Avis : Le Cercle - The Ring - Page 2

Que ça car ce film d'épouvante fait pas peur; l'histoire est pas mal mais ne se prête pas à en faire un modèle de l'horreur. J'ai regretté de le voir, mais on me dit que la version asiatique est bien meilleure, j'essayerai. En attendant je reverrais pas celui-ci, seul le môme à une tête inquiétante. Passez votre chemin, et Naomi Watts faut qu'elle change de registre, depuis King Kong rien de bien, la blonde qui crie ça va entre 15 et 25 ans pour une actrice, après... ça craint comme son jeu et le film.

Et c'est bien payé pour ce film d'horreur au scenario pourri qui ne fait pas peur une seule seconde par contre bien pour s'endormir en quelques minutes.

Remake de l'excellent ring n'a pas le même effet que l'original. Si certaines scènes visuelles gardent leur impact,l'ambiance du film est moins réussie. L'original surpasse de loin cette version américaine.

« il existe une cassette vidèo. Si vous la regardez sept jours plus tard vous êtes mort ! » L'un des aspects de ce remake à la sauce amèricaine, c'est le soin apportè à la mise en scène de Gore Verbinski! Une belle carte de visite avec du talent technique à revendre (la photographie est particulièrement soignèe avec une lumière verte et bleue remarquable) mais un manque d'originalitè (le principe de la cassette tueuse n'est plus nouveau depuis la version japonaise) et de scènes tape-à-l'oeil handicapent du coup cette copie conforme de 2002! Du charisme et de la conviction, Naomi Watts en a! Le jeune David Dorfman, lui, en est dèpourvu! Son interprètation est exècrable avec une fumisterie exaspèrante dans sa version française! Intèrêt très limitè donc si on n'a vu le remake du japonais Hideo Nakata! Reste une ambiance angoissante assez efficace dans le style dèjà fait / dèjà vu! A partir du moment où la malèdiction est lancèe, il fallait s'attendre à un nouveau film de terreur en 2005: "Le Cercle - The Ring 2" de Hideo Nakata ! Oui oui, c'est bien le metteur en scène nippon de "The Ring", premier du nom, qui reprend les rennes au pays du hamburger...

Le problème de ce remake amércain,c'est justement qu'il s'agit du remake d'un film d'épouvante nippon de haut niveau. Si la réalisation de Gore Verbinski est très appliquée,et mise sur des effets gentiment chocs,elle ne se démarque jamais de l'original,le plus gros budget constituant au contraire un frein à l'inventivité. Malgré tout,"le Cercle-The Ring"(2002)fait son petit effet,avec ses images de maison inondée,d'enfant d'outre-tombe possédé ou de puit nauséabond. De plus,avoir la splendide Naomi Watts en tête d'affiche ne peut être qu'un atout. Mais à ne pas surtout pas comparer avec l'original!

Le Cercle - The Ring est certainement l’un des meilleurs films du genre. La mise en scène de Gore Verbinski est efficace, il nous tient en haleine tout le long et le rythme est parfait. Le film est surprenant et le scénario travaillé. De plus, les acteurs comme Naomi Watts, Brian Cox ou encore Martin Henderson sont convaincants dans leurs rôles. Bref, on passe un bon moment de frissons.

toujours efficace après quelques années, le film distille son atmosphère veneneuse et inquiétante avec talent.

En plus d'être un film d'épouvante quasi parfait, "The Ring" se permet l'audace de surpasser son original, en radicalisant ses propos et ses effets. Mis à part la séquence culte de la traversée d'écran, plus spectaculaire mais moins impressionnante et flippante, tout le film baigne dans une angoisse et une paranoïa maîtrisées de bout en bout. Du grand art en matière de frisson !

