Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivier Joyard
Voici, donc : un film qui traverse le temps.
Cine Libre
par Ruth Legrand
De merveilleuses séquences parsèment le film, comme celles de l'ingénieur qui, comme la dentellière de Vermeer, travaille en pleine lumière sur une oeuvre que l'on ne peut pas voir. (...) En un dernier plan, don Learo, le maffieux, guette l'horizon, fusil en main. Derrière lui gît la lumière, Cordélia, éteinte ; l'a t-il tuée? Dort-elle seulement ? La sortie en salles l'a sans nul doute tirée de son sommeil pour qu'elle puisse enfin offrir à notre regard un chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Novaplanet.com
par Alex Masson
(Ce film) est resté mythique pour les gobardiens français. Ils devraient rester babas devant cet objet extra-terrestre dont on ne sait si le plus stupéfiant reste le propos ou le casting (...).
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
King Lear / JLG : une farce en images, sons, textes et paroles organisée par un clown au-delà du rire et des larmes ; des déflagrations de beauté transformiste qui arrivent sans crier gare, déchirent une bande son ornithologique presque agressive, perforent le film d'une émotion pure.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Rire et pleurer simultanément (le clown) ou réaliser un poème tragique en même temps qu'une mauvaise blague jubilatoire sur le dos des pires fossoyeurs du cinéma : bonheurs parmi tant d'autres offerts par ce petit chef-d'oeuvre de terrorisme jouissif et bienveillant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
Jean-Luc Godard en fait un film post-apocalyptique et, presque optimiste, un film sur la rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Véritable auberge espagnole, ce Lear offre ce qu'on veut y trouver, la violence et la haine, le pouvoir et la vertu comme chez le grand Will, un exemplaire des Vagues de Virginia Woolf sur lequel se dépose une vaguelette du lac, des portraits de Tati, Welles, Lang, Renoir, Pasolini et Bresson dont on convoque le Procès de Jeanne d'Arc, Woody Allen, Leos Carax, Julie Delpy, une photo sublime de Sophie Maintigneux, les jeux de mots dont Godard est si friand (...) Le poète a pris son envol, haut, très haut dans les nuées. Qui va oser l'élire ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Comme le propos est de Shakespeare, on y parle aussi action et trahison. Le tout avec ce charme indéfinissable qui s'appelle la poésie.
Libération
par Philippe Azoury, Olivier Seguret
A l'usage, King Lear se révèle un film simple : qui fait ce qu'il dit et qui dit ce qu'il fait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Laure Croiset
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marc Cerisuelo
Petit chef-d'oeuvre de désoeuvrement (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
En deux mots : ce King Lear de 1987, resté inédit jusqu'à présent, fera le bonheur habituel des admirateurs de Godard (plusieurs thèses étant forcément à venir, nous ne nous risquerons pas à ébaucher seulement trois lignes d'analyse) et rendra mélancoliques ceux qui sont restés bloqués au compteur des années 1960 à 1980.
Le Monde
par Thomas Sotinel
D'autres personnages, d'autres lieux sont illuminés ainsi par la grâce du cinéaste. Mais celle-ci peut se muer en un instant en un mépris dévastateur aussi bien pour les acteurs que pour le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Isabelle Danel
Qu'il sorte aujourd'hui, quinze ans après, seul long-métrage de son auteur inédit, est un événement pour les cinéphiles et les obsessionnels des filmographies complètes. On ne peut pas dire non plus que ce soit le meilleur de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
L'image n'atteint que trop rarement la beauté d'un SAUVE QUI PEUT (LA VIE). Le son, en revanche, est magnifique, et il ne faut pas bouder le plaisir de voir Julie Delpy et Leos Carax tout jeunots, l'émouvante Molly Ringwald, et Jean-Luc Godard qui cabotine dans une auto-parodie tellement ridicule qu'elle en devient touchante. Un ratage, mais avec panache.
Zurban
par Claire Vassé
Avec King Lear, cette force lyrique et plastique n'est pas vraiment au rendez-vous. Un événement pour les inconditionnels mais qui laissera les autres sur leur faim.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
par Olivier De Bruyn
Même les fans doivent se rendre à l'évidence : (...) King Lear est le pire film de son auteur. Juste un assemblage de vilaines chutes où JLG traîne son ennui et provoque le nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Voici, donc : un film qui traverse le temps.
