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Buzz063
75 abonnés
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1,5
Publiée le 21 octobre 2011
Malgré l'énorme carton du quatrième volet, rigolo mais tout de même bien pourri, Stallone semble prendre conscient que son personnage fétiche ressemble de plus en plus à une version boxeur de Rambo et de moins en moins au perdant magnifique du premier film. Machine arrière pour ce cinquième volet, vendu à l'époque comme une conclusion et qui voit revenir aux manettes John G. Avildsen, réalisateur du premier Rocky. A partir d'une pirouette scénaristique aussi élaboré que dans un soap diffusé en début d'après-midi sur TF1, Rocky se retrouve sans rien et est de retour dans les mauvais quartiers de Philadelphie. Intention louable à la base que de revenir à la source du mythe mais psychologie sommaire des personnages (le revirement de Tommy Gunn contre son entraineur est balancé trop rapidement) voire caricarurale avec le personnage du promotteur de combat (très très légérement inspiré de Don King) qui semble tout droit sorti d'une célèbre pub pour une agence d'assurance puisqu'il passe son temps à répéter qu'il l'aura un jour, il l'aura. Il faut signaler que Avildsen, sera dégagé du tournage lorsque les producteurs décident de modifier radicalement la fin (à la base Rocky devait mourir sous les coups de Gunn). Stallone filme donc en personne l'affrontement final qui tourne au n'importe quoi. A savoir aussi que l'on peut trouver sur ne net la version workprint du film (avant tronçonnage dans la salle de montage) qui propose une version diamétralement différente de la fin et donne du coup une autre orientation au film.
Aouch ! Attention nanar ! Ce film n'est sauvé seulement par la BO (moins bonne que les précédents mais ça va) et des acteurs historiques encore impliqués dans leurs rôles malgré la faiblesse de leurs scènes et de leurs personnages. Sinon c'est véritablement nanardesque sur certains passages et la réalisation (Stallone a passé la main) est ratée voire indigeste lors des rares séquences d'action. Action qui est d'ailleurs à des années lumières de son intérêt dans les précédents opus. La saga Rocky s'écroule et ce cinquième en propose une conclusion particulièrement mauvaise.
Ce film est touchant par le personnage vieillissant joué toujours par Stallone . Il a su faire évoluer ses personnages et c est rare dans une série de films à succès. Décrié à tord mais c est que mon opinion. A revoir .
Dans ce dernier épisode de l'époque, Rocky prend pour de bon sa retraite suite à des séquelles physiques irréversibles après son combat contre Drago. De bonnes idées se trouvent dans ce film mais leur utilisation n'est pas des plus habiles. Rocky se retrouve endetté suite à un mauvais placement effectué par son ami Paulie l'éternel boulet, qui lui a fait signer un papier sans que Rocky se rende compte de son importance. Ses séquelles vont jusqu'à le rendre tout aussi simplet qu'il l'était au début de la saga, mais son manque de réactivité face aux situations et aux attaques qu'il subit fait qu'il manque globalement de charisme. Son retour à Philadelphie, son chapeau et son vieux gymnase rappellent cependant le premier film avec une certains nostalgie.
On voit enfin son fils grandir, alors à l'âge du début du collège, qui se sent assez vite délaissé par son père au profit de Tommy Gunn, jeune homme peu charismatique qu'il va prendre comme élève et grâce à qui il va remporter de nombreux combats sous fond de musique de hip-hop. Malgré ça, le film manque d'intensité, spoiler: le champion étant tout basique et très facilement battu . Tommy va vite lâcher Rocky pour un coach plus fortuné, ce qui donne tout de même une relation intéressante malgré une trame scénaristique qui manque d'entrain.
spoiler: Après une séquence assez cliché pendant laquelle Rocky se fait malmener par son fils et engueuler par sa femme, le film regagne de l'intérêt sur sa fin avec un combat de rue entre le maître et l'élève, ce dernier devant battre Rocky afin de se détacher de lui aux yeux de la presse. Un film mitigé qui se termine cependant bien, avec une nouvelle séquence nostalgie remontrant certains passages phares de la saga pendant le générique de fin. Ainsi s'achève la saga mythique de Stallone, et ce pour plus de quinze ans !
Ce film est vraiment trés appart des anciens épisodes il est concentré sur l'émotion et pis les combats sont secondaire ensuite les dialogue ne sont vraiment pas génial et le scénario n'est pas attirant dommage
Film qui n'a carrément rien à voir avec les précédents. Déjà, Rocky ne s'entraîne pour s'échauffer contre un nouvel adversaire, il ne monte pas sur le ring, il devient entraîneur d'une énergumène qui le provoque à la fin. Le réalisateur a voulu changé le concept de l'histoire du personnage de Rocky, mais il a raté.
Les 3e et 4e films étaient déjà inférieurs aux 2 premiers, mais là, la saga semble vraiment s'être égarée avec ce cinquième épisode. On ne retrouve plus ce qui faisait le sel de Rocky : certes il éprouve beaucoup de difficultés dans la vie mais le fait qu'il ne remonte jamais sur le ring fait qu'on a jamais l'impression que Rocky lutte à 100%,là où dans les autres films, le parallèle entre les combats et la vie de Rocky rendait les scènes éprouvantes et épiques. De plus, les personnages secondaires semblent toujours aussi creux et on a du mal à s'attacher à eux. La preuve en est, le meilleur moment du film est sans doute le combat de rue final où Rocky peut enfin mettre une derouillée à Tommy. Le choix de miser l'intrigue du film plutôt sur la vie personnelle de Rocky était osée et pour le coup ce cinquième film ne ressemble pas aux autres, mais on y perd au final la rage qu'avait Rocky et ça rend ce cinquième film très quelconque selon moi. Très dommage.
Ce film confirme simplement que la saga aurait dû en rester à trois opus. Le filon est épuisé, Rocky aussi, de même que le spectateur. L'élève n'a aucun charisme et le film ne trouve même pas son apogée dans un ring.
Rocky 5, ou la déchéance de Rocky, le film absolument pas nécessaire... Ce n'est certes pas le meilleur niveau combats, mais on retrouve les valeurs qui ont porté Rocky aux plus hauts sommets, que cela soit de la boxe ou du cinéma : humanité et humilité. Mais quelle déchéance pour ce si grand champion... La musique de ce volet est clairement moins bonne que dans les précédents.
Après un quatrième volet aux relents patriotiques très appuyés en pleine Guerre Froide, ce Rocky V amorce un retour à l'esprit des débuts, celui de la dèche et de la volonté de s'en sortir, retrouvant le fond social qui avait été l'assise d'un formidable début sur grand écran. Choix judicieux à bien des égards, comme le retour d'Avildsen à la réalisation, le film tente un effort intéressant, sans faire trop de nostalgie, mais commet quelques dérapages en cours de route, quelques incohérences venant nuire à la continuité de l'ensemble de la saga. Néanmoins, Stallone sait se montrer touchant dans son interprétation, le casting est plutôt bien dirigé, et le film parvient presque à faire oublier les excès des années 80, années du fric-roi. Un épisode qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les autres.
Retour dans les rues de Philadelphie pour Rocky et sa famille victime d'une escroquerie.. Considéré comme le plus mauvais film de la saga, ce film a pourtant tout son charme, certes un combat à la fin qui se déroule non pas sur un ring mais dans la rue mais c'est pas désagréable et ça change surtout. Bien apprécié comme le reste de la saga.
De loin le moins bon Rocky. Scénario plat, combats plus que moyens, ce Rocky déçoit sur presque tout les points. Seul les acteurs et la BO permettent de sauver l'édifice. Très moyen.