Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Chant d'amour sans retenue à une actrice, le film devient ode aux acteurs, au phénomène même de l'incarnation, poussant très loin - mais avec quelle émotion ! - l'étrange processus par lequel des corps donnent chair à une idée, à une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Moins déchirant que SUE..., moins noir que FIONA, BRIDGET n'en demeure pas moins étrange et fascinant, par les inlassables scènes chocs et jusqu'au-boutistes mêlées à des instants de repos, parfois drôles.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
Si le couple Amos Kollek-Anna Thomson fonctionne encore parfaitement, le scénario alambiqué n'atteint jamais la désespérance et la justesse de Sue. Ce nouveau conte urbain séduit sans peine, mais n'émeut pas.
Aden
par Philippe Piazzo
On a du mal à croire à la sincérité d'un film qui joue sur tous les tableaux sans s'y engager vraiment, mais on suit cette traversée sans jamais quitter des yeux l'inclassable Anna Thomson. Elle est ailleurs.
Cine Libre
par Maureen Loiret
Même si ce cher Amos a forcé la dose, ça fait du bien de voir Anna Thomson pour une fois dans la peau d'une femme rangée, aussi " classe " que la divine Audrey Hepburn !
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) un portrait de femme sans surprise, qui vaut surtout pour son interprète.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Mais, malgré sa présence en compétition au dernier Festival de Berlin cet hiver, cette " Bridget " de bric et de broc ne tiendrait guère sans le charme... étrange et pénétrant d'Anna Thomson, vénéneuse et touchante, qui dit de ce film qu'il est son film le plus " autobiographique " . Bigre !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les niveaux de récit ne communiquent pas. C'en est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
On reprend les mêmes et on recommence. En plus joyeux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Amos Kollek donne du rythme à sa fable en noir et rose. Plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
De l'humanité d'un Sue perdue dans Manhattan, seul coup d'éclat du cinéaste, ne subsiste ici qu'une sorte de résidu artificiel, racoleur, fondé sur des personnages en toc (...) et une mécanique de fable trop huilée pour être touchante.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Il y a quelque part beaucoup de masochisme de la part d'Anna Thomson à laisser Kollek la filmer avec un tel soin pervers. Tel un oiseau en cage, la comédienne semble constamment se débattre contre le ridicule dans ce grand foutoir, nanar prétentieux et verbeux. Le ton et l'humour décalé de Kollek ne font ici plus illusion ; la médiocrité de la mise en scène de l'auteur n'en ressort alors que plus ouvertement.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Didier Péron
On ne peut que redire ici encore à quel point Anna Thomson sait tenir le spectateur suspendu à sa changeante morphologie, son corps déboîté. Mais, puisque malaise il y a, et savamment cultivé qui plus est, on voudrait qu'une âme secourable interrompe finalement le cercle vicieux qui semble emporter le Pygmalion et sa créature toujours plus bas, au fond du trou.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Difficile (...) de dissocier la fiction de la réalité, de séparer le vécu du fantasmé, bref de portr un jugement critique sur ce qui s'apparente plus à un exutoire thérapeutique qu'à un film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Chant d'amour sans retenue à une actrice, le film devient ode aux acteurs, au phénomène même de l'incarnation, poussant très loin - mais avec quelle émotion ! - l'étrange processus par lequel des corps donnent chair à une idée, à une histoire.
MCinéma.com
Moins déchirant que SUE..., moins noir que FIONA, BRIDGET n'en demeure pas moins étrange et fascinant, par les inlassables scènes chocs et jusqu'au-boutistes mêlées à des instants de repos, parfois drôles.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Si le couple Amos Kollek-Anna Thomson fonctionne encore parfaitement, le scénario alambiqué n'atteint jamais la désespérance et la justesse de Sue. Ce nouveau conte urbain séduit sans peine, mais n'émeut pas.
Aden
On a du mal à croire à la sincérité d'un film qui joue sur tous les tableaux sans s'y engager vraiment, mais on suit cette traversée sans jamais quitter des yeux l'inclassable Anna Thomson. Elle est ailleurs.
Cine Libre
Même si ce cher Amos a forcé la dose, ça fait du bien de voir Anna Thomson pour une fois dans la peau d'une femme rangée, aussi " classe " que la divine Audrey Hepburn !
Le Parisien
(...) un portrait de femme sans surprise, qui vaut surtout pour son interprète.
Les Echos
Mais, malgré sa présence en compétition au dernier Festival de Berlin cet hiver, cette " Bridget " de bric et de broc ne tiendrait guère sans le charme... étrange et pénétrant d'Anna Thomson, vénéneuse et touchante, qui dit de ce film qu'il est son film le plus " autobiographique " . Bigre !
Les Inrockuptibles
Les niveaux de récit ne communiquent pas. C'en est fascinant.
TéléCinéObs
On reprend les mêmes et on recommence. En plus joyeux.
Télérama
Amos Kollek donne du rythme à sa fable en noir et rose. Plaisant.
Cahiers du Cinéma
De l'humanité d'un Sue perdue dans Manhattan, seul coup d'éclat du cinéaste, ne subsiste ici qu'une sorte de résidu artificiel, racoleur, fondé sur des personnages en toc (...) et une mécanique de fable trop huilée pour être touchante.
Chronic'art.com
Il y a quelque part beaucoup de masochisme de la part d'Anna Thomson à laisser Kollek la filmer avec un tel soin pervers. Tel un oiseau en cage, la comédienne semble constamment se débattre contre le ridicule dans ce grand foutoir, nanar prétentieux et verbeux. Le ton et l'humour décalé de Kollek ne font ici plus illusion ; la médiocrité de la mise en scène de l'auteur n'en ressort alors que plus ouvertement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
On ne peut que redire ici encore à quel point Anna Thomson sait tenir le spectateur suspendu à sa changeante morphologie, son corps déboîté. Mais, puisque malaise il y a, et savamment cultivé qui plus est, on voudrait qu'une âme secourable interrompe finalement le cercle vicieux qui semble emporter le Pygmalion et sa créature toujours plus bas, au fond du trou.
Première
Difficile (...) de dissocier la fiction de la réalité, de séparer le vécu du fantasmé, bref de portr un jugement critique sur ce qui s'apparente plus à un exutoire thérapeutique qu'à un film.