette vieille règle de l'affrontement final, celui-ci étant clairement de trop dans le développement du personnage et même s'il n'est pas désagréable à suivre, il est loin d'avoir l'impact des combats des précédents et comporte même son petit lot de ridicule. Mais mis à part cette réserve, "Rocky V" s'est révélé l'opus le plus riche jusque là, et aussi l'un des plus touchants.
Le moins réussi car Rocky boxe moins... mais c'est une très bonne bonnes idée son retour dans les quartiers sinistres de ses débuts. Rocky redevient très humain avec ses emmerdes, sa santé déclinante, sa pauvreté qui réapparaît... Le combat de rue final est ahurissant et Stallone confirme qu'il est un formidable acteur. Beaucoup de séquences émouvantes et un superbe générique de fin.
Enfin ! Rocky retrouve un vrai scénario très différent des autres épisodesspoiler: (c'est d'ailleurs le seul à ne pas se terminer par un match de boxe mais par un combat de rue) . En 1990, Sylvester Stallone est toujours une star mais ces films n'atteignent pas le même succès que le dyptique Rambo II/Rocky IV. Même Rambo III a vu son résultat aux États-Unis divisé par trois par rapport au second volet. Stallone commence donc à se remettre en cause et à réaliser qu'il peut retomber aussi rapidement qu'il est monté. Comme à chaque étape de sa carrière, il décide de retourner vers son boxeur fétiche et décide au passage de clore la série en essayant de retrouver la magie du premier épisode. Il retrouve donc John G. Avildsen à la réalisation (qui remonte d'ailleurs complètement le match Balboa/Drago) et, contrairement à Rocky IV, rappelle Bill Conti à la musique même si une grande partie de la bande originale est constituée de morceaux rap permettant de montrer le changement d'époque par rapport au film d'origine. Avildsen amène une réalisation jouant moins sur les grosses ficelles que les deux épisodes précédents et privilégiant à nouveau les scènes dramatiques. Il faut d'ailleurs noter que ce ne fut pas lui qui réalisa le combat final mais Sylvester Stallone lui-même suite à un différent artistique avec la productionspoiler: (Avildsen voulait tourner la fin du scénario d'origine prévoyant la mort de Rocky, dénouement que la production refusa finalement, et refusa de filmer celle qui se trouve désormais dans le film) . Ce retour aux origines de la réalisation s'associe à une même volonté au niveau scénaristique. Désormais, Rocky perd tout son argent à cause d'un comptable véreux et ne peut plus reprendre le chemin des rings suite au diagnostique de lésions cérébrales causés par ses différents combats. Revoyant dans un jeune boxeur son propre passé, il en arrive à négliger son fils qui ne demande que sa présence. A travers ce scénario, Stallone réoriente la saga vers un ton plus sensible et plus familial qui rappelle le film de 1976 et qui souligne ses doutes sur son propre comportement. Bien que le trait soit un peu plus gros que dans l'original, cela fait plaisir de retrouver une véritable histoire avec de véritables personnages, même si le promoteur George Washington Duke est une caricature un peu exagérée de Don King. On apprécie notamment le fait de montrer que Rocky, dans sa volonté de retrouver sa gloire passée à travers son poulain, est le seul à ne pas rendre compte qu'il perd involontairement ce qu'il pense définitivement acquis, à savoir l'amour de son fils, joliment interprété par le propre fils de Stallone, Sage, né l'année de la sortie de Rocky. A propos du personnage de Rocky Jr., il faut souligner que les problèmes de cohérences d'âge sont les mêmes que pour Rocky IV, mais cela n'affecte pas pour autant le film en lui-même. Malgré ses bonnes intentions, Rocky V fut l'épisode qui rencontra le moins de succès, le public ayant sûrement l'impression qu'on tirait trop sur la corde. Ce beau film (et son générique final résumant toute la saga) marque donc la fin de la série... pendant 16 ans.
