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Zerias
3 abonnés
89 critiques
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3,0
Publiée le 11 juillet 2011
Le premier bon film de la saga, Mr.T est impeccable, Stallone a appris à jouer, par contre Talia Shire est toujours là et Polly est de plus en plus lourdingue. Les musiques sont juste légendaires.
Le meilleur des Rocky est bien sur le tout premier mais pour avoir revu récemment la saga dans sa totalité toutes les suites mêmes celles qui peuvent sembler plus faibles sont agréables à regarder à défaut d'être des films extraordinaires. De toute façon en général je suis plutôt bon public avec Sylvester Stallone qui est aussi comme le précédent à la barre comme réalisateur. On peut être surpris que ce 3ème opus est pour certains considérés comme le meilleur film de la saga pourtant il est indéniablement efficace ; le combat au début entre Rocky et Thunderlips (joué par le catcheur Hulk Hogan) est assez jouissif à voir puis bien sur le face-à-face entre Rocky et le boxeur joué par Mister-T offre un final explosif qui fait la force de cette saga même si on sait qui va vaincre on reste quand même cramponné à son siège. Pour apporter un peu de piment tout n'est pas facile car Rocky devrai faire appel à son ancien adversaire Appolo Creed pour retrouver la rage de vaincre qu'il a perdu avec sa vie de riche oisif (certains moments peuvent faire sourire, la scène de la plage est un peu involontairement comique) tandis que de son côté Clubber Lang (son côté provocateur est inspiré de Cassius Clay) s'entraîne en solo d'ailleurs on ne le verra pas tant que cela. On retrouve avec plaisir d'autres personnages de la saga Paulie le beau-frère parfois casse-c... mais qui apporte une touche d'humour et un peu de drame avec la spoiler: mort de Mickey.
Sinon par rapport au 2 ce 3ème opus change dans son style, on est dans les années 80 avec parfois une approche presque clipesque de la mise en scène accentuée par la B.O. qui reste toujours marquante de nos jours notamment le fameux Eye Of The Tiger du groupe Survivor ; en bref on a un bon film toutefois moins subtil que les 2 premiers Rocky, pas du grand cinéma mais du bon divertissement.
Le seul fait de faire un film uniquement à des visées commerciales est rédhibitoire. Alors quand en plus, le renouvellement n'est pas présent, l'originalité absente et la prévisibilité de mise, et bien on oublie vite. Malgré l'efficacité des scènes de combat et la légendaire chanson titre, ce Rocky là est de trop.
Absolument rien de nouveau par rapport aux deux premiers. Si vous les avez déjà vus, inutile de perdre votre temps avec celui-ci. Ce n'est pas vraiment un mauvais film mais c'est un film alimentaire.
Stallone nous avait habitué à du grand n'importe quoi dans bon nombre de ses films, mais "Rocky III" est plus une grande farce qu'autre chose. La seule qualité du film semble être la prestation de l'acteur-réalisateur qui tient la totalité de son œuvre sur ses seules épaules (qui sont fortement musclées, soit dit en passant). On s'attendrit pour Rocky, ce colosse au cœur d'argile, tout comme on frémissait devant ses efforts au tout début de la saga, où il n'était qu'un boxeur parmi tant d'autres. Coté défauts, la liste sera en revanche plus longue : méchant pas vraiment charismatique (ne se contente que de hurler, cracher et de causer des attaques cardiaques), scènes inutiles (le combat de catch) ou totalement bâclées (la mort de l'entraineur de Rocky, complètement insipide). Le dynamiste déclenché instinctivement par "Eye of the Tiger" ne semble plus qu'un lointain souvenir, rappelant vaguement un "Rocky" des temps anciens, illustre et regretté ancêtre de celui-ci.
Mon étoile va à la chanson titre qui est particulièrement réussi. Pour le reste le film est très, mais vraiment très mauvais. Il ne peut plaire qu'aux amoureux de la boxe et seulement ceux-là. Les autres peuvent passer leur chemin !
Scénario ultraclassique (la défaite, la déprime, la remontée de pente et la victoire), avec acteurs payés pour en faire des tonnes, ce qu'ils font du reste avec conviction, à défaut de réel talent. En même temps, on n'est pas chez Bergman ou Antonioni donc bon...Comme tout le monde, j'ai surtout retenu de ce film la musique. poum ! poumpoumpoum ! poum pouuum pouum ! poum poum poooooooum ! (oh tu fais vachement bien le chat, merci merci, non non je t'assure).
Désormais très loin des origines de la saga, ce Rocky III, très strass et paillettes, tente de se trouver une noirceur via un méchant vraiment méchant. Echec total sur toute la ligne, d'autant que le film ne sait susciter qu'ennui et fou rires.
Film pop-corn ... du spectacle ... Mais surtout, film qui me rappelle que quand il est sorti au cinema (a l'epoque pas encore de DivX), je n'etais encore qu'un simple lycéen ... Ce film symbolise pour moi, une epoque révolue.
Le premier virage de la sage est ici, un antagoniste, plutôt gros bourrin, un Rocky riche et célèbre, petite vie de famille bien rangée. Il veut s'arrêter mais reprend les gants pour venger Mickey. Un Mister T impérial de charisme qui pourtant incarne un rôle important pour la première fois. Un virage blockbuster qui fait plaisir et à permis à la saga de perdurer.
Pour le troisième opus de la série, Stallone, devant et derrière la caméra signe un pur Rocky, à la fois très efficace et spectaculaire, avec sa petite touche d'émotion, avec pour adversaire, un sublime Mister T. Après niveau scénar, faut pas être exigeant hein !
Plus connu pour son tubesque "Eye of the tiiiiigeeeeeeer" du groupe Survivor ou pour la participation de Mr.T. (Barracuda dans "Agence tout risques") que pour l'indéniable manque de finesse du film, de la réalisation et du scénario. Bref, un navet, mais par rapport aux deux films à suivre dans la saga, ça reste un grand film. C'est dire.
Ce troisième opus illustre la difficulté de rester au top. Sylvester Stallone est dans une forme impressionnante même s'il paraît presque chétif par rapport à Carl Weathers ou Mister T et carrément minuscule face à Hulk Hogan. Au delà du physique, le héros traverse une phase de doute puis de rebond grâce à un entourage qui garde confiance en lui et l'accompagne dans sa transformation. Les scènes d'entraînement et de combat prennent une place beaucoup plus importante que dans les deux premiers de la série. La fluidité nouvelle du champion se retrouve dans les mouvements de caméra beaucoup plus rapides, donnant plus de rythme que dans les épisodes précédents. Quelques belles scènes plus intimes viennent adoucir l'ensemble comme lorsque Rocky raconte l'histoire de Boucle d'Or à son fils, comme tant de papas l'ont fait, ou encore lorsque Adrian lui explique à que c'est d'abord pour lui qu'il doit se battre. Une belle métaphore de renaissance.