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Votre avis sur Rocky III ?
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1982 : le peu de succès commercial des Faucons de la nuit (Nighthawks, Bruce Malmuth,1980) et d’À nous la victoire (Victory, John Huston, 1981) amène Sylvester Stallone à constater que, pour l'instant, seul Rocky lui réussi. Cependant, ayant tout de même un statut de star et n'étant pas très motivé pour refaire un épisode de Rocky, il réclame un salaire (énorme pour l'époque) de 10 millions de dollars. Les producteurs acceptant cette requête, il réenfile les gants de boxe.
La boxe, voici désormais ce à quoi se résume ce nouveau volet. Le premier Rocky ne traitait que très rapidement du noble art, le second y laissait une place plus importante, le troisième n'aura que ce sport comme sujet. La très grande majorité du film concerne les séquences d'entrainements et de combats spoiler: (3 complets plus un résumé de nombreux matchs, ce qui représente le maximum dans la saga)
. Cette fois-ci, les scènes dramatiques sont donc réduites au minimum spoiler: (malgré la rapide mais intéressante évocation de la jalousie, l'enfonçant toujours plus dans l'alcoolisme, de Paulie envers Rocky, qui est parti du même point que lui mais qui lui a réussi, et la nouvelle lecture plus nuancée du personnage d'Appollo)
et le scénario, où commence à pointer des incohérences spoiler: (on n'arrête pas de répéter que Rocky est champion depuis 3 ans alors que Rocky II se déroulait en 1976 et que celui-ci en 1981, le fils de Rocky semble être un peu grand pour un personnage sensé avoir 3 ans, les dates sur la tombe de Mickey ne correspondent pas avec l'âge qu'il dit avoir dans le premier épisode, les problèmes de santé évoqués surtout dans le second volet mais également rapidement au début de ce même film sont complètement oubliés...)
vire au simplisme.
Malgré tout, Sylvester Stallone en profite, comme toujours, pour faire le point sur sa propre carrière. Il nous montre donc son personnage s'étant embourgeoisé et ayant perdu la rage qui l'habitait par le passé spoiler: (au point de perdre son premier combat contre Clubber Lang)
, ce qui correspond au peu de motivation qu'il semble posséder pour ce volet et à une forme de recul sur son statut vacillant de star (aucun de ses films n'appartenant pas à la saga Rocky n'a rencontré le succès). De plus, malgré la lourdeur des traits (Clubber Lang n'est qu'une brute pur et simple) et la transformation des matches de boxe et d'exhibition spoiler: (l'affrontement contre le catcheur Thunderlips, incarné par Hulk Hogan)
en combats de gladiateurs, Stallone arrive à donner du rythme à son film et à le rendre divertissant. Enfin, le morceau écrit par Survivor (au milieu d'une bande originale toujours signée Bill Conti) Eye of the tiger, qui apparait pour la première fois dans ce film et qui décrocha une nomination à l'Oscar de la meilleure chanson originale, est plutôt plaisante à entendre et est devenu synonyme de la boxe et du sport en général.
Rocky III est donc un film se situant à des milliers de kilomètres de la subtilité et de la puissance dramatique de l'original mais qui reste malgré tout divertissant. On peut toutefois regretter que ce volet soit, jusqu'à la sortie du quatrième épisode tout aussi simpliste (et qui plus est extrêmement patriotique et anti-communiste), le plus gros succès de la saga, surtout en France, où il récolte 4,5 fois plus d'entrées que le film original (les légèrement plus élevés scores américains et mondiaux, calculés en dollars, étant à relativiser en fonction de l'inflation). Toutefois, Stallone montrera dès le film suivant qu'il est encore capable de subtilité en tournant le premier épisode d'une autre saga à succès (enfin!) qui se simplifiera également dans ses suites : Rambo.
