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Comme dans tous les autres opus de cette saga, Sylvester Stallone déploie son talent de scénariste pour faire passer un message plus profond qu'il n'y parait. La grande leçon de vie distillée en ce cinquième volet pourrait se résumer de la façon suivante : « Quand on est parvenu au somment, on retombe souvent très bas. Et si on ne se bat pas avec son cœur, les muscles ne valent pas grand chose. »
spoiler: Pendant longtemps, les fans de la saga "Rocky" pensèrent que ce film signait la dernière apparition de l'« Étalon italien » ; mais le plus surprenant restait encore à venir…
spoiler: Pendant longtemps, les fans de la saga "Rocky" pensèrent que ce film signait la dernière apparition de l'« Étalon italien » ; mais le plus surprenant restait encore à venir…
Dans ce 5ème opus de Rocky, on s'ennuie assez sérieusement. D'autant plus que ce n'est pas Sylvester Stallone qui boxe, mais son fils. Bref, ce film reste quand même malgré tout à éviter.
Je ne comprends pas les critiques négatives de ce 5ème opus car on ne pouvait pas tourner en rond au niveau de l'histoire. Je trouve qui l'histoire est bonne, on retrouve l'univers du premier opus (on y retrouve le réalisateur du premier Rocky) puis, sans ce Rocky 5, je pense qu'il n'y aurait pas eu le 6ème opus et le 7ème (Creed) car avec cette histoire ils ont vu le jour.
Pour ma part en tout cas le film est réussi.
Pour ma part en tout cas le film est réussi.
Du mauvais Stallone....Je pense qu'il fallait arrêter un peu plus tôt, 5 rocky plus le Balboa, il aurait dû dire stop
Très moyen, que ce soit le scénario, les acteurs, les décors, les musiques et surtout l'adversaire de Rocky, clairement pas exceptionnel, le film de trop aux yeux de tous.
Stallone aurait dut arreter au 4, car celui ci est completement vide, il est chiant, il est inutile meme.
Si vous avez vu ROCKY 1 ou 2 ou 3 ou 4, inutile de perdre votre temps, c'est à 75 % le même scénario, c'est-à-dire deux types qui se tapent dessus pendant la plus grande partie du film avec bien sûr Rocky qui gagne à la fin.
En tentant de finir avec une morale çà deux sous sa saga, Stallone a coulé seul son propre bébé.
Heureusment que le sixième est un véritable contraste.
Heureusment que le sixième est un véritable contraste.
Pourquoi avoir fait un Rocky 5 ? C'est la question que beaucoup de monde doivent se poser . Autant je suis un grand fan de la saga , autant la je ne peux que conspuer un tel film !
Un Stallone qui joue comme un manche , le gars qui a tout perdu et qui va devoir devenir entraineur de boxe ( après avoir su qu'il a de grave séquelle , l'empêchant de boxer ) .
Le scénario est d'un ennui sans fond et sans saveur , le fait que son fils se fassent tabasser et qu'il apprenne la boxe pour se défendre .Honnêtement , ça ne sert a rien !
Ensuite , le fait que le poulain de Rocky le trahisse était prévisible .
Et pour finir , la réplique : " Mon ring , c'est la rue " était le comble du mauvais gout pour un personnage qui même pas 6 mois avant roulais en porsche et avait une somptueuse villa à Philadelphie ...
Voila qui finit mal la saga Rocky ( enfin après y a eu Rocky Balbao mais il grouillait tellement d'incohérence que je préfère me dire que Rocky 5 clôturait la saga )
Un Stallone qui joue comme un manche , le gars qui a tout perdu et qui va devoir devenir entraineur de boxe ( après avoir su qu'il a de grave séquelle , l'empêchant de boxer ) .
Le scénario est d'un ennui sans fond et sans saveur , le fait que son fils se fassent tabasser et qu'il apprenne la boxe pour se défendre .Honnêtement , ça ne sert a rien !
Ensuite , le fait que le poulain de Rocky le trahisse était prévisible .
Et pour finir , la réplique : " Mon ring , c'est la rue " était le comble du mauvais gout pour un personnage qui même pas 6 mois avant roulais en porsche et avait une somptueuse villa à Philadelphie ...
