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Votre avis sur Powder ?
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Film fantastique de 1995 qui est tout à fait correct et qui montre que la différence n'est en principe pas bien perçue. C'est un film à regarder plutôt qu'à expliquer. Mais pour faire court, un jeune homme albinos a des pouvoirs paranormaux et une intelligence bien au-dessus de la moyenne, et ça ne plaît pas à tout le monde.
Le meilleur film de ma vie. Il m'a changé la façon de regarder la vie. Sean patrick flanery est fabuleux dans le rôle de Jeremy Reed
Très bon film qui montre bien le décalage des surdoués(Hqi) et dans son cas Thqi avec des dons particuliers en prime. Un de mes films préférés passé un peu inaperçu lors de sa sortie en salle.
Portrait d’un jeune homme hors normes. Doublé d’une réflexion sur la nature humaine parfois enrobée d’un léger surplus de miel, « Powder » est un film méconnu qui mérite toutefois qu’on lui porte notre attention.
Un film d'une grande sensibilité, mais un peu manichéens, avec une bande originale magnifique de Jerry Goldsmith.
Plein d'humanisme, un chouia vintage, beau jeu d'acteur, j'ai bien aimé, un beau moment, belle découverte!
Je viens de voir ce film qui date un peu sur Disney +. Ce n’est pas terrible, le sujet de l’ado différent qui a e
Des pouvoirs extraordinaires... Prendre un acteur de 30 ans pour jouer un ado c’est ridicule, ça arrive souvent que des adultes jouent des jeunes de moins de 7 ou 8 ans mais là, c’est le double et ça se voit, tout comme le maquillage qui est tout bonnement catastrophique... L’histoire est banale c’est un film sans prétention qui dégouline de bons sentiments jusqj’a l’écœurement. Il peut peut-être plaire aux ados...
Des pouvoirs extraordinaires... Prendre un acteur de 30 ans pour jouer un ado c’est ridicule, ça arrive souvent que des adultes jouent des jeunes de moins de 7 ou 8 ans mais là, c’est le double et ça se voit, tout comme le maquillage qui est tout bonnement catastrophique... L’histoire est banale c’est un film sans prétention qui dégouline de bons sentiments jusqj’a l’écœurement. Il peut peut-être plaire aux ados...
Powder est un autre film créé à partir d'une formule à succès garanti. Prenez un enfant qui ne rentre pas dans le moule par exemple un albinos faites en sorte qu'une bande d'idiots ne l'aime pas donnez-lui des super pouvoirs et un QI exceptionnel (bien qu'il ne le montre jamais) jouez beaucoup de musique larmoyante et c'est un succès. Ce film aurait été un plus grand succès encore s'il y avait eu des coups de feu du sang et une poursuite en voiture. Ce film est loin d'être un hamburger de base c'est peut-être un petit pain rassis. Le super pouvoir du gamin était d'être un super aimant et semi télépathique. J'espère que cela ne gâche pas le film pour vous. Cela ne devrait pas car le film était une ruine dès le départ. La fin était aussi mauvaise que le film mais au moins c'était la seule partie qui était cohérente dans cette histoire...
Tous comme Phénomène avec Travolta sortie la même année, Powder se focalise sur un être extraordinaire aux capacités sur-développer qui se retrouve écarté, moqué de tous par des gens qui ne le comprennent pas et en on peur. Agréable à suivre car le scénario repose sur un principe simple, mais remplie de bons sentiments larmoyants jouant la carte de la sensibilité quasiment à chaque situations. Les acteurs sont relativement bons. Correcte dans l'ensemble.
Évidemment on ne peut pas comparer Powder, aux films actuels bourrés d'effets spéciaux...
Cela reste un film magnifique, sans artifices,Sean Patrick Flanery est formidable.
Il fait passer tellement d'émotions juste à travers son regard.
À voir et revoir....
Cela reste un film magnifique, sans artifices,Sean Patrick Flanery est formidable.
Il fait passer tellement d'émotions juste à travers son regard.
À voir et revoir....
Shawn777
Ce film, écrit et réalisé par Victor Salva et sorti en 1995, n'est pas mal du tout. C'est l'histoire d'un jeune garçon albinos aux pouvoirs surnaturels qui découvre le monde dont il a été coupé pendant quinze ans. C'est un film que j'avais dans mes tiroirs depuis des années mais que je n'ai regardé que maintenant car il ne m'attirait pas tellement mais je n'en suis, au final, pas déçu. J'avoue tout de même que, connaissant le genre de films du réalisateur, je m'attendais à une sorte de "Carrie" version éclairs. C'est à dire un garçon timide qui n'arrive pas à s'intégrer dans la société et qui finit par utiliser ses pouvoirs dans le but de se venger et de faire du mal. Ce n'est finalement pas du tout le cas, ce qui me surprend un peu. Nous sommes effectivement ici plus dans quelque chose de poétique je dirai, dans un compte fantastique moderne. L'histoire est en effet très belle et la fin assez inattendue, ce qui est une bonne chose. Malgré tout, le scénario est parfois assez bancal et notamment au niveau du rythme. Le film comporte en effet des passages très intéressants, notamment les scènes où Jeremy est confronté aux autres (la scène de la petite cuiller est géniale) et puis à côté de ça, nous avons des scènes assez lentes qui cassent un peu le rythme du film. C'est assez dommage car le sujet se veut pourtant passionnant mais on décroche malgré tout assez facilement à cause d'un rythme mal géré. Bon, on ne s'ennuie pas non plus car le film arrive à vite capter notre attention après un passage un peu lent mais cela nous sort quand même du film à plusieurs reprises. Du côté de la réalisation, on change aussi de registre (par rapport aux autres films du réalisateur) puisque nous avons ici quelque chose d'assez posé qui nous propose quelques plans originaux et très beaux (notamment toute la dernière scène du film). En ce qui concerne le casting, nous avons principalement Sean Patrick Flanery, Mary Steenburgen, Lance Henriksen et Jeff Goldblum qui jouent très bien. N'oublions pas non plus la B.O., signée Jerry Goldsmith, qui est très bonne. "Powder" est donc, malgré ses imperfections, un film qui n'est malheureusement que trop peu connu et qui est à découvrir.
