Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cine Libre
par Marielle Gaudry
Avec toute la complexité et la pudeur des émotions propres au cinéma asiatique, Lee Chang-Dong fait une belle démonstration de ce que la réalité, même violente, peut avoir de poétique. Un témoignage poignant (...).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Libération
par Philippe Azoury
(...) ce film, en plus d'être le coup de poing de l'hiver, en plus de regarder la Corée et son histoire comme Oliveira avait ausculté le Portugal dans Non ou la vaine gloire de commander, a aussi pour lui quelque chose d'un Te Deum de l'amour exaspéré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Ce qui est beau ici, c'est cette façon d'accéder par strates au mélodrame, ce que la facture froide, les plans fixes et distants ne laissaient alors même pas entrevoir.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Stéphane Brisset
Portrait d'un homme en quête de masculinité et allégorie d'une conscience collective, le film témoigne d'une violence émotionnelle d'autant plus brutale que son esthétique privilégie l'élégance à la vulgarité. Admirable.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La tristesse de Pepperminy Candy tient à la progression glaciale et doucereuse de son récit: non pas selon la dynamique traditionnelle d'une ascension-dépression (...) mais selon son reflet inversé, une dépression qui se mue peu à peu en élévation.
Chronic'art.com
par David Vincent
Peppermint candy s'ouvre à la grâce et s'emplit d'une émotion béante donnant à voir cela : la lente gestation d'un mélodrame qui (...) devient peu à peu un espace d'intimité et de proximité avec le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Trivialité du quotidien des personnages, montré sans fard. Formalisme de la structure narrative (...). L'intensité du film provient de l'accumulation de tragédies, de trahisons, de mensonges, amoureux comme professionnels
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Laure Croiset
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
Pour ses éclats de finesse et de vérité, pour son mélange de drôlerie et d'amertume, Peppermint Candy a aussi largement de quoi séduire le spectateur occidental -
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
La dureté vaut pour la douceur. La méchanceté ne s'oppose pas à l'amour. Et cela donne un film profondément noir. Car en connaissant d'entrée de jeu la fin de la partie, chaque rebondissement en fait résonner l'amertume.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Chaque remontée dans le temps annoncée par le mouvement de recul d'un train, alourdit ce dispositif trop apparent pour donner leur entière saveur à ces bonbons à la menthe, souvenir d'un amour de jeunesse perdu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par La rédaction
(...) le problème principal résidant dans une imbrication des évènements qui paraissent superflus. BONBON A LA MENTHE est pourtant un film atypique et original (...), dont l'atout principal réside dans le talent de son acteur principal, Sol Kyung-GU.
Première
par Gérard Delorme
(...) on appréciera l'approche littéraire qui construit un véritable suspense émotionnel. La fin en boucle est comme la dernière pièce d'un puzzle qui éclaire l'ensemblme du tableau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cine Libre
Avec toute la complexité et la pudeur des émotions propres au cinéma asiatique, Lee Chang-Dong fait une belle démonstration de ce que la réalité, même violente, peut avoir de poétique. Un témoignage poignant (...).
Libération
(...) ce film, en plus d'être le coup de poing de l'hiver, en plus de regarder la Corée et son histoire comme Oliveira avait ausculté le Portugal dans Non ou la vaine gloire de commander, a aussi pour lui quelque chose d'un Te Deum de l'amour exaspéré.
Urbuz
Ce qui est beau ici, c'est cette façon d'accéder par strates au mélodrame, ce que la facture froide, les plans fixes et distants ne laissaient alors même pas entrevoir.
Zurban
Portrait d'un homme en quête de masculinité et allégorie d'une conscience collective, le film témoigne d'une violence émotionnelle d'autant plus brutale que son esthétique privilégie l'élégance à la vulgarité. Admirable.
Cahiers du Cinéma
La tristesse de Pepperminy Candy tient à la progression glaciale et doucereuse de son récit: non pas selon la dynamique traditionnelle d'une ascension-dépression (...) mais selon son reflet inversé, une dépression qui se mue peu à peu en élévation.
Chronic'art.com
Peppermint candy s'ouvre à la grâce et s'emplit d'une émotion béante donnant à voir cela : la lente gestation d'un mélodrame qui (...) devient peu à peu un espace d'intimité et de proximité avec le spectateur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Trivialité du quotidien des personnages, montré sans fard. Formalisme de la structure narrative (...). L'intensité du film provient de l'accumulation de tragédies, de trahisons, de mensonges, amoureux comme professionnels
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pour ses éclats de finesse et de vérité, pour son mélange de drôlerie et d'amertume, Peppermint Candy a aussi largement de quoi séduire le spectateur occidental -
Aden
La dureté vaut pour la douceur. La méchanceté ne s'oppose pas à l'amour. Et cela donne un film profondément noir. Car en connaissant d'entrée de jeu la fin de la partie, chaque rebondissement en fait résonner l'amertume.
Les Inrockuptibles
Chaque remontée dans le temps annoncée par le mouvement de recul d'un train, alourdit ce dispositif trop apparent pour donner leur entière saveur à ces bonbons à la menthe, souvenir d'un amour de jeunesse perdu.
MCinéma.com
(...) le problème principal résidant dans une imbrication des évènements qui paraissent superflus. BONBON A LA MENTHE est pourtant un film atypique et original (...), dont l'atout principal réside dans le talent de son acteur principal, Sol Kyung-GU.
Première
(...) on appréciera l'approche littéraire qui construit un véritable suspense émotionnel. La fin en boucle est comme la dernière pièce d'un puzzle qui éclaire l'ensemblme du tableau.