Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Les défauts de ce film humble (un jeu inégal et des dialogues convenus) n'entament pas l'authenticité avec laquelle nous est peinte cette idylle charnelle, sur fond de guerre civile. (...) Pivot de l'affrontement fratricide qui oppose militants du FLN et partisans du leader nationaliste Messali Hadj, Sami Bouajila offre une interprétation intéressante, toute en brusquerie. On notera le beau travail de Bruno de Keyzer sur les éclairages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Si l'on retient l'élégance de certains traits de la mise en scène, on reste surtout sous le charme de ses deux acteurs principaux, les excellents Nieve de Medina et Sami Bouajila, gracieux et sensuels, d'une belle intensité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Anthony Wong
Si "Avant l'oubli" ne réussit pas totalement à faire abstraction d'images démonstratives (...), il fait preuve d'une véritable ambition cinématographique. Loin de l'oeuvre formatée attendue, le film se pare d'une mise en scène soignée, dont le superbe Cinémascope restitue la canicule marseillaise.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un sujet original (...) malheureusement peu approfondi, et noyé dans un sirop mélodramatique sans grande saveur.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
L'évolution psychologique des personnages semble ainsi souvent précipitée, les mécanismes de la lutte indépendantiste sont parfois obscurs et certaines scènes s'enchaînent sans véritable liant. De fait, le film perd une grande partie de sa force émotionnelle, laissant le spectateur sur le côté de la route. Pourtant, on ne peut s'empêcher de s'intéresser à cette histoire, notamment parce que le cinéaste évite tout manichéisme, en montrant avec justesse les différents visages et positionnements de la lutte algérienne.
Ouest France
On devine les bonnes intentions de l'auteur. Et la forte sincérité de ses convictions. Il parvient ici et là à nous les faire approcher parce que son sujet est fort. Mais malgré la présence de Sami Bouajila et de Nieve de Medina, l'ensemble reste bien empesé.
Première
par Isabelle Danel
La reconstitution d'époque empruntée et le romanesque pataud laissent parfois exister le vrai sujet de ce premier film sincère : les luttes fratricides et leur cruelle absurdité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par X. L.
Trop préoccupé de reconstitution historique, le film peine à donner corps aux personnages principaux.
Télérama
par Pierre Murat
Ça marche côté décors et costumes, comme sortis d'un film de Jacques Demy. Ça marche aussi côté mouvements de caméra, toujours élégants. Mais Nieve de Medina, inexpressive, a du mal à articuler son texte. Ses partenaires - hormis Frédéric Pierrot - semblent mal à l'aise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
Malgré le manque de moyens, la reconstitution reste honnête et le film éclaire avec sincérité l'absurdité des luttes fratricides.
Positif
par Paul Louis Thirard
(...) le film reste superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Les défauts de ce film humble (un jeu inégal et des dialogues convenus) n'entament pas l'authenticité avec laquelle nous est peinte cette idylle charnelle, sur fond de guerre civile. (...) Pivot de l'affrontement fratricide qui oppose militants du FLN et partisans du leader nationaliste Messali Hadj, Sami Bouajila offre une interprétation intéressante, toute en brusquerie. On notera le beau travail de Bruno de Keyzer sur les éclairages.
Les Inrockuptibles
Si l'on retient l'élégance de certains traits de la mise en scène, on reste surtout sous le charme de ses deux acteurs principaux, les excellents Nieve de Medina et Sami Bouajila, gracieux et sensuels, d'une belle intensité.
Score
Si "Avant l'oubli" ne réussit pas totalement à faire abstraction d'images démonstratives (...), il fait preuve d'une véritable ambition cinématographique. Loin de l'oeuvre formatée attendue, le film se pare d'une mise en scène soignée, dont le superbe Cinémascope restitue la canicule marseillaise.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Un sujet original (...) malheureusement peu approfondi, et noyé dans un sirop mélodramatique sans grande saveur.
MCinéma.com
L'évolution psychologique des personnages semble ainsi souvent précipitée, les mécanismes de la lutte indépendantiste sont parfois obscurs et certaines scènes s'enchaînent sans véritable liant. De fait, le film perd une grande partie de sa force émotionnelle, laissant le spectateur sur le côté de la route. Pourtant, on ne peut s'empêcher de s'intéresser à cette histoire, notamment parce que le cinéaste évite tout manichéisme, en montrant avec justesse les différents visages et positionnements de la lutte algérienne.
Ouest France
On devine les bonnes intentions de l'auteur. Et la forte sincérité de ses convictions. Il parvient ici et là à nous les faire approcher parce que son sujet est fort. Mais malgré la présence de Sami Bouajila et de Nieve de Medina, l'ensemble reste bien empesé.
Première
La reconstitution d'époque empruntée et le romanesque pataud laissent parfois exister le vrai sujet de ce premier film sincère : les luttes fratricides et leur cruelle absurdité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Trop préoccupé de reconstitution historique, le film peine à donner corps aux personnages principaux.
Télérama
Ça marche côté décors et costumes, comme sortis d'un film de Jacques Demy. Ça marche aussi côté mouvements de caméra, toujours élégants. Mais Nieve de Medina, inexpressive, a du mal à articuler son texte. Ses partenaires - hormis Frédéric Pierrot - semblent mal à l'aise.
Zurban
Malgré le manque de moyens, la reconstitution reste honnête et le film éclaire avec sincérité l'absurdité des luttes fratricides.
Positif
(...) le film reste superficiel.