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cylon86
2 513 abonnés
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3,0
Publiée le 20 juillet 2016
Longtemps considéré comme le dernier opus de la saga "Rocky" avant son retour dans "Rocky Balboa", "Rocky V" marque un certain assagissement pour le boxeur. Disons en tout cas qu'on y retrouve la simplicité des deux premiers films avant que la saga ne parte vers le grandiloquent et verse dans le patriotisme américain dans l'épisode 4. Ici, Rocky se retrouve avec des lésions dues à son combat contre Drago et un mauvais placement d'argent le ruine, le contraignant à retourner vivre dans son ancien quartier. C'est là qu'il prendra sous son aile un jeune poulain, délaissant alors son fils qui n'admire que lui, puisqu'il ne peut plus boxer. Sans être renversant, ce cinquième opus a le mérite d'effectuer un certain retour aux sources tout en laissant Stallone y exprimer tout l'amour qu'il éprouve pour son fils, aussi bien à la ville qu'à l'écran puisque c'est son propre fils qui joue celui de Rocky. Par le biais d'un émouvant flash-back avec Mickey, le thème annoncé est celui de la paternité et de la transmission mais comme dit Adrian, tout le monde n'a pas le cœur de Rocky qui finira par devoir affronter son poulain dans un combat de rue intense à la réalisation nerveuse. Écrit avec amour par Stallone qui connaît ses personnages mieux que quiconque, "Rocky V" est un retour aux sources un brin naïf mais sincère et il faut bien avouer que c'est bien pour cela que l'on aime Rocky.
Comme chaque épisode de la franchise, celui-ci commence aussitôt après la fin du précédent, dans lequel Rocky était devenu la mascotte de la supériorité de l’Amérique sur la Russie, mais va renvoyer le boxeur aux fondamentaux de son univers, à savoir les quartiers populaires de Philadelphie. Fini donc le luxe fastueux pour la famille Balboa, qui restera toutefois, dans son quartier, une légende vivante. Retour également, à la réalisation, de John G. Avildsen, qui avait signé le premier film et était depuis parti travailler sur une autre franchise (Karaté Kid). Dans ce film, pensé comme étant celui qui allait clore la saga (Avildsen tenait même à ce que Rocky meurt à la fin), la thématique centrale est celui de la transmission puisque Rocky, à présent écarté des rings, est à présent tiraillé entre l’éducation de son fils (interprété par Sage Stallone, le fils de Sly) et l’entrainement d’un boxeur de son quartier à travers qui il espère retrouver le chemin du succès. Un schéma dramatique assez convenu mais bien amené, grâce notamment à l’image négative qu’elle apporte à l’univers de la boxe, et du sport en général, avec le personnage de George Washington Duke, directement inspiré de Don King. Accompagné par une musique dans l’air du temps, ce cinquième opus est le moins aimé du fait de l’absence de combat titanesque mais n’en demeure pas moins un très bon film dans l’esprit de ce qu’était Rocky avait de devenir un symbole du rêve américain.
Cet opus est plus faible. L'âge avançant on découvre une lésion au cerveau de Rocky ( là encore on s'inspire de l'histoire vraie et de la maladie de Mohamed Ali). Son combat va lors être double, combattre la maladie et prouver qu'il est le meilleur. Le film est parfois un peu long, une mise en scène trop fade, Plus beaucoup d'intérêt si ce n'est de retrouver Stallone, toujours attachant.
Une suite pas franchement intéressante. Elle a le mérite de vouloir aborder un Rocky en dehors des combats, le positionnant comme entraîneur, mais aussi ses relations avec son fils ; mais en soit, c’est plutôt très surfait. Y’a pas de réel enjeu dans ce film, à part l’autre excité qui veut se faire un max de pognon mais c’est là aussi très superficiel. L’élément déclencheur du film est presque trop simple, si bien qu’il est même rapidement expédié pour passer à la suite. Un film qui se veut un retour aux sources, mais on a déjà vu mieux. Le gros problème de ce film, c’est qu’à aucun moment on peut ressentir cette volonté, cette ardeur, ce boost mental, cette soif de vaincre qui caractérisait les autres épisodes. Le casting est dans l’ensemble plutôt moyen, même si Stallone continue à jouer son rôle. On note le retour de Bill Conti à la musique et ça s’entend très vite. La mise en scène se concentre pour une fois sur autre chose que les combats, et ça se sent là aussi : à part le dernier combat, correct, les autres sont bien fades.
