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Film ennuyant
film moyen mais la bande son un regal signé sinclair
Drôle, jeu d'acteur magique
C'est un film particulier, avec un style bien à lui, entre le complètement déjanté, le bad trip et le thriller psychologique. Une atmosphère plutôt malsaine, donc, mais en même temps une comédie. Un film inclassable, en fait. Les acteurs sont tous bons dans leur genre, la mise en scène est alerte avec notamment une excellente idée pour la scène de fin. La musique est également bien choisie. En ce qui concerne le scénario, il est plutôt bien écrit, avec des rebondissements, des surprises, une sorte de suspens, des personnages singuliers. Si le film est un peu déroutant, il en reste très réussi.
Peut-être la meilleure interprétation de Canet que j'aie pû voir. Le pitch est surprenant, inquiétant mais le film finit par être longuet en tournant autour du pot sans jamais devenir passionnant. La faute certainement à une réalisation platonique et un peu fadasse. Vraiment dommage !
Un peu déçu, ça commence très bien mais par la suite on se fait rapidement chier. On attend qu'il se passe quelque chose qui va donner une tournure au film mais non... rien.
En revanche j'ai bien aimé les prestations de François Berléand et de Diane Kruger.
Bref, une bonne base mais qui n'est malheureusement pas concrétisée. Guillaume Canet aurait pu aller plus loin dans son délire mais pour un jeune réalisateur c'était déjà un bon début.
En revanche j'ai bien aimé les prestations de François Berléand et de Diane Kruger.
Bref, une bonne base mais qui n'est malheureusement pas concrétisée. Guillaume Canet aurait pu aller plus loin dans son délire mais pour un jeune réalisateur c'était déjà un bon début.
Une bonne idée de départ, un casting prestigieux, Mon Idole a tout de la comédie sympathique qui se regarde agréablement.
Malheureusement, au final, le film de Guillaume Canet manque cruellement de consistance et laisse le spectateur sur sa fin avec ce revirement de situation finale indécis et bancal.
Malheureusement, au final, le film de Guillaume Canet manque cruellement de consistance et laisse le spectateur sur sa fin avec ce revirement de situation finale indécis et bancal.
Le film démarre plutôt bien mais se traîne ensuite jusqu'à une fin tellement prévisible. Quelques scènes qui font sourire mais rien de plus... Décevant. Heureusement que Guillaume Canet s'est rattrapé dans son film suivant.
Pour son premier film, Guillaume Canet emprunte sans peur le sillage de Chabrol. L’intrigue reprend nombre de thèmes empruntés à Masques et Berléand, dans un registre différent, se montre tout aussi ignoble et cynique que Noiret. Dommage que la deuxième partie du film ne soit pas à la hauteur de la première. On a l’impression que le scénariste ne sait plus trop comment finir cette histoire et la morale pour le moins douteuse qui se dégage d’une fin plus spectaculaire qu'originale vient ajouter à cette impression de raté partiel. Dommage mais pas trop grave pour un premier film. On attendait la suite. Ne le dis à personne sera, lui, placé sous le haut patronage de Truffaut... Godard pour le troisième ?
Il y avait un bon matériau de départ : la profonde réalité de la relation entre un monsieur-tous-le-monde qui admire comme un collégien un producteur, ou pour la faire plus simple, un fan qui vénère son idole.
Cependant on a beaucoup de mal à saisir comment un personnage aussi simple et candide que Bastien peut aimer à ce point un requin comme ce producteur, dont la face se voile à peine sans avoir besoin d'aller passer un week-end chez lui. C'est la grande fausse note de ce film. Le reste surfe entre réalisme et exagération. A l'arrivée, on a le sentiment que personne n'a vraiment changé, et que les portes ouvertes ne se refermeront jamais. M'enfin, c'était là un essai de réalisation, dira t-on.
Cependant on a beaucoup de mal à saisir comment un personnage aussi simple et candide que Bastien peut aimer à ce point un requin comme ce producteur, dont la face se voile à peine sans avoir besoin d'aller passer un week-end chez lui. C'est la grande fausse note de ce film. Le reste surfe entre réalisme et exagération. A l'arrivée, on a le sentiment que personne n'a vraiment changé, et que les portes ouvertes ne se refermeront jamais. M'enfin, c'était là un essai de réalisation, dira t-on.
une très belles comédie satirique sur le monde de la tv, sur les gens riches et lassés de tout ! un très bon divertissement avec d'excellents ateurs
Mon idole est un film doté d'un scénario surprenant : beaucoup d'humour noir, une mise en scène rapide, dynamique. Un film qui surprend au début mais d'où l'on ressort ravi.
Excellent générique (début et fin). Passé le délire et l'utilisation de plus de 3 millions d'Euros il n'y a : RIEN ! CANET aurait sans doute dû faire preuve d'un peu plus de modestie pour sa première réalisation en choisissant d'être devant ou derrière la caméra.
une très bonne comédie, un peu loufoque sur les bords, françois berléand est très bon dedans en se lâchant totalement...guillaume canet c'est pas seulement bon comme acteur, c'est extrêmement bon derrière la caméra également !!!
Pour son premier long-métrage, Guillaume Canet déployait une belle énergie. Peut-être un peu trop tant son film peine à tenir complètement la route et multiplie les essais (aussi bien de mise en scène que de scénario) pour tenter de caser le plus d'envies possibles dans un même film. Mais c'est cette énergie et cette sincère envie qui fait de "Mon idole" un film si particulier, se faisant d'ailleurs remarquer par sa liberté de ton tout à fait singulière, à mi-chemin entre la comédie cynique et la violence acerbe. Balançant son personnage de chauffeur de salles ambitieux dans les mains d'un producteur excentrique et de sa femme capricieuse (Diane Kruger, à tomber) le temps d'un week-end, Canet s'amuse à multiplier les situations improbables, n'hésite pas à y caser du sexe quasi-échangiste, un meurtre, des vautours en cage, un cerf dans le pare-brise d'une voiture et des costumes de lapin. Tout cela est aussi bourratif que réjouissant tant le scénario nous trimballe de surprises en surprises à mesure que le couple révèle son objectif et que le personnage de Canet révèle ses ambitions. C'est féroce, réalisé avec appétit et c'est surtout l'occasion de découvrir tout le talent de François Berléand qui trouve là un rôle à sa juste mesure dont il maîtrise les nuances à la perfection.
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