Voila qui finit mal la saga Rocky ( enfin après y a eu Rocky Balbao mais il grouillait tellement d'incohérence que je préfère me dire que Rocky 5 clôturait la saga )
Le moins aimè des « Rocky » . Pourtant ce cinquième volet ne dèmèrite pas avec un retour aux sources rèussi et touchant! Ruinè, trahi, traumatisè par son combat èpique avec la montagne russe Ivan Drago, Rocky Balboa redescend dans la rue et se reconvertit en entraîneur! On retrouve cette humanitè qui faisait dèfaut à l'opus III & IV! Du coup ça fait un bien fou ce retour à la case dèpart avec une rage de vaincre qui s'est effacèe devant la douceur! Même si Rocky ne monte pas sur le ring, le spectacle reste entier, intimiste, nostalgique (Philadelphie, l'apparition fantôme de Mickey, le Père Carmine...) et très efficace quand il le faut (cf le combat de rue by night). Et puis en tout bien tout honneur, Sly paye sa dette morale en donnant ici un rôle à son fils dont il avait abandonnè l'èducation à sa première èpouse! L'èmotion de son duo avec son propre fils ne manque pas d'atout, limite poignant à revoir depuis que Sage a perdu la vie! De plus Paulie est verbalement en forme dans cet èpisode et la B.O de Bill Conti en parfaite osmose avec un coup de coeur pour la chanson d'Elton John! Un « Rocky » à rèhabiliter...
Yetcha
Le Rocky le plus mal aimé et je comprends pourquoi. L'image est cheap, le charisme de Tommy Gunn est plutôt faible et l'image de bagarre de rue sort vraiment des codes de la saga. Ce n'est pas complètement mauvais et on est content de retrouver Rocky, mais ce n'est clairement pas le meilleur du lot.
Nicothrash
Sorti de nul part, John Avildsen reprend les commandes de la saga Rocky avec ce 5ème épisode qui va laisser bon nombre de fans sur le carreau, moi y compris à l’époque. Ce n’était probablement pas le moment d’opérer un retour aux sources pour la légende, ce n’était surtout pas ce que le public attendait et la déception fut grande. Terminés les combats de boxe, terminé l’aspect épique de chaque final d’épisode, on retrouve notre cher Rocky, sans le sou et plus benêt que jamais se faire abuser de toute part et l’effet est tout sauf agréable. Pour autant, et avec un peu de recul l’opus n’est pas mauvais mais c’était sans doute trop tôt pour ce baroud d’honneur, d’autant que les personnages additionnels ne sont pas attachants. Ça semble un rien long et même si le final conserve un certain charme, il manque véritablement quelque chose ici pour s’inscrire dans la continuité de cette saga légendaire, preuve en est, la bande originale est très loin d’être à la hauteur de l’événement et cela manque énormément. Pas aussi vilain que les souvenirs le sous-entendaient, ce Rocky V demeure pour autant le moins emballant de tous malgré quelques qualités indéniables. Se faisant, le 6ème opus était nécessaire !
Retour aux sources dans ce 5e volet de la saga où on retrouve un Rocky fauché et touchant qui prend sous son aile un jeune espoir.
Stallone a calqué sa vie sur celle de Rocky et inversement. Après le triomphe des années 80, le retour sur terre sera douloureux. Et c'est ici que l'on retrouve Rocky, au début des années 90, ruiné, obligé de retourner vivre dans son quartier d'origine, en froid avec son fils, mais toujours accompagné de sa tchache, sa bonne volonté. Voilà, c'est peut-etre pas toujours subtil mais c'est fichtrement émouvant, Stallone étant toujours capable de composer de grands rôles, surtout quand il accepte de montrer ses faiblesses, et qu'il fait preuve de sincérité. Peu aimé par les fans car taxé de pessimisme, le film a son petit coté résilient tout de même
Clairement, ce n'est pas le meilleur de la série. Et pourtant il y a de beaux messages sur la relation père-fils, sur la transmission de la passion, sur le succès et sur les échecs. Le retour à la vie simple après avoir connu la fortune, se fait alors que Rocky garde la faveur du public. Tout simplement parce qu'il se bat avec son cœur, et pas qu'avec ses muscles. Sa générosité aussi est touchante, lui qui a connu la misère enfant et veut offrir à son fils de meilleures conditions de vie. "À travers toi, c'est comme si je renaissais" lui dit-il. Tout un symbole. Cet opus manque d'intensité par rapport aux précédents. Toutefois il laisse voir d'autres facettes des personnages, ce qui mérite le détour.
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