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Alain D.
Une Comédie coécrite et dirigée par Guillaume Canet ; sa mise en scène efficace donne un bon rythme à l'intrigue. Pour sa première réalisation de long métrage, Guillaume Canet nous propose de jolies scènes bien soutenues musicalement, merci Mr Sinclair.
Son scénario, à la base très classique, est parfaitement relevé par une ribambelle d'évènements inattendus ; l'histoire révèle aussi une grande et belle progression dramatique.
Le casting est lui aussi attractif, avec les brillantes participations de Clotilde Courau ou Daniel Prévost que l'on voit trop peu. Dans les rôles principaux, on admirera la sémillante Diane Kruger et un François Berléand excellent dans un rôle inhabituel de personnage cynique et cruel.
Son scénario, à la base très classique, est parfaitement relevé par une ribambelle d'évènements inattendus ; l'histoire révèle aussi une grande et belle progression dramatique.
Le casting est lui aussi attractif, avec les brillantes participations de Clotilde Courau ou Daniel Prévost que l'on voit trop peu. Dans les rôles principaux, on admirera la sémillante Diane Kruger et un François Berléand excellent dans un rôle inhabituel de personnage cynique et cruel.
Comédie française typiquement archi nulle avec un scénario quasiment existant où il ne se passe pas grand-chose. On ne rit, ni ne sourit. Ennuyant. Vide. A classer dans les drames.
Premier film, réussi, de Guillaume Canet, “Mon idole” est une comédie noire sur l’initiation diabolique et la manipulation d’un jeune assistant ambitieux sur des émissions de télé réalité, par un Producteur vedette cynique et déséquilibré, superbement incarné par François Berleand. La crudité et la violence de plusieurs scènes et le coté totalement immoral et superficiel du milieu dépeint alimentent le suspense et le malaise, ce qui est l’apanage d’une bonne histoire glauque.
A noter une scène culte où les quatre personnages principaux, après s’être affrontés au cour du dîner, se lâchent sous l’effet de la cocaine dans un ballet costumé décadent qui se termine en drame.
La fin nous laisse un peu sur notre faim : on espérait plus original que cet épilogue en pirouette allégorique pour ce premier film qui révélait déjà tout le talent de Guillaume Canet.
A noter une scène culte où les quatre personnages principaux, après s’être affrontés au cour du dîner, se lâchent sous l’effet de la cocaine dans un ballet costumé décadent qui se termine en drame.
La fin nous laisse un peu sur notre faim : on espérait plus original que cet épilogue en pirouette allégorique pour ce premier film qui révélait déjà tout le talent de Guillaume Canet.
La performance de François Berléand, éclatante, éclipse toutes les autres, celle de Canet en particulier dont le personnage trop falot aurait pu (dû) gagner en nuances. Comme quoi, surtout pourune première fois, il est difficile d'être au four et au moulin.
Ambiance oppressante d'un huis clos plutôt passionnant au début, quel dommage que la fin du film parte tant en vrille
J'ai adoré! Un cynisme du début à la fin... Il faut vraiment regarder ce film sans a priori et je pense même avec des messages cachés que seul G.C. A la clé !?
Je suis étonné des mauvaises critiques
J'ai beaucoup apprécié ce premier film de Guillaume . Tout d'abord l'histoire est original , intrigante ou l'on se domaine jusqu'où il est prêt à aller. Et ça va loin. Ensuite les acteurs sont très bon notamment berlean excellent . Puis cela reflète bien le milieu du showbiz. Vraiment embarqué dans cette histoire . Quelques moments de bonnes rigolade . Bravo Guillaume le début d'une longue carrière
J'ai beaucoup apprécié ce premier film de Guillaume . Tout d'abord l'histoire est original , intrigante ou l'on se domaine jusqu'où il est prêt à aller. Et ça va loin. Ensuite les acteurs sont très bon notamment berlean excellent . Puis cela reflète bien le milieu du showbiz. Vraiment embarqué dans cette histoire . Quelques moments de bonnes rigolade . Bravo Guillaume le début d'une longue carrière
Eric C.
