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Travis.B33
43 abonnés
724 critiques
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4,0
Publiée le 28 mars 2009
Un film très réaliste;Edward Norton encore une fois été efficace.Le film a su rester passionnants et captivants jusqu'à la fin.Les musiques du film m'ont beaucoup plu.
Dans la lignée de Summer of Sam: ca traine, ca traine et au final, un sentiment de fatigue mélé à une grande satisfaction que la fin arrive. Bon, en même temps, j'aurai du m'en douter, les films de Spike Lee sont toujours moyens mais ca fait cinemato-intello de dire que c'est bien. En revanche, Edward Norton, tu m'as bien décu. Quand on voit un American History X et ca, il y a un monde....
Un bon film , avec beaucoup de discussions , c'est clair quelqu'un qui recherche un film d'actions avec des gangsters à chaque coins de rues vont être déçu , mais la psychologie de chacun sur ce dernier jour avant la prison est trés intéressant , aprés que ce soit un grand réalisateur ou de bons acteurs je m'en fout , seul le rendu du film m'intéresse et j'ai passé 2 heures agréables , à voir
Un tres bonn film Post-11 Semptembre . Pas beaucoup a dire a part que Norton joue comme a son habitude tres bien , que les dialogues sont efficaces et finement ecrit , qu'il y a une belle fin mais peu surprenant . A voir , car histoire asser originale que les dernieres 24 h avant d'etre emprissone pour 7 ans et aussi car il y a surtout une bonne scene culte '' Fuck You ''
Une histoire originale, on rentre petit à petit dans la vie du personnage avec des flash backs. Le seul hic c'est la crédibilité de Norton, qui passe pour un vrai gentil garçonnet dans son jeu d'acteur.
Où est le Spike Lee satiriste, espiègle et provocateur, dénonçant entre autres la vénalité des blacks et de l'administration scolaire américaine (He Got Game), les préjugés raciaux des patrons blancs (Jungle Fever), et des noirs (Mo Better Blues), les préjugés machistes et rétrogrades de la communauté d'origine italienne (Do The Right Thing) et la bêtise des foules déchaînées (Summer Of Sam) ? Ce Spike Lee nouveau m'a paru terne, morne, bref, très décevant. Enfin, tout le monde a droit à son erreur de parcours. Scorsese n'a t-il pas commis la sienne tout récemment ? Il est fort inquiétant par contre de constater que parmi tous les excellents films précédents du réalisateur, c’est sur cette « 25ème heure » que se porte la préférence des critiques professionnels. Un film hyper aseptisé, archi calibré, bien conventionnel, dépourvu de critique sociale, avec des situations complètement "déjà vu" (Le prof et son élève...), et des personnages (le héros, pour commencer...), des épisodes (la mafia russe...) à la limite du crédible.
Avec "La 25ème heure", Spike Lee nous livre son film le plus touchant en nous faisant vivre les dernières heures d'un dealer avant qu'il n'aille en prison. Lors d'une dernière soirée, Monty (superbement interprété par Edward Norton dont le monologue face au miroir dans les toilettes est déjà culte) réunit ses deux amis d'enfance et sa petite amie pour faire ses adieux. Tourné peu après les attaques du 11 septembre, le film nous montre les résultats du traumatisme de ces attentats dans une New York filmée de manière réaliste par Spike Lee. Celui-ci, habile derrière sa caméra, filme la dernière balade de Monty avec une certaine mélancolie, laissant l'émotion venir d'elle-même et les seconds rôles avoir leur place au sein de l'histoire (d'ailleurs que ce soit Philip Seymour Hoffman, Barry Pepper, Rosario Dawson ou Brian Cox, ils sont tous excellents). Bénéficiant d'une sublime musique et de la prestation habitée de Norton, le film aborde des thèmes qui ne peuvent nous laisser indifférent que ce soit la rédemption ou les choix que l'on a fait ou non qui définissent notre vie. Superbe.
Ah oui copieux, on pourrait se lancer dans des spéculations diverses et variées sur les idées du film mais cela me paraît un peu vain par contre bonjour la virtuosité. Les fanas d'actions seront déçu mais les deux heures du film passent très bien. Encore un bon rôle pour Edward Norton qui a aussi la chance d'avoir un excellent doubleur qui fait merveille lors du monologue spoiler: "J’emmerde les p’tits mecs d'allociné avec leurs pectoraux épilés à la cire et leurs biceps gonflés aux hormones, qui se taillent des pipes dans les allées de mes parcs ou sur mes quais et que je trouve la nuit à mettre des notes négatives..."
vous avez le choix, entre vivre dans le mensonge et avoir une vie de paix et d'amour, ou vivre avec raison mais avoir une vie de souffrance et de peur ! Superbe démonstration de Spike Lee