La boxe, voici désormais ce à quoi se résume ce nouveau volet. Le premier Rocky ne traitait que très rapidement du noble art, le second y laissait une place plus importante, le troisième n'aura que ce sport comme sujet. La très grande majorité du film concerne les séquences d'entrainements et de combats spoiler: (3 complets plus un résumé de nombreux matchs, ce qui représente le maximum dans la saga)
. Cette fois-ci, les scènes dramatiques sont donc réduites au minimum spoiler: (malgré la rapide mais intéressante évocation de la jalousie, l'enfonçant toujours plus dans l'alcoolisme, de Paulie envers Rocky, qui est parti du même point que lui mais qui lui a réussi, et la nouvelle lecture plus nuancée du personnage d'Appollo)
et le scénario, où commence à pointer des incohérences spoiler: (on n'arrête pas de répéter que Rocky est champion depuis 3 ans alors que Rocky II se déroulait en 1976 et que celui-ci en 1981, le fils de Rocky semble être un peu grand pour un personnage sensé avoir 3 ans, les dates sur la tombe de Mickey ne correspondent pas avec l'âge qu'il dit avoir dans le premier épisode, les problèmes de santé évoqués surtout dans le second volet mais également rapidement au début de ce même film sont complètement oubliés...)
vire au simplisme.
Malgré tout, Sylvester Stallone en profite, comme toujours, pour faire le point sur sa propre carrière. Il nous montre donc son personnage s'étant embourgeoisé et ayant perdu la rage qui l'habitait par le passé spoiler: (au point de perdre son premier combat contre Clubber Lang)
, ce qui correspond au peu de motivation qu'il semble posséder pour ce volet et à une forme de recul sur son statut vacillant de star (aucun de ses films n'appartenant pas à la saga Rocky n'a rencontré le succès). De plus, malgré la lourdeur des traits (Clubber Lang n'est qu'une brute pur et simple) et la transformation des matches de boxe et d'exhibition spoiler: (l'affrontement contre le catcheur Thunderlips, incarné par Hulk Hogan)
en combats de gladiateurs, Stallone arrive à donner du rythme à son film et à le rendre divertissant. Enfin, le morceau écrit par Survivor (au milieu d'une bande originale toujours signée Bill Conti) Eye of the tiger, qui apparait pour la première fois dans ce film et qui décrocha une nomination à l'Oscar de la meilleure chanson originale, est plutôt plaisante à entendre et est devenu synonyme de la boxe et du sport en général.
Rocky III est donc un film se situant à des milliers de kilomètres de la subtilité et de la puissance dramatique de l'original mais qui reste malgré tout divertissant. On peut toutefois regretter que ce volet soit, jusqu'à la sortie du quatrième épisode tout aussi simpliste (et qui plus est extrêmement patriotique et anti-communiste), le plus gros succès de la saga, surtout en France, où il récolte 4,5 fois plus d'entrées que le film original (les légèrement plus élevés scores américains et mondiaux, calculés en dollars, étant à relativiser en fonction de l'inflation). Toutefois, Stallone montrera dès le film suivant qu'il est encore capable de subtilité en tournant le premier épisode d'une autre saga à succès (enfin!) qui se simplifiera également dans ses suites : Rambo.
Après un deuxième opus pas vraiment réussi, Rocky III élève le niveau de la saga. D'ailleurs, il s'agit selon moi du meilleur Rocky après le premier film. Ce long métrage est à mon sens le plus profond et le plus riche. En effet, l'histoire devient intéressante car Rocky se retrouve à un moment clé de son parcours et c'est précisément dans ce film ci qu'il va pouvoir prouver qu'il est un vrai champion.
