Critique de D. Ozcan :
Powder, est le surnom du jeune adolescent Jeremy Reed, pour cause, de son albinisme impressionnant. Cet être surnaturel, doté de télékinésie, de télépathie, d'un Q.I. et d'une sensibilité indicible, a vécu jusqu'à la puberté dans la cave de la maison de ses grands parents décédés, comme s'y ces derniers voulaient entérrer un secret de famille. Cette oeuvre de Victor Salva (sortie le 27/10/95 au U.S.A. et le 19/06/96 en France), est pleine de poèsie, de lyrisme, d'une larme écologique et pour la conservation de la biodiversité, nous atteints à la zone sensible de notre âme, pour noyer ensuite nos glandes lacrymales, qui vont verser ses larmes instinctivement avec innocence et pureté sur nos joues. De plus, s'ajoute à cette oeuvre émouvante une eurythmie, une euphonie et une musique du virtuose compositeur Jerry Goldsmith, qui synchronise avec chaque scène du film. Aussi, les interprétations de Sean Patrick Flannery, Lance Henriksen, Mary Steenburgen et Jeff Goldblum sont tout à fait saisissantes, pathétiques et boulversantes. Par ailleurs, "Powder" remporta à sa rentrée le Prix du Public au Festival Gerardmer. Pour conclure, nous pouvons dire que "Powder" doit être vu au moins une fois pour tout amateur de cinéma, d'écologie, d'humanisme, de poèsie, de philosophie, de religion et de la vie.