Le précédent était déjà l’épisode de trop, celui-ci se contente de minimiser encore plus la casse.
Sans véritable enjeu Rocky est en retrait et n'est que peu impliqué dans cette histoire de jeune boxer jaloux de Rocky. La relation avec son fils ( joué par son véritable fils ) est le lien avec l'acteur de ce film. Tout les rocky sont des métaphores de la vie et des déboires de l'acteur. Ce sera la seule chose à retenir de cet opus, l'image de père et l'éducation sous toutes ses formes . Le reste n'est que cliché et à l'image du personnage de manager véreux organisant des combats que pour l'argent; Rocky 5 a été réalisé sans conteste dans ce même optique.
Retour aux origines avec la ruine de Balboa escroqué par son comptable. Sauf que son corps a été saoulé de coups par le méchant Drago et qu'il ne peut plus en prendre. Du coup les relations familiales reprennent le dessus sur les combats de boxe. Et l'on n'est pas perdant car Stallone est bien meilleur dans les séquences émotions que dans les matches à sensations. En même temps il achève la carrière d'un boxeur en devenant à son tour coach comme Mickey. Il finit ainsi son tour du monde de la boxe qui, comme chacun sait, est un monde immonde...
Y a du bon et du moins bon. On retrouve le Rocky des débuts avec ses blagues et les mêmes decors mais le développement du scénario opposant le fils et Gunn vis-à-vis de rocky c'est très moyen. Le promoteur est un peu agaçant comme mister T dans le 3. Toujours en train d'aboyer. Le twist de je perds toute ma fortune sur 1 signature indirect c'est vraiment une facilité scenaristique difficile à avaler mais bon.
Sans conteste, "Rocky 5" est le loupé de la saga ! Ici, le combat de rue viendra empiéter sur notre bon vieux ring habituel, avec un nouvel adversaire doté d'une magnifique coupe mulet et dénué de tout charisme. L'étalon italien s'est trouvé un poulain, mais ça c'était avant que l'appât du gain, la trahison et le manque de reconnaissance et de respect viennent s'en mêler. Dommage, car le fond était pourtant encore là. Dans ce "Rocky 5", c'est la forme qui ne convient pas.
John G. Avildsen revient aux commandes de la saga "Rocky" avec ce cinquième opus sorti en 1990, qui est plus qu'oubliable. Bon premièrement, je ne suis pas vraiment un fan de la franchise, peu de chances donc que j'apprécie celui qui est considéré comme étant le plus mauvais de cette dernière. Nous retrouvons donc Rocky qui a cette fois prit sa retraite mais qui se fait arnaquer par son comptable et dois retourner vivre, lui et sa petite famille, dans son premier quartier. Dans un même temps, il entraine un jeune homme qui rêve de devenir boxeur. Bref, un film qui aurait pu être intéressant donc puisque nous revenons aux sources, Adrian retrouve son magasin d'animaux et Rocky retrouve son cuir et son chapeau. Mais malheureusement, il n'y a aucune originalité, tout se joue sur le côté nostalgique des deux premiers films. Le fond est certes intéressant mais n'est pas assez exploité, au profit d'un personnage dont on se fout royalement. Tommy est en effet un personnage plutôt inintéressant car d'une part mal écrit et puis qui n'a pas vraiment de personnalité intéressante, comme cela avait pu être le cas avec Mister T. ou Dolph Lundgren par exemple, des deux derniers films. On suit donc Rocky dans une énième aventure dont on connait la fin dès le début, tellement l'histoire a été rodée durant les quatre premiers films. La mise en scène n'a quant à elle rien d'extraordinaire et on envierai presque le style tape-à-l’œil du quatrième film. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc la même équipe, dont les personnages finissent d'ailleurs par tourner en rond, et puis nous avons cette fois en plus Sage Stallone et Tommy Morrison qui jouent plutôt bien. "Rocky V" est donc un épisode bien oubliable.
