Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le moindre gag est balisé longtemps à l'avance et si l'on se surprend à sourire de temps à autre, c'est grâce aux comédiens et particulièrement à Jean-Pierre Darroussin, qui arriverait à nous attacher au plus transparent des personnages. Passent aussi furtivement quelques silhouettes remarquables (Darry Cowl, François Morel, Noémie Lvovsky...) qui rendent la comédie moins morose.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Une belle étude de moeurs sur la classe moyenne, parfois caricaturale mais pas trop, portée par l'interprétation impeccable de Jean-Pierre Darroussin. Si ce film ne marchait pas, cela voudrait dire que le grand public préfère décidément la vulgarité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Tout s'enchaîne tranquillement, les seconds rôles jouent comme des seconds rôles, le méchant (Richard Berry, increvable séducteur viril et médiocre) mange son pain blanc, et puis patatras : le film, qui jusque-là faisait d'incommensurables efforts pour se tenir correctement à table, ne peut plus se retenir et se lâche. Résultat, une interminable séance de pets, bruits de chiottes et autres régurgitations gastriques au beau milieu d'un salon de coiffure.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Bien sûr, Gérard Bitton et Michel Munz n'échappent pas aux clichés du mari paumé, de la femme qui en a ras-le-bol et du patron aux dents longues mais l'enrobage et le petit déclic du gain au loto ne manquent pas d'éclairer l'ensemble d'un jour plutôt sympa et distrayant, parfait pour la période des fêtes.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ne soyons pas de mauvaise foi : on rit, parfois. On aime, toujours, Darroussin, qui, même dans ce style de galère, sait n'en faire jamais trop et garder le petit ton distancié qui fait qu'on lui pardonne tout. On est heureux de voir Valeria Bruni-Tedeschi s'éloigner un peu de ses rôles de névrosée, ou de retrouver François Morel, le doux ahuri des Deschiens, et Darry Cowl. Mais cette fois, la vérité si l'on ment, les réalisateurs scénaristes n'ont pas, eux, gagné le gros lot !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Malheureusement, Jean-Pierre Darroussin n'a pas tout à fait le génie comique d'un Pierre Richard ou d'un José Garcia, et a du mal à tenir le film sur ses épaules. Seuls Valéria Bruni-Tedeschi et François Morel, très sobres, réussissent à nous émouvoir.
Ce qui aurait pu devenir une satire virulente et décapante sur une société obsédée par l'argent n'est qu'une petite comédie sentimentale passée à côté d'un bon sujet.
Le Parisien
C'est une excellente comédie à la française. Les snobs détesteront.
Aden
Le moindre gag est balisé longtemps à l'avance et si l'on se surprend à sourire de temps à autre, c'est grâce aux comédiens et particulièrement à Jean-Pierre Darroussin, qui arriverait à nous attacher au plus transparent des personnages. Passent aussi furtivement quelques silhouettes remarquables (Darry Cowl, François Morel, Noémie Lvovsky...) qui rendent la comédie moins morose.
Cine Libre
Une comédie burlesque à la française qui fige le sourire voire transporte vers une béatitude illusoire, cela fait du bien.
L'Humanité
Une belle étude de moeurs sur la classe moyenne, parfois caricaturale mais pas trop, portée par l'interprétation impeccable de Jean-Pierre Darroussin. Si ce film ne marchait pas, cela voudrait dire que le grand public préfère décidément la vulgarité.
Les Inrockuptibles
Un regard dédramatisé sur l'argent à travers une comédie souvent subtile et bien vue.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Tout s'enchaîne tranquillement, les seconds rôles jouent comme des seconds rôles, le méchant (Richard Berry, increvable séducteur viril et médiocre) mange son pain blanc, et puis patatras : le film, qui jusque-là faisait d'incommensurables efforts pour se tenir correctement à table, ne peut plus se retenir et se lâche. Résultat, une interminable séance de pets, bruits de chiottes et autres régurgitations gastriques au beau milieu d'un salon de coiffure.
Cinopsis.com
Bien sûr, Gérard Bitton et Michel Munz n'échappent pas aux clichés du mari paumé, de la femme qui en a ras-le-bol et du patron aux dents longues mais l'enrobage et le petit déclic du gain au loto ne manquent pas d'éclairer l'ensemble d'un jour plutôt sympa et distrayant, parfait pour la période des fêtes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Echos
Ne soyons pas de mauvaise foi : on rit, parfois. On aime, toujours, Darroussin, qui, même dans ce style de galère, sait n'en faire jamais trop et garder le petit ton distancié qui fait qu'on lui pardonne tout. On est heureux de voir Valeria Bruni-Tedeschi s'éloigner un peu de ses rôles de névrosée, ou de retrouver François Morel, le doux ahuri des Deschiens, et Darry Cowl. Mais cette fois, la vérité si l'on ment, les réalisateurs scénaristes n'ont pas, eux, gagné le gros lot !
MCinéma.com
Malheureusement, Jean-Pierre Darroussin n'a pas tout à fait le génie comique d'un Pierre Richard ou d'un José Garcia, et a du mal à tenir le film sur ses épaules. Seuls Valéria Bruni-Tedeschi et François Morel, très sobres, réussissent à nous émouvoir.
Première
Dommage, car avec une idée de départ plutôt originale on s'attendait à un peu plus de férocité.
Télérama
Les auteurs de "La Vérité si je mens" offrent le gros lot à un gentil couple qui bat de l'aile. Mais leur film ne décolle pas.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce qui aurait pu devenir une satire virulente et décapante sur une société obsédée par l'argent n'est qu'une petite comédie sentimentale passée à côté d'un bon sujet.
Zurban
(...) la comédie se traîne, sans rythme, et si elle parvient à arracher quelques sourires, c'est sans réel entrain.