Cine Libre
De merveilleuses séquences parsèment le film, comme celles de l'ingénieur qui, comme la dentellière de Vermeer, travaille en pleine lumière sur une oeuvre que l'on ne peut pas voir. (...) En un dernier plan, don Learo, le maffieux, guette l'horizon, fusil en main. Derrière lui gît la lumière, Cordélia, éteinte ; l'a t-il tuée? Dort-elle seulement ? La sortie en salles l'a sans nul doute tirée de son sommeil pour qu'elle puisse enfin offrir à notre regard un chef-d'oeuvre.
Novaplanet.com
(Ce film) est resté mythique pour les gobardiens français. Ils devraient rester babas devant cet objet extra-terrestre dont on ne sait si le plus stupéfiant reste le propos ou le casting (...).
Urbuz
King Lear / JLG : une farce en images, sons, textes et paroles organisée par un clown au-delà du rire et des larmes ; des déflagrations de beauté transformiste qui arrivent sans crier gare, déchirent une bande son ornithologique presque agressive, perforent le film d'une émotion pure.
Chronic'art.com
Rire et pleurer simultanément (le clown) ou réaliser un poème tragique en même temps qu'une mauvaise blague jubilatoire sur le dos des pires fossoyeurs du cinéma : bonheurs parmi tant d'autres offerts par ce petit chef-d'oeuvre de terrorisme jouissif et bienveillant.
Fluctuat.net
Jean-Luc Godard en fait un film post-apocalyptique et, presque optimiste, un film sur la rédemption.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Véritable auberge espagnole, ce Lear offre ce qu'on veut y trouver, la violence et la haine, le pouvoir et la vertu comme chez le grand Will, un exemplaire des Vagues de Virginia Woolf sur lequel se dépose une vaguelette du lac, des portraits de Tati, Welles, Lang, Renoir, Pasolini et Bresson dont on convoque le Procès de Jeanne d'Arc, Woody Allen, Leos Carax, Julie Delpy, une photo sublime de Sophie Maintigneux, les jeux de mots dont Godard est si friand (...) Le poète a pris son envol, haut, très haut dans les nuées. Qui va oser l'élire ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Comme le propos est de Shakespeare, on y parle aussi action et trahison. Le tout avec ce charme indéfinissable qui s'appelle la poésie.
Libération
A l'usage, King Lear se révèle un film simple : qui fait ce qu'il dit et qui dit ce qu'il fait.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Petit chef-d'oeuvre de désoeuvrement (...).
Aden
En deux mots : ce King Lear de 1987, resté inédit jusqu'à présent, fera le bonheur habituel des admirateurs de Godard (plusieurs thèses étant forcément à venir, nous ne nous risquerons pas à ébaucher seulement trois lignes d'analyse) et rendra mélancoliques ceux qui sont restés bloqués au compteur des années 1960 à 1980.
Le Monde
D'autres personnages, d'autres lieux sont illuminés ainsi par la grâce du cinéaste. Mais celle-ci peut se muer en un instant en un mépris dévastateur aussi bien pour les acteurs que pour le spectateur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Qu'il sorte aujourd'hui, quinze ans après, seul long-métrage de son auteur inédit, est un événement pour les cinéphiles et les obsessionnels des filmographies complètes. On ne peut pas dire non plus que ce soit le meilleur de son auteur.
MCinéma.com
L'image n'atteint que trop rarement la beauté d'un SAUVE QUI PEUT (LA VIE). Le son, en revanche, est magnifique, et il ne faut pas bouder le plaisir de voir Julie Delpy et Leos Carax tout jeunots, l'émouvante Molly Ringwald, et Jean-Luc Godard qui cabotine dans une auto-parodie tellement ridicule qu'elle en devient touchante. Un ratage, mais avec panache.
Zurban
Avec King Lear, cette force lyrique et plastique n'est pas vraiment au rendez-vous. Un événement pour les inconditionnels mais qui laissera les autres sur leur faim.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Même les fans doivent se rendre à l'évidence : (...) King Lear est le pire film de son auteur. Juste un assemblage de vilaines chutes où JLG traîne son ennui et provoque le nôtre.