Certes, il s'agit du moins bon film de la saga! Mais "Rocky V" a des atouts comme le fait de montrer Rocky comme a ses débuts sans argent avec des rêves plein la tête, le reconvertir en entraineur, se concentrer sur sa relation avec son fils... Au rayon des erreurs, on notera un "méchant" beaucoup trop caricatural (c'est Don King qui a dû être content), un adversaire manquant singulièrement de charisme (n'est pas Apollo Creed qui veut), une mise en scène un peu plan-plan... Mais, la raison pour laquelle cet opus est le moins aimé de la saga est sans doute le film renvoie l'un des héros les plus populaires du cinéma US à la rue et la pauvreté, sans dire ce qu'il va devenir! D'ailleurs, à ce titre, le dernier "Rocky Balboa" (qui montre le dernier round de Rocky) vient un peu réhabiliter ce 5e épisode!
Grand spéctacle !! Cette suite est bien éfficace, scenario toujours aussi excitant et satisfaisant. Stallone signe ici son meilleut role parmis les differents Rocky
Un film très médiocre qui sera rattrapé par un 6eme opus revenant au source de la saga, retrouvant l'essence du premier film. Ce n'est pas tant que l'histoire soit nul, mais le fait est qu'elle est déprimante alors que les 4 précédents et le dernier envoyait quand à eu un message d'espoir... Ce cinquième opus n'envoyait donc pas le bon message. De plus, rocky en dehors d'un ring cela ne veux rien dire, cela ne donne rien de bon... quand à la bagarre final, elle est vraiment à la limite du ridicule. Bref, une grosse déception.
Changement de cap dans ce cinquième volet puisque Rocky Balboa, champion du monde mais marqué par son combat précédent, souffre de dommages cérébraux... Ruiné, il décide de se tourner vers le coaching. Moins linéaire et prévisible, le film marque un retour aux sources dans l'environnement du premier épisode et met l’accès sur la vie familiale du héros, perturbée par l'entrainement d'un rookie pour lequel Rocky se donne corps et âme. Un virage plutôt réussi malgré quelques passages peu inspirés.
Bien qu'il ne soit pas bon, ce cinquième et avant dernier épisode de "Rocky" fait quand même partie la saga parce qu'il est fidèle à l'émotion deux premiers films, tente un schéma narratif différent, vire les effets d'esbrouffes de mise en scène des épisodes 3 et 4. Malheureusement, malgré la bonne volonté de Stallone de revenir aux sources de la saga, la sauce ne prend pas. Le prétexte de ruiner Rocky pour le faire revenir dans les quartiers pauvres de Philadelphie est franchement peu convainquant. Cet épisode se concentre beaucoup sur la relation familliale des Balboa, principalement la relation qu'entretient Rocky avec son fils (joué par le vrai fils de Stallone ), situation jamais vu auparavant, les derniers opus ayant oublié le côté humain de la saga ce qui est un bon point. Faire de Rocky un entraîneur qui va passer le relais à un jeune qui a la rage de vaincre est une façon de boucler la boucle pas inintéressante, mais c'est là que le bas blesse. Le personnage de Tommy Gunn coaché par Rocky n'est ni charismatique, ni attachant, ni intéressant et sa corruption sonne fausse. Le retour de John G Avildsen derrière la caméra ne fait retrouver l'intensité du premier "Rocky", la réalisation semble moins inspiré plus classique, se laissant porté par l'histoire au lieu de la transcender. Stallone aurait surement du s'en charger car comme tout le monde le sait, il est talenteux lorsqu'il parle de lui. Au final, malgré une bonne volonté, le film est plombé par des moments nanardesques, manquant de tripes, de finition d'écriture, d'un trop grand parallèle évident entre la vie Stallone et l'étalon italien. En fait "Rocky V" semble plus raté que nul, assez maladroit, comme si il n'avait pas la maturité et le recul nécessaire pour revenir aux sources de la saga et s'imposer comme un champion, ce que fera magnifiquement "Rocky Balboa".