Et voila le remake de "The ring" de G. Verbinski ou "comment je me plante quand je m'attaque a trop gros".
Dans le meme registre que le delire scénaristique de Scorsese avec infernal Affairs, le réalisateur a décidé de condenser la trilogie pour en faire un seul et unique volet; On y trouve donc les grandes lignes de "Ring" et "Ring 2" et en plus des reponses concernant l'histoire de Sadako caracteristique de "Ring 0". L'avantage est que le remake est plus rythmé que l'original avec tous ces elements scénaristiques, l'inconvenient est bien sur que l'oeuvre est formaté au possible pour un public Ricain. il y a tout d'abord une jolie blonde toute mince et bete au possible qui a un copain qui laisse présager un superbe carrure musculaire. Celle ci crie trés fort quand elle a peur et meme si elle s'apelle Naomi Watts, son jeu est tres stéréotypé et prévible.
Au final que dire de ce film si ce n'est qu'il comblera beaucoup de néophite n'ayant pas vu l'original. De plus, le public Ricain dopé a coup de Scream n'aura jamais la même sensibilité que le public Japonais au sujet des histoires de Fantomes due au fait que les histoires de Fantomes sont tres présent dans la culture nippone depuis des siecles a travers la peinture, le theatre, la littérature et plus récemment le cinema.
Vraiment aucun interet donc.

Critique "The Ring". Un bon film d'horreur comme on en voit rarement ces dernières années.
Naomi Watts est vraiment une très bonne actrice, après sa mythique performance dans Mulholland Dr. , elle sort encore le grand jeu. Le film est bien rythmé, l'intrigue est palpitante et on vit le film comme les personnages. 3,5/5

Vu au ciné....Me rappelle en etre sorti enchanté ....Plus flippant a mon sens que la version asiate.

Thriller horrifique vraiment très réussi !!! Alors certes dans mes souvenirs on flippait un peu plus mais le scénario est suffisamment consistant et intrigant pour nous faire frissonner mais j'aurais aimé un peu plus de scènes avec Samara !!! Disons que j'aurais préféré voir la version japonaise !! Les asiatiques ont le don de nous faire peur avec leurs fantômes qui ont un aspect si particulier (comme dans le Grudge qui est le film le plus terrifiant qui soit !!) Il n'empêche que ce film est excellent et qu'on reste scotché à son écran jusqu'à la fin !!