Lorsque démarre Rocky III, notre héros est au top de sa carrière après avoir tout gagné et conservé sa ceinture, tout lui souris. Les contrats publicitaires lui assurent une vie des plus confortable, il est papa et son couple fonctionne parfaitement. Or, les choses se compliquent quand un nouveau boxeur décide de tout faire pour se mesurer à lui et prouver qu'il est meilleur. Alors que Rocky s'est empâté dans sa vie de riche athlète, il apprend que son coach Mickey a triché en organisant uniquement des matchs qu'il était sûr de remporter. Rocky décide d'affronter le nouveau boxeur prodige Clubber Lang mais le succès et la gloire lui ont fait perdre l'envie de gagner. Face à lui son adversaire lui a envie d'en découdre et une véritable rage l'anime. Rocky doit alors s'incliner car il n'est plus le champion qu'il était.
Ce Rocky est différent des autres films de la saga, car il traite de plusieurs sujets qui le rendent très intéressant. Tout d'abord la question de la volonté comment rester au sommet quand le succès monte à la tête et que l'argent rentre en grande quantité. Ensuite, la relation entre Mikey et Rocky est l'atout sentimental du film. Enfin, on appréciera le nouveau rôle que joue Adrienne, qui n'est plus confinée dans un statut de potiche mais qui est un véritable moteur pour le champion. Rocky III c'est aussi une nouvelle histoire d'initiation, alors que dans le premier opus de la saga on découvre comment Mickey a formé Rocky et en a fait un champion, dans ce troisième volet, son entraîneur n'est autre qu'Apollo Creed, son ancien adversaire. Avec ce dernier Rocky va devoir apprendre à travailler et surtout à lui faire confiance. Pour finir Rocky III est un film sur la volonté et sur comment surmonter les obstacles, on découvre ainsi ce qui fait l'essence d'un champion ce besoin de se surpasser et de ne pas se laisser abattre par les événements.
A la réalisation de ce film, Sylvester Stallone a fait du très bon travail, l'histoire est riche est bien faite. La musique est évidemment un facteur important du succès de ce film, mais au delà de ça le film fonctionne très bien aujourd'hui encore, même s'il a pris un coup de vieux.
Lorsque démarre Rocky III, notre héros est au top de sa carrière après avoir tout gagné et conservé sa ceinture, tout lui souris. Les contrats publicitaires lui assurent une vie des plus confortable, il est papa et son couple fonctionne parfaitement. Or, les choses se compliquent quand un nouveau boxeur décide de tout faire pour se mesurer à lui et prouver qu'il est meilleur. Alors que Rocky s'est empâté dans sa vie de riche athlète, il apprend que son coach Mickey a triché en organisant uniquement des matchs qu'il était sûr de remporter. Rocky décide d'affronter le nouveau boxeur prodige Clubber Lang mais le succès et la gloire lui ont fait perdre l'envie de gagner. Face à lui son adversaire lui a envie d'en découdre et une véritable rage l'anime. Rocky doit alors s'incliner car il n'est plus le champion qu'il était.
Ce Rocky est différent des autres films de la saga, car il traite de plusieurs sujets qui le rendent très intéressant. Tout d'abord la question de la volonté comment rester au sommet quand le succès monte à la tête et que l'argent rentre en grande quantité. Ensuite, la relation entre Mikey et Rocky est l'atout sentimental du film. Enfin, on appréciera le nouveau rôle que joue Adrienne, qui n'est plus confinée dans un statut de potiche mais qui est un véritable moteur pour le champion. Rocky III c'est aussi une nouvelle histoire d'initiation, alors que dans le premier opus de la saga on découvre comment Mickey a formé Rocky et en a fait un champion, dans ce troisième volet, son entraîneur n'est autre qu'Apollo Creed, son ancien adversaire. Avec ce dernier Rocky va devoir apprendre à travailler et surtout à lui faire confiance. Pour finir Rocky III est un film sur la volonté et sur comment surmonter les obstacles, on découvre ainsi ce qui fait l'essence d'un champion ce besoin de se surpasser et de ne pas se laisser abattre par les événements.
A la réalisation de ce film, Sylvester Stallone a fait du très bon travail, l'histoire est riche est bien faite. La musique est évidemment un facteur important du succès de ce film, mais au delà de ça le film fonctionne très bien aujourd'hui encore, même s'il a pris un coup de vieux.