Ce film est sensible, touchant et magnifique ! J'ai versé plusieurs larmes. Quelle expérience bouleversante.
Revoir ce film aujourd'hui, en bientôt 2017, m'a fait le même effet que lors de sa sortie : un coup de poing dans le coeur. On aimerait, on prierait presque pour que ce film magnifique et poignant sur le rejet des différences, sur le racisme, l'homophobie et la xénophobie ne soit plus du tout, du tout d'actualité... mais nous savons tous que ce n'est pas le cas. Nous savons qu'il est si facile de montrer du doigt, d'accuser, de juger, de rejeter, voire de démolir tous les êtres que nous ne comprenons pas, que nous estimons trop différents de nous, parce que nous voudrions nous complaire et stagner dans une uniformité rassurante et pourtant complètement illusoire... Nous souhaiterions que l'autre soit le parfait miroir de nos pensées, nos à-priori, nos principes, notre culture et des images bien balisées que nous avons dans la tête. Pourtant, "Il suffirait de presque rien" comme dit le poète, pour que nous comprenions que ce qui nous rassemble est bien plus intéressant que ce qui semble nous séparer, que nous pouvons explorer l'autre comme un nouveau et passionnant continent, que nous pouvons même essayer de se mettre un instant à sa place pour comprendre ses joies et ses souffrances, ses expériences et ses échecs, et que nous pouvons même - apprendre - de tout cela ! Oui, nous pouvons choisir l'échange, le dialogue, l'entraide, et même l'amitié plutôt que ce torrent de haine, de cynisme et de défaitisme sans fin qui se déverse sur nos réseaux, sur nos écrans, sur nos vies et même sur notre imaginaire... Autrement, nous pourrons bientôt dire adieu à notre Humanité, à son coeur même, sa raison d'être.
Histoire d’une solitude. Celle d’un surdoué presque omniscient, celle d’un enfant, dans le sens où adulte signifie compromissions sociales, certitudes, sensibilité au regard d’autrui, mensonges et stratégie, celle d’un monstre, celle d’un super-héros, celle d’un quasi-dieu perdu au milieu des primates civilisés.
Cette anomalie humaine semble composée d’une concentration de connexions électriques qui tend en permanence à établir l’unisson de tout ce qui l’entoure. Une fois passée la surprise des tours et péripéties électriques, nous sommes logiquement invités à se connecter aux objets, aux animaux, aux pensées et sentiments, aux cieux, et au-delà… Désespérant pour ce jeune phénomène de comprendre à quel point nous sommes loin d’en être prêt.
Ce conte triste mais merveilleux nous fait vivre une histoire de super-héros, une leçon d’humanité et d’isolement, et l’ouverture à la conception d’harmonie universelle.
Cette anomalie humaine semble composée d’une concentration de connexions électriques qui tend en permanence à établir l’unisson de tout ce qui l’entoure. Une fois passée la surprise des tours et péripéties électriques, nous sommes logiquement invités à se connecter aux objets, aux animaux, aux pensées et sentiments, aux cieux, et au-delà… Désespérant pour ce jeune phénomène de comprendre à quel point nous sommes loin d’en être prêt.
Ce conte triste mais merveilleux nous fait vivre une histoire de super-héros, une leçon d’humanité et d’isolement, et l’ouverture à la conception d’harmonie universelle.
Magnifique Leçon De Vie...
Je crois que la différence nous fait peur, et nous ne l'acceptons pas. Ce film est un parfait exemple. L'image qu'il nous transmet, la vision du monde face à de tel génie, est sans doute invraisemblable et pourtant... Ce film, nous donne à réfléchir, belle leçon d'humilité, de connaissances. Regarder le avec votre cœur et non avec vos yeux.
Je crois que la différence nous fait peur, et nous ne l'acceptons pas. Ce film est un parfait exemple. L'image qu'il nous transmet, la vision du monde face à de tel génie, est sans doute invraisemblable et pourtant... Ce film, nous donne à réfléchir, belle leçon d'humilité, de connaissances. Regarder le avec votre cœur et non avec vos yeux.
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