J’avais de lointains souvenirs de ce film, alors je l’ai revisionner, et je dois dire que j’ai été ravi. Un film de très bonne tenue, qui fait honneur à la filmographie de Verbinski, bien qu’il s’agisse d’un remake.
Coté acteurs, c’est du très solide. Naomi Watts épate dans un rôle intéressant, livrant une prestation réaliste face à des événements paranormaux ou non d’ailleurs déstabilisants. Elle mène bien la danse, et elle forme un très bon duo avec Martin Henderson, non moins efficace. Mais David Dorfman qui joue le gamin n’est pas à oublier non plus, car sa prestation malgré son jeune âge tient bien la route, surtout que sa prestation n’était pas des plus aisées, et on notera dans la version française un doublage de qualité. Pour le reste les seconds rôles tiennent tout à fait la route, de ce coté là il n’y a pas de soucis.
Le scénario est très travaillé, et c’est quelque chose que l’on appréciera. Il s’agit bien entendu d’un remake, aussi il est toujours difficile de rendre un jugement sur les qualités réelles d’imagination du métrage, mais en tout les cas ici c’est très convaincant. Le rythme est prenant, le suspens est haletant, l’élément fantastique un peu laborieux au début avec un coté « légende urbaine » moyen finit par s’ancrer de mieux en mieux dans le métrage, et l’enquête conduite est intéressante. En fait The Ring apparait comme un thriller fantastique intelligent, et qui parvient à mon sens à éviter fort bien le ridicule, en risquant pourtant un mélange des genres audacieux qui pouvait laisser craindre le pire (et le début très « Scream » avait de quoi faire peur). Bonne conclusion de surcroit.
Visuellement la réalisation de Verbinski est excellente. On sent quelqu’un de talentueux, et sa mise en scène est redoutable de précision. Les effets ne tombent jamais à plat, les angles de vues sont parfaitement choisis, il y a quelques passages brillantissimes (la chute dans le puits) et Verbinski se débrouille très bien avec un élément terriblement ardus : rendre pertinent les interactions entre rêves et réalité ou encore les ruptures entre les deux. De même les décors sont tout à fait réussis, et le travail sur l’ambiance, terriblement sensible (chlorophylles à outrance, vents, humidité) est mémorable. En revanche quelques critiques sur l’abus de filtres de couleurs. Un peu trop de bleu et de vert finissent par donner une trop grande linéarité au métrage, qui aurait pu s’accommoder de temps à autres de quelques ruptures. Je comprends la volonté d’établir un climax froid et triste, mais parfois il faut savoir jour habilement pour éviter que le spectateur ne s’y habitue. Alors The Ring n’est pas un film d’horreur, clairement. C’est un thriller fantastique à mon sens, et en tout état de cause il n’y a rien de vraiment sanglant dans ce film. Toutefois je considère son interdiction aux moins de 12 ans justifiée. A noter en revanche d'excellents effets spéciaux, pour le cheval par exemple. Au niveau de l’ambiance sonore la musique est sobre mais bien adapté au métrage. J’aurai toutefois apprécié un thème plus audacieux, plus à la hauteur d’un film de genre qui a tout de même eu les honneurs des salles, puisque là ca reste tout de même relativement commun.
Pour conclure, The Ring est un métrage original d’un niveau qualitatif des plus appréciables. Bien mené par une équipe pleine de conviction, on a là un film qui sans renier ses origines asiatiques (la créature, très asiatique) offre une variation des plus soignées. Je rapproche beaucoup ce film d’Hypnose avec Bacon, et indéniablement je crois que ceux qui aiment ce genre de film avec un suspens prenant teinté d’éléments fantastiques se régaleront. N’ayant relevé que quelques anicroches assez minimes, je ne peux que pousser jusqu’à 4.5.

C'est sur le personnage interprété par Naomi Watts que je souhaiterais tout d'abord m'attarder car il est le plus représentatif de ce film et même du cinéma d'horreur aujourd'hui. Celle-ci campe une blonde de plus assez représentative du cliché qu'on peut en avoir. D'une bêtise affligeante, elle n'esquisse pas la moindre réaction devant le danger, n'est là que pour pallier le vide de l'espace et rappelle les héros monolithiques de films d'actions. Sans inspiration, le genre devient de plus en plus moribond à mes yeux, n'étant capable de nous ressasser que du déjà-vu avec pour grandes nouveautés incroyables de simples variantes sur des thèmes utilisés mille fois auparavant. Le formatage est devenu légion, tout comme les réalisations qui succombent soit à la charcuterie visuelle avec des montages d'une laideur absolue, soit dans l'ennui complet en essayant de jouer sur un faux rythme comprenant quelques supposés sursauts de temps à autre. "The Ring" fait partie de cette deuxième catégorie. D'ambiance inquiétante, il n'a pas mais espère sans doute s'adresser à un public d'école primaire. Partant d'une idée de base un peu grotesque, il ne tente même pas d'y exploiter la peur de l'inconnu, ne joue pas sur la suggestion. S'enfonçant dans des passages d'un ridicule absolu, il ramollit les nerfs du spectateur de manière consternante. L'ensemble est très lent mais pense faire peur au cours de phases rapides où l'on n'a pas le temps de voir quoique ce soit. Le suspense est réglé au nombre de plans à la seconde, atteigant son paroxysme lorsque le réalisateur nous expose un superbe diaporama abstrait ! Absolument nullisime, le film est surtout le reflet parfait de ce que devient malheureusement trop souvent Hollywood aujourd'hui : un distributeur de produits finis, emballés sous cellophane et prêts à être consommés une boîte de pops-corns à la main. C'est lamentable.

Impossible de sortir de cette ambiance de ce film, une fois commencer, on ne peut pas s'arréter avant la fin. Du suspense tout le long, ce film est tout simplement effrayant...