Troisième opus de la saga Rocky un peu en deçà des deux précédents selon moi !! Un peu trop dans le sensationnel (par exemple le combat contre Hulk Hogan), un peu plus cliché (le combat final est un peu moins réaliste selon moi). Toujours agréable à suivre bien entendu mais on ne retrouve plus le Rocky touchant et un peu naif qu'on aimait tant dans les deux premiers volets.
Assez différent des deux premiers, Rocky III se veut un peu plus hollywoodien en laissant part à davantage d'action pour une durée de film passant de 2h à 1h30. Le changement se voit aussi avec les conditions de vie bien plus riches que mènent Rocky et Adrian (qui du coup perd de l'attachement et de l'importance dans le scénario). Ils vivent désormais dans dans une maison luxueuse et Rocky a troqué son vieux survêt contre un joli costard cravate, dans lequel il ressemble au choix à Daniel Auteuil jeune ou à Nicolas Sarkozy (disons plutôt Auteuil pour ne pas gâcher le film).
Depuis qu'il a été sacré champion, Rocky enchaîne les victoires face une dizaine de challengers mais fait bientôt face à un bien plus hargneux : Clubber Lang, un black baraqué bien musclé au look provocateur interprété par Mister T, qui a sans doute inspiré Barret dans Final Fantasy VII. Si le scénario n'est pas en reste, le combat est plus que jamais au cœur du film entre ses victoires du début, son affrontement amical contre un catcheur interprété par Hulk Hogan himself qui marque sa première apparition au cinéma, spoiler: ses deux combats contre Clubber Lang
et ses entraînements.
Un événement majeur va déconcentrer Rocky spoiler: et lui faire céder sa ceinture à son adversaire : la mort de son entraîneur Mickey suite à des problèmes cardiaques ayant commencé juste avant le match.
La proximité entre Rocky et Apollo Creed se voit alors renforcée spoiler: alors que ce dernier l'entraîne en courant sur la plage et en boxant dans son ancien gymnase, bien plus propice à la concentration. Le fait que Mickey n'ait envoyé que de simples bons boxeurs face à Rocky pour le protéger fait réfléchir sur son éthique de boxeur, ce qui lui permet, après avoir été battu trop facilement face à Clubber Lang, d'identifier son rythme et d'utiliser sa hargne contre lui.
Peut être pas tout à fait aussi bon que les premiers, mais une suite culte !
Depuis qu'il a été sacré champion, Rocky enchaîne les victoires face une dizaine de challengers mais fait bientôt face à un bien plus hargneux : Clubber Lang, un black baraqué bien musclé au look provocateur interprété par Mister T, qui a sans doute inspiré Barret dans Final Fantasy VII. Si le scénario n'est pas en reste, le combat est plus que jamais au cœur du film entre ses victoires du début, son affrontement amical contre un catcheur interprété par Hulk Hogan himself qui marque sa première apparition au cinéma, spoiler: ses deux combats contre Clubber Lang
et ses entraînements.
Un événement majeur va déconcentrer Rocky spoiler: et lui faire céder sa ceinture à son adversaire : la mort de son entraîneur Mickey suite à des problèmes cardiaques ayant commencé juste avant le match.
La proximité entre Rocky et Apollo Creed se voit alors renforcée spoiler: alors que ce dernier l'entraîne en courant sur la plage et en boxant dans son ancien gymnase, bien plus propice à la concentration. Le fait que Mickey n'ait envoyé que de simples bons boxeurs face à Rocky pour le protéger fait réfléchir sur son éthique de boxeur, ce qui lui permet, après avoir été battu trop facilement face à Clubber Lang, d'identifier son rythme et d'utiliser sa hargne contre lui.