Cynique, noir,pervers,méchant, violent, décalé et drôle, cette première réalisation de Guillaume Canet est une pure reussite avec au départ une critique de la télé réalité trash et poubelle, celle qui fait appel aux plus bas instincts voyeuristes du spectateur. Mais vite, on passe à un autre registre avec ce week end à la campagne où Guillaume Canet jeune homme de télévision ambitieux va être invité par son patron producteur à qui il voue un véritable culte. Week end surréaliste à 3, avec la jeune et belle femme du patron. Là un autre film commence, violent, pervers, presque caricatural et décadent où Guillaume Canet va devenir la victime consentante, la marionnette, le jouet de ce couple qui possède pouvoir et argent. Il est parfait en naïf admiratif, manipulé par son patron, son idole, pour qui il est prêt à tout faire, croyant par ailleurs être propulsé dans sa carrière. François Berleand est énorme en homme cynique de pouvoir qui a l'habitude de voir tout le monde se plier à ses caprices et à se servir des autres comme des objets. Diane Kruger, drôle, hyper sensuelle et sexy en femme enfant qui elle aussi bénéficie du pouvoir de son mari prêt à toutes les extravagances et outrances pour la contenter. Un humour noir, absurde et cruel,avec des scènes surréalistes et une performance hors norme de ce trio d'acteurs. Quelques faiblesses scenaristiques mais au final un véritable plaisir de cinéma qui n'est pas sans rappeler la patte et le talent de certains réalisateurs américains qui officient dans le même genre.
Tout commence dans un univers qui me plaît bien, où le type qui se fait marcher dessus va avoir sa chance avec le grand patron, mais arrivé vers la 3ème partie où on comprend où veux en venir le scénario, c'est du casse-gueule de scènes chiantes et ennuyantes, la scène de la forêt à la fin ridicule, et la fin elle-même d'une idiotie sans nom, une déception totale, à éviter à tout prix. 2 étoiles car j'ai aimé les 30 premières minutes, et pour Bruce Channel dans la B.O.
Que dire? La seul chose positive c'est le fond du film, le sujet c'est à dire la critique du monde de la production audiovisuelle. A part ça, c'est souvent du n'importe quoi. Alors meme s'il faut surement le prendre au 2nd degré, j'ai pas réussi a a en trouver du plaisir...a part peut-être la fin
Un film "déjanté" qui nous livre une vision féroce du monde de la télévision. Bastien (Guillaume Canet), chauffeur de salle, est remarqué par le grand producteur Jean-Louis Broustal après avoir proposé un nouveau concept d'émission de télévision. Le producteur l' invite à peaufiner le projet dans sa maison de campagne. Bastien ne sait pas encore ce qui l'attend...
Le casting est impeccable: Guillaume Canet en chauffeur de salle naïf et submergé par les événements, mais prêt à tout ou presque pour s'introduire dans le cercle fermé du producteur. François Berléand, dont le personnage est décalé, n'hésite pas à jouer à fond le rôle de l'homme de télévision mégalomane, dont l'humour est parfois un peu douteux, et qui passe sont temps avec une caméra à la main dans l'espoir de filmer des moments tragi-comiques dans sa propre demeure. Sa jeune épouse est interprétée par Diane Kruger, une vraie révélation, dans le rôle de cette femme qui joue les pestes, dont les moeurs sont pour le moins étranges et qui va réserver à Bastien l'accueil de sa vie...Reste la bonne Maryvonne (Jacqueline Jehanneuf), le seul personnage qui semble totalement sain d'esprit dans cette maisonnée (Il en fallait bien une quand même...). Ajoutez la prestation de Daniel Prévost, courte mais remarquée comme toujours, et vous aurez la recette d'un coup de génie. Le ton original du film mâtiné d'humour noir et d'esprit vachard, est on ne peut plus savoureux. Les décors eux-mêmes reflètent la fantaisie des personnages et les couleurs sont un concentré de bonne humeur. Un film à la fois atypique et réjouissant, dont les ingrédients sont savamment dosés par Guillaume Canet, qui accomplit en plus la prouesse d'être à la fois devant et derrière la caméra. Des scènes d'anthologie parsèment le film, aussi cocasses les unes que les autres (Bastien et les volatiles par exemple, un régal). Bref, n'hésitez pas, le spectacle en vaut la peine...
