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Xavi_de_Paris
319 abonnés
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3,5
Publiée le 19 mars 2014
Une histoire vraie qui ne manque certes pas de souffle. Le réalisateur Joe Johnston nous abreuve de belles images, notamment dans le désert arabe. Viggo Mortensen est excellent, dans un rôle d'américain au cœur d'indien, contrastant fortement avec les bédouins du golfe persique. C'est ce contraste que le réalisateur a voulu mettre en avant, entre deux mondes radicalement opposés, pas seulement par la culture. Il a aussi montrer une lutte pour la survie, jusqu'aux limites physiques les plus extrêmes qu'un homme et son cheval puissent supporter. Des scènes fortes émaillent tout le récit, faisant de "Hidalgo" une œuvre marquante.
Quand j'ai lu le pitch du film je le suis encore une bouse Hollywoodiennes mais comme je ne juge pas sans savoir je l'ai matté et j'ai très surpris il se que film et plutôt bien même si les acteur ne son pas terible on se laisse appé par l histoire et finalement on passe un très bon moment
Une bonne réussite et épique pour un film tourné dans le désert. Viggo Mortensen interprète à merveille un bon cow-boy qui réagit et exécute selon les situations. L'histoire est bien exploité et les obstacles de la course (combat, piège, tempête de sables,..) rends le film très vivant. Des jolies vues de paysage du désert et particulièrement à la fin avec les chevaux. Très beau mustang et qui est très expressif, on bien l'amitié qui lie le cow-boy et son cheval. Petit bémol, l'introduction est un peu longue. Une belle aventure pour passer un bon moment de cinéma.
Agréablement surpris par Hidalgo ! Il faut dire que je n’attendais pas grand-chose de cette production. D’ailleurs les débuts n’ont pas été franchement motivants mais ensuite j’ai été pris par l’histoire et surtout j’ai été conquis par le tandem formé par ce superbe mustang et son maître. Un duo qui surmonte toutes les embuches semées sur leur chemin et qui se montre très sympathique. Un film comme on en fait plus et qui m’a fait repenser au cinéma de ma jeunesse. Ce côté suranné est d’ailleurs pour moi un atout plutôt qu’un handicap et c’est peut-être pour cela que j’ai bien aimé ce petit western délocalisé dans les déserts du Moyen-Orient. Rien de bien nouveau donc mais un bon film d’aventures comme on en fait plus.
Pour ceux qui n’ont pas encore vu le film, un long métrage qui narre une course de chevaux sur 5000 km de désert peut paraître bien ennuyeux et générer une certaine réticence à se mettre devant pour deux heures dix de film. À ceux-là je dis ne vous laissez pas induire en erreur par le synopsis et lancez vous dans le visionnage de ce film, vous ne vous ennuierez en aucune façon et vous en ressortirez au contraire enchanté. Basé sur une intrigue solide le film déroule pendant ces deux heures tout ce qu’on peut attendre d’un film d’aventure où les personnages et le scénario ne sont pas sacrifiés sur l’autel de l’action. Le film commence par un épisode peu reluisant de l’histoire américaine à savoir le Massacre de Wouded Knee Creek où les Lakota Miniconjou furent assassinés par le 7ème de cavalerie, le héros membre de cette tribu part en Arabie pour gagner la course Océan de Feu pour avec l’argent du prix acheter des chevaux mustang pour les derniers Lakota. S’offre alors à nous un spectacle dans la meilleure tradition hollywoodienne avec des paysages désertiques à couper le souffle (particulièrement les crépuscules aux soleils incendiés), des chevauchés tonitruantes, des amours contrariés, des fusillades et poursuites héroïques et des personnages archétypaux, mais jamais caricaturaux. Les moments de course sont suffisamment variés pour ne jamais lasser et les rebondissements redonnent en permanence de la tension au film. La composition de Viggo Mortensen est comme à chaque fois de grande qualité et il donne une présence très forte à son personnage de cow-boy sang mêlé cherchant dans cette course une forme de rédemption face à une culpabilité qui le ronge. Un film passionnant (au sens littéral du terme) qui offre un spectacle de grande qualité dans tous les compartiments du film : décors, intrigue, personnages ; rien n’est délaissé. À voir d’urgence
Film d'aventure équestre où l'amitié entre l'homme & l'animal est au centre du récit, HIDALGO est un pur divertissement Disney. Joué admirablement bien par Viggo Mortensen & Omar Sharif, ce film est passé étrangement inaperçu chez nous. Une possible raison en est les soucis sur la vraisemblance des propos et de son auteur - héros, Frank T. Hopkins. Mais doit on s'arrêter à cela ? Non. HIDALGO mérite plus et il serait bon qu'une chaîne le propose à 20h50 pour divertir petits & grands.
Au début un peu lent à démarer, "Hidalgo" parvient par la suite à captiver le spectateur. Tout d'abord, le scénario, adapté de faits historiques, est intéressant par le périple qu'il raconte et l'effet aventure très bien mis en valeur par la réalisation. De plus, Joe Johnston, offre des vues splendides dans ses choix. Par ailleurs, Viggo Mortensen est convainquant mais la plupart des autres acteurs ne sont pas à la hauteur. Au final, on est donc entraîné sans pour autant être transcendé. Le film est réussi mais il manque quelques petites touches pour vraiment séduire le public.
Ce film est présenté comme relatant un épisode de la vie de Frank T. Hopkins, héros national américain qui semble avant tout avoir été un grand fabulateur. De la fameuse course qui est au cœur du film (L'océan de feu) les historiens ne trouvent aucune trace, et en toute logique traverser à cheval en solitaire 5000 km de désert semble plus proche de l’acte suicidaire que de l’exploit sportif. Rien dans la culture musulmane ne pourrait justifier la pratique de tels défis, qu’un cowboy américain soit invité par un nabab local pour y participer pour prouver qu’il n’est pas le meilleur cavalier du monde semble être une vaste rigolade. Mais peu importe la vérité de l’histoire puisque en plus c’est du cinéma, à condition que le résultat soit bon. La volonté évidente de ce film est de proposer un spectacle épique à la "Lawrence d’Arabie". Il en reprend les principaux ingrédients jusque dans l’un de ses acteurs légendaires, à savoir Omar Sharif. Mais il ne suffit pas d’avoir de bons ingrédients pour faire un bon plat, et malgré les acteurs, de superbes images du désert, de l’action, c’est un goût désagréable qui prévaut. Encore une fois la faute en revient à un scénario écrit avec les pieds et qui oscille entre le film d'animaux pour enfants et le cinéma à l’ "Indiana Jones" avec toutes les exagérations et incohérences qui vont avec. Ce qui passe bien dans un pure film d'action est ici un mélange assez indigeste qui détruit toute impression de vérité, d'aventure humaine, de dépassement de soi, annule toute émotion et donne même le sentiment d’être trop long.
Une belle épopée à travers le désert qui laisse des traces mais qui met du temps à décoller et qui ne nous réserve pas vraiment de surprises. L'histoire reste émouvante et extraordinaire, nous délivrant un message fort: la conviction, la détermination et le courage valent mieux que tout autre chose. Les chevaux ici font l'objet d'une metaphore sociale interressante sur la possibilié d'obtenir ce que l'on veut même si ce n'est pas gagné au depart.
J'aime vraiment ce film, il represente bien la relation entre l'homme et le cheval, mais sans en faire des tonnes ... Enfin bref, amateur de film d'aventures et d'ambiances orientales, foncez têtes baisées !