Peut être pas tout à fait aussi bon que les premiers, mais une suite culte !
de pire en pire, déjà le 2eme volet était très moyen, ce 3eme est presque un navet. un scénario prévisible, des personnages lourds, des combats qui se veulent spectaculaires avant d'être réalistes. seule la BO est acceptable.
Un petit coup d'arrêt pour cet épisode. Le scénario est je trouve trop simple et il n'y a plus vraiment l'atmosphère Rocky. Fini l'histoire d'amour et les blagues nulles de rocky, maintenant que du combat! Et c'est ce qui fait la faiblesse de cet opus. J'ai quand même beaucoup aimé une certaine scène qui est celle de la mort de Mickey qui m'a attristé au plus haut point. . Je n'aime pas vraiment Clubber Lang (même si Mr;T joue bien) car je le trouve trop énervant. Sinon, Stallone, Weathers et tout le reste jouent toujours aussi bien. Bref un petit coup d'arrêt même si ce film reste un bon divertissement.
ManoCornuta
Rocky se lifte, Rocky s'embourgeoise: à l'image de son interprète désormais installé dans le gotha des acteurs qui comptent à Hollywood (et qui passe encore une fois derrière la caméra), notre boxeur favori aborde une nouvelle étape de son évolution, chutant de son piédestal avant d'entreprendre la reconquête dans l'adversité. Le film est structuré à l'identique de ses devanciers, avec plus de clinquant et de patate (et beaucoup moins de crédibilité dans les mouvements de boxe, où l'on approche de la caricature pour les rendre lisibles à l'écran). La dynamique est efficace et doit aussi beaucoup ici à Mister T, qui incarne un "méchant" un peu bas du front mais parfaitement campé pour arriver en contrepoint d'un Stallone pétri de failles. Si ce n'est pas le meilleur film de la saga, c'est peut-être celui qui fonctionne le mieux sur le plan de l'action débridée chère aux années 80.
J’ai été un peu déçu par ce troisième film. Je pensais voir un film surpassant les deux premiers, mais au final non. Il n’est pas mauvais, bien au contraire. Juste un cran en-dessous des deux précédents. Bon, je ne vais pas mentir, j’ai une nouvelle fois beaucoup apprécié la première partie du film, où on découvre comment Rocky gère sa victoire ; ce qui pour le coup est complètement l’opposé du deuxième film. Le contraste entre les deux est vraiment saisissant et c’est, je pense, ce que j’ai le plus apprécier dans ces deux-là. Après, l’histoire de la revanche, nous avons droit à celle de la résurrection. Et si cette histoire m’a moins emballé (même si la partie sur la « chute » de Rocky est très intéressante, dans la lignée de ce que je disais plus haut) que les deux autres, elle n’en reste pas moins intéressante et véritable source d’énergie quand on est en difficulté. Les acteurs restent au même niveau, que ce soit les anciens ou les nouveaux. Côté technique, on reste là aussi dans le même acabit que le précédent film, avec une mise en scène efficace et des combats immersifs. Une pointe de déception donc avec cet opus (histoire très classique et prévisible au final), mais qui n’en reste pas moins tout à fait honorable pour cette saga. La conclusion est particulièrement sympa.
Surfant sur le succès des 2 premiers Rocky, Stallone décide de transformer un chef-d'œuvre et une belle suite en véritable saga de navets. Et c'est dans cet opus, Rocky III, que se fait la transition. Ce film n'est pas mauvais, mais il n'est pas super non plus. Maintenant Rocky est champion et du coup il doit affronter des challengers. Grossomodo ce volet reprend la structure des deux précédents films ( avec l'entraînement sur Gonna fly now et le traditionnel combat final ), les seuls changement étant qu'Appolo Creed entraîne Rocky désormais, et que son adversaire est Clubber Lang. La saga devient à ce moment manichéenne et prévisible. On déduit la fin avant d'avoir vu le film, et niveau combat c'est le méchant contre le gentil, ni plus ni moins. Le film est sauvé par Mr. T qui est impressionnant dans son rôle, par les combats bien mis en scène, par la BO et surtout le cultissime Eye of the tiger et par
spoiler:
la scène de la mort de Mickey, assez émouvante
.