Le casting est impeccable: Guillaume Canet en chauffeur de salle naïf et submergé par les événements, mais prêt à tout ou presque pour s'introduire dans le cercle fermé du producteur. François Berléand, dont le personnage est décalé, n'hésite pas à jouer à fond le rôle de l'homme de télévision mégalomane, dont l'humour est parfois un peu douteux, et qui passe sont temps avec une caméra à la main dans l'espoir de filmer des moments tragi-comiques dans sa propre demeure. Sa jeune épouse est interprétée par Diane Kruger, une vraie révélation, dans le rôle de cette femme qui joue les pestes, dont les moeurs sont pour le moins étranges et qui va réserver à Bastien l'accueil de sa vie...Reste la bonne Maryvonne (Jacqueline Jehanneuf), le seul personnage qui semble totalement sain d'esprit dans cette maisonnée (Il en fallait bien une quand même...). Ajoutez la prestation de Daniel Prévost, courte mais remarquée comme toujours, et vous aurez la recette d'un coup de génie. Le ton original du film mâtiné d'humour noir et d'esprit vachard, est on ne peut plus savoureux. Les décors eux-mêmes reflètent la fantaisie des personnages et les couleurs sont un concentré de bonne humeur. Un film à la fois atypique et réjouissant, dont les ingrédients sont savamment dosés par Guillaume Canet, qui accomplit en plus la prouesse d'être à la fois devant et derrière la caméra. Des scènes d'anthologie parsèment le film, aussi cocasses les unes que les autres (Bastien et les volatiles par exemple, un régal). Bref, n'hésitez pas, le spectacle en vaut la peine...
La satire des moeurs de la TV constitue un genre cinématographique à lui seul. Sur ce créneau, Guillaume Canet n'est pas parvenu à manifester la moindre originalité. Mon idole n'arrive pas la cheville de films tournés plusieurs décennies plus tôt, comme Le prix du danger de Boisset, ou d'un petit bijou récent : Night call. De plus sa critique ne porte que sur l'arrivisme et le trash, alors que bien d'autres films ont un contenu social beaucoup plus percutant. Si le film de Canet compte quelques séquences et gags réussis, il souffre de longueurs, de répétitions, de maladresses et d'un scénario médiocre, la chute finale en particulier. Certes Berléand est excellent, comme toujours, mais ça ne suffit pas à faire un film.
L'humour de François Berléand est génial ! Il m'a beaucoup fait rire durant ce film. J'ai moins apprécié Guillaume Canet, son personnage. La scène avec les jardiniers est tordante, sans compter la scène "Ah non, je suis désolé Philippe". Quelques excellents passages malgré une clôture assez étrange.
ManoCornuta
On a vu des premiers pas derrière la caméra plus hasardeux que ceux-ci (plus réussis aussi, d'accord, mais on ne va pas chipoter). Guillaume Canet fait montre d'un sens visuel intéressant avec cette histoire féroce et cynique sur le petit monde de la télévision, l'appétit de gloire et tout ce qu'il peut engendrer. La charge initiale, particulièrement gratinée, a tendance à retomber un peu avant d'en remettre une couche sévère en s'approchant du dénouement. Berléand règne sur ce film en caricature bronzée de requin fatigué et repu en attente de son prochain repas, avec une Diane Kruger qui imprime la rétine. Le propos est acide, parfois naïf mais le film est une franche réussite.
Roub E.
Pour son premier film Guillaume Canet réalise une satyre intéressante du monde des médias et du divertissement avec un rôle de producteur télé taillé sur mesure pour un François Berleand qui se lâche dans un show détonant. Mais paradoxalement ce rôle qui fait la réussite de ce film en est aussi son talon d Achille. Car Berleand vampirise tout le reste, les autres personnages ne sont que des faire valoir et il finit par aller trop dans l outrance pour que l on accroche vraiment. Je pense que le film aurait gagné s il avait été un peu moins délirant et du coup plus inquiétant. Le film contient pas mal de bonnes idées mais il commence a s essouffler au bout d une heure et fini par être trop long surtout qu il démarrait sur les chapeau de roues et d ailleurs de ce point de vue je faisais le même reproche aux petits mouchoirs du même Guillaume Canet.
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