Quel plaisir de retrouver notre Rocky loser !! Problèmes de santé, retraite forcée, déboires financiers, débuts d'entraîneur chaotiques, difficultés avec son fils... tout est réuni pour mener la vie dure à notre boxeur fétiche !! Et on en redemande car on l'adore comme ça, naif et touchant !! Quel bonheur vraiment !! La petite boule au ventre à l'idée que ça se termine !! Merci encore Sly pour tout le rêve que tu nous a apporté grâce à ton Italian Stalion !!
Après un quatrième volet aux relents patriotiques très appuyés en pleine Guerre Froide, ce Rocky V amorce un retour à l'esprit des débuts, celui de la dèche et de la volonté de s'en sortir, retrouvant le fond social qui avait été l'assise d'un formidable début sur grand écran. Choix judicieux à bien des égards, comme le retour d'Avildsen à la réalisation, le film tente un effort intéressant, sans faire trop de nostalgie, mais commet quelques dérapages en cours de route, quelques incohérences venant nuire à la continuité de l'ensemble de la saga. Néanmoins, Stallone sait se montrer touchant dans son interprétation, le casting est plutôt bien dirigé, et le film parvient presque à faire oublier les excès des années 80, années du fric-roi. Un épisode qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les autres.
La fin du quatrième opus laissait envisager un retrait des rings de Rocky suite à son combat en URSS qui lui a laissé quelques séquelles physiques, c'est maintenant chose faite. Il se concentre sur sa vie de famille et surtout son fils malgré Duke, un promoteur sans scrupules qui souhaite le voir remonter sur les rings. Mais sur la paille et victime d'une escroquerie, Rocky va prendre en main un jeune boxeur prometteur...
Stallone fait appel à Avildsen, réalisateur du premier opus, pour prendre les rênes de ce cinquième où il tente de renouer avec la profondeur des premiers Rocky qu'il avait totalement abandonné avec le quatrième. On retrouve ici un Rocky touché dans son orgueil à plusieurs reprises, qui va se retrouver dans la pauvreté, se rapprocher de son fils et devra aussi accepter sa retraite sportive.
Malheureusement, si les intentions sont bonnes et la sincérité présente, ce cinquième opus a tendance à tout faire dans l'exagération que ce soit dans la relation père-fils, celle entraîneur-boxeur et surtout dans le côté mélo qui devient franchement assez lourd. Les ficelles scénaristiques ne sont guère surprenantes, ni subtils et parfois même bien ridicules à l'image des séquences où le protégé de Rocky, avec qui il s'entendait à merveille, devient en deux minutes son ennemi prêt à lui foutre une correction sur le trottoir... Si on rajoute à cela une réalisation parfois maladroite, un manque d'efficacité ainsi que quelques problèmes de rythmes, il est bien difficile d'adhérer pleinement à ce cinquième opus...
C'est d'ailleurs dommage car le film commençait bien avec un Rocky en proie à des difficultés fiscales et à une hésitation à remonter sur le ring. De plus le personnage que s'est confectionné Stallone au fur et à mesure des années est toujours attachant et intéressant à suivre et Sly a tout de même quelques bonnes idées qu'il arrive parfois à bien exploiter. À noter que c'est Sly qui termine de réaliser le film alors que Avildsen s'était barré lorsqu'il a appris qu'il n'avait pas le director's cut.
Bref, une suite ratée. Sly tente de se rapprocher des deux premiers opus mais pêche par une exagération constante que ce soit dans l'émotion ou dans les rapports entre les personnages. Dommage.
Dans ce dernier épisode de l'époque, Rocky prend pour de bon sa retraite suite à des séquelles physiques irréversibles après son combat contre Drago. De bonnes idées se trouvent dans ce film mais leur utilisation n'est pas des plus habiles. Rocky se retrouve endetté suite à un mauvais placement effectué par son ami Paulie l'éternel boulet, qui lui a fait signer un papier sans que Rocky se rende compte de son importance. Ses séquelles vont jusqu'à le rendre tout aussi simplet qu'il l'était au début de la saga, mais son manque de réactivité face aux situations et aux attaques qu'il subit fait qu'il manque globalement de charisme. Son retour à Philadelphie, son chapeau et son vieux gymnase rappellent cependant le premier film avec une certains nostalgie.