Rocky III est donc un film qui se laisse regarder, sans être super.
.
Rocky III est donc un film qui se laisse regarder, sans être super.
"Rocky III - L'Oeil du Tigre" commence plutôt pas mal puisqu'il reprend la scène victorieuse de l'épisode précédent, et il faut bien avouer qu'avec l'anthologique morceau "Eye of the Tiger" on est direct (du droit) plongé dans l'ambiance. Sauf que la suite est bien moins inspirée : le scénario des plus banals se contente tout juste de prendre les mêmes et de recommencer, mais en moins intéressant. Tout cela est donc très fade, même le combat final contre Mr.T (ce dernier étant cantonné à un rôle de bourrin écervelé) ne séduit qu'à moitié... Quant au délire Hulk Hogan, c'est juste n'importe quoi... Seules la BO et la mise en scène sont de qualité. La série s'arrêtera là pour moi.
Et voila.... Rocky devient juste un sorte de film d'action un peu bêta. Il y a de bonnes idées et une séquence émotion vraiment réussie mais le scenario a vraiment rien d'incroyable. En plus la réalisation est elle aussi moins bonne, a part pendant les combats qui sont vraiment impressionnants. Mais pourtant l'histoire n'est pas désagréable a suivre, bien au contraire, mais elle passionne pas non plus et en plus c'est prévisible. Dommage car comme dit plus haut, les matchs sont vraiment impressionnants ( et sont donc le seul réel intérêts du film ) et les acteurs ce débrouillent vraiment bien. Rocky III est pas mal, mais il déçoit, reste un film sympathique a regarder mais qui n'a rien de bien extraordinaire.
Un véritable classique en effet, tout est dans ce film, les émotions, les bons acteurs, le scénario simple mais extrêmement bien raconté et surtout intéressant bien que prévisible. Et par dessus tout, la bande son la plus mythique de l'histoire du cinéma, avec des phrases qui sont devenues cultes et pour cause. Rocky III est un joyau, purement et simplement.
Julien D
A nouveaux aux manettes du troisième épisode de la saga Rocky, Stallone nous fait retrouver son personnage de boxeur trois après sa victoire sur Appolo Creed et son accession au titre de champion du monde. Devenu une star fortuné enchainant les victoires, le parcours l’étalon italien –qui a depuis perdu 25 kg– ne peut plus avoir la résonnance sociale dramatique des deux premiers films, le scénario rebondit donc sur un affrontement amusant avec le catcheur Hulk Hogan et la tragédie occasionné par la mort de Mickey. La suite du récit est répartie entre une remise en question de Rocky et deux affrontements avec l’odieux Clubber Lang incarné par Mister T. Ainsi, les scènes introspectives du héros parviennent à rendre le film plus sombre, et les entrainements, bercés par la chanson mythique composée par le groupe Survivor, permettent de réhabiliter le personnage d’Appolo Creed. Si les combats contre Lang sont d’une violence galvanisante, la caractérisation brutale et sans subtilité du nouveau chalenger font perdre beaucoup de l’image positive que les films avaient su donner de la boxe.
J’ai été un peu déçu par ce troisième film. Je pensais voir un film surpassant les deux premiers, mais au final non. Il n’est pas mauvais, bien au contraire. Juste un cran en-dessous des deux précédents. Bon, je ne vais pas mentir, j’ai une nouvelle fois beaucoup apprécié la première partie du film, où on découvre comment Rocky gère sa victoire ; ce qui pour le coup est complètement l’opposé du deuxième film. Le contraste entre les deux est vraiment saisissant et c’est, je pense, ce que j’ai le plus apprécier dans ces deux-là. Après, l’histoire de la revanche, nous avons droit à celle de la résurrection. Et si cette histoire m’a moins emballé (même si la partie sur la « chute » de Rocky est très intéressante, dans la lignée de ce que je disais plus haut) que les deux autres, elle n’en reste pas moins intéressante et véritable source d’énergie quand on est en difficulté. Je comprends mieux à présent ce que ressentait ma mère quand elle révisait ses exams avec la musique en tête. Les acteurs restent au même niveau, que ce soit les anciens ou les nouveaux. Côté technique, on reste là aussi dans le même acabit que le précédent film, avec une mise en scène efficace et des combats immersifs.
Une pointe de déception donc avec cet opus (histoire très classique et prévisible au final), mais qui n’en reste pas moins tout à fait honorable pour cette saga. La conclusion est particulièrement sympa.
Une pointe de déception donc avec cet opus (histoire très classique et prévisible au final), mais qui n’en reste pas moins tout à fait honorable pour cette saga. La conclusion est particulièrement sympa.
Ce troisième opus est l'apothéose de la saga Rocky.
J'ai entendu ça et là que ce troisième perdait de l’intérêt vis à vis des deux premiers, mais NON !
Je ne peux pas expliquer exactement pourquoi ce film termine parfaitement les deux précédents sans révéler l'intrigue, mais chez cette alchimie des Rocky, doute chez le personnage, surestimation de son adversaire et surtout le caractère provocateur sans vergogne de ce dernier, nous oblige à perdre espoir autant que notre héros. Tout nous porte à croire que tout est perdu avant le match, mais l'Italian Stallione renaît de son défaitisme pour reprendre son entraînement de titan sur "Gonna Fly Now" et nous voilà de nouveau spectateur de la hargne inarrêtable de notre lutteur de fer =D
Donc oui, cette opus ( en tout cas pour ma part ) est aussi bon que les précédents, même si je l'accorde, il y manque quelque chose, rien n'est éternel. Le déclin commence réellement à partir du quatrième où Rocky ne se bat même plus malgré ses séquelles, donc le shéma n'est pas le même en plus du fait qu'il soit seulement entraîneur, c'est là qu'on voit qu'il n'y a même plus d'âme, juste du recyclage stupide d'une saga pourtant si excitante. Rocky, Rambo. Ces films sont souvent perçus comme bourrin et sans intérêt mais je les ai vu avec ce sentiment et pour moi ces films sont magiques. ( Bon pour rambo seulement le premier, faut pas déconner )
J'ai entendu ça et là que ce troisième perdait de l’intérêt vis à vis des deux premiers, mais NON !
Je ne peux pas expliquer exactement pourquoi ce film termine parfaitement les deux précédents sans révéler l'intrigue, mais chez cette alchimie des Rocky, doute chez le personnage, surestimation de son adversaire et surtout le caractère provocateur sans vergogne de ce dernier, nous oblige à perdre espoir autant que notre héros. Tout nous porte à croire que tout est perdu avant le match, mais l'Italian Stallione renaît de son défaitisme pour reprendre son entraînement de titan sur "Gonna Fly Now" et nous voilà de nouveau spectateur de la hargne inarrêtable de notre lutteur de fer =D
Donc oui, cette opus ( en tout cas pour ma part ) est aussi bon que les précédents, même si je l'accorde, il y manque quelque chose, rien n'est éternel. Le déclin commence réellement à partir du quatrième où Rocky ne se bat même plus malgré ses séquelles, donc le shéma n'est pas le même en plus du fait qu'il soit seulement entraîneur, c'est là qu'on voit qu'il n'y a même plus d'âme, juste du recyclage stupide d'une saga pourtant si excitante. Rocky, Rambo. Ces films sont souvent perçus comme bourrin et sans intérêt mais je les ai vu avec ce sentiment et pour moi ces films sont magiques. ( Bon pour rambo seulement le premier, faut pas déconner )
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