On voit enfin son fils grandir, alors à l'âge du début du collège, qui se sent assez vite délaissé par son père au profit de Tommy Gunn, jeune homme peu charismatique qu'il va prendre comme élève et grâce à qui il va remporter de nombreux combats sous fond de musique de hip-hop. Malgré ça, le film manque d'intensité, spoiler: le champion étant tout basique et très facilement battu . Tommy va vite lâcher Rocky pour un coach plus fortuné, ce qui donne tout de même une relation intéressante malgré une trame scénaristique qui manque d'entrain.
spoiler: Après une séquence assez cliché pendant laquelle Rocky se fait malmener par son fils et engueuler par sa femme, le film regagne de l'intérêt sur sa fin avec un combat de rue entre le maître et l'élève, ce dernier devant battre Rocky afin de se détacher de lui aux yeux de la presse. Un film mitigé qui se termine cependant bien, avec une nouvelle séquence nostalgie remontrant certains passages phares de la saga pendant le générique de fin. Ainsi s'achève la saga mythique de Stallone, et ce pour plus de quinze ans !
Considéré comme le pire Rocky et même presque un navet, je suis au regret de vous dire que j'ai trouvé ce film très bon. Alors certes, c'est un peu une suite pour l'argent, Rocky ne monte plus sur les rings etc... Mais ce n'est pas parce que Rocky ne combat plus que le film est mauvais. spoiler: On a le droit à des combats de boxe du poulain à Rocky et même un street fight de toute beauté entre Rocky et son ancien poulain.
Bon, côté scénario je trouve qu'il est bien plus abouti qu'un Rocky 3 et 4 qui ses derniers prônaient beaucoup plus les combats que les petites histoires des personnages. Rocky 5 est un peu comme un retour aux sources du premier Rocky, car victime d'une escroquerie, Rocky qui était très riche se retrouve ruiné. Rocky ne peut même plus boxer pour regagner de l'argent car celui-ci à des séquelles physiques. Rocky déménage dans un vieux quartier de Philadelphie et nous retrouvons l'atmosphère du premier Rocky. Ispoiler: l ressort même sa balle, son blouson noir et son chapeau, c'est pour vous dire! Son fils vas rentrer en pleine crise d'adolescence, son poulain vas le quitter à cause de l'appât du gain bref:
Que des malheurs pour notre cher boxeur!
Côté acteurs on garde les anciens( Sylvester Stallone, Burt Young, Talia Shire) et les Rocky recommencent à avoir une histoire bien plus aboutie que le 3 et le 4. Ce film n'est pas mauvais au contraire, il surpasse les deux derniers opus, alors n'hésitez pas à le regarder!
Légèrement moins pourri que le précédent volet (qui atteignait des sommets dans la nullité), Rocky V n'en reste pas moins un formidable navet. En gros Rocky perd tout à cause de Paulie (et là on se demande pour la énième fois pourquoi il le vire pas à coups de pied au cul) et en plus il ne peut pas remonter sur le ring au risque de mourir. Il va donc entraîner un morveux qui va se retourner contre lui. Voilà c'est un peu plus original et ça essaye de se la faire à la Million dollar baby sauf que non. Les répliques sont nulles ("mon ring c'est la rue", je crois pas que Rocky ait jamais prononcé quelque chose d'aussi débile), les situations sont nulles (le gosse de 10 ans qui fait des pompes sur une main et qui défonce deux mômes d'une tête plus grands que lui...lol), l'émotion est nulle (la relation père-fils avec le père trop absent qui néglige son fils, c'est du réchauffé), la fin est nulle et prévisible, les personnages sont manichéens et la morale est d'une niaiserie sans nom. Même le personnage de Rocky, qui avant était attachant, devient très énervant. La moralité de l'histoire les enfants : si quelqu'un vous provoque, répondez même si votre vie est en danger, car les gentils gagnent toujours, et une bonne droite règle toujours les problèmes quand c'est un coeur pur qui la donne. Pathétique.