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Votre avis sur Love Story ?
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Le mot "cinéma" prend ici tout son sens! A voir absolument ! Acteurs, réalisation, musique, sont comme on les voit trop peu, c'est à dire grandiose.
Très beau succès à sa sortie, Love story reste, de nos jours, un classique du film d’amour comme son nom l’indique. Le film n’est pas exempt de défauts : début de la passion traité de façon un peu trop elliptique, petit ventre mou au milieu (entre le reniement du père et la découverte de la maladie), progression de la maladie pas assez ressentie et traitée de façon trop proprette (comme s’il faudrait éviter au public une vision trop dure de celle-ci)… Cependant, le film d’Arthur Hiller réussit malgré tout à attirer l’attention car il est porté par un beau couple plein de jeunesse (Ryan O’Neal et Ali MacGraw) et par la très célèbre musique de Francis Lai. Plus de cinquante ans après sa réalisation, Love story reste une œuvre qui devrait toujours émouvoir le public friand d’histoires d’amours tragiques.
Un très beau film sur l'amour et (secondairement selon moi) sur la différence de classe. Le film a bien vieilli, les dialogues sont modernes et il n'y a rien de caricatural. La façon de filmer et la photographie sont superbes. Les acteurs sont bons. La musique de la Bande originale de Francis Lai est inoubliable. Un très bon moment !
Un film d'amour qui nous rappelle malgré l'ancienneté qu'il n'y a rien de plus beau que "l'amour".
Les acteurs sont magnifiques, on vit le film du début à la fin ; on est emporté par l'histoire du début à la fin.
Un film qui replace ce qui compte dans la vie.
Je ne m'en lasse pas.
Je le conseille.
Et comme elle le dit si bien " on est pas désolé quand on aime quelqu'un".
Les acteurs sont magnifiques, on vit le film du début à la fin ; on est emporté par l'histoire du début à la fin.
Un film qui replace ce qui compte dans la vie.
Je ne m'en lasse pas.
Je le conseille.
Et comme elle le dit si bien " on est pas désolé quand on aime quelqu'un".
un film bouleversant, culte et toujours aussi fort depuis 1970....Je n ai pas les.mots pour quantifier la puissance émotionnelle de ce film.Un chef d 'œuvre....
J'aime trop ce film. Très belle histoire d'amour et tellement triste.
Je l'ai vu plus de dix fois. et je pleure à chaque fois
Je l'ai vu plus de dix fois. et je pleure à chaque fois
Ce film possède tous les ingrédients nécessaires à un film romantique même des plus classiques. Un garçon et une fille issus de milieux sociaux différents tombent amoureux l'un de l'autre et cela ne plaît pas à tout le monde. Leur vie amoureuse connaît quelques hauts et bas au cours desquels ils doivent mettre en balance certains choix pour eux-mêmes et des choix pour leur amour. En d'autres termes il possède tous les ingrédients pour en faire un film romantique à l'eau de rose. Pourtant Love Story ne l'est pas. Pourquoi car il est difficile de mettre le doigt sur la raison pour laquelle il est tellement plus et tellement meilleur que la moyenne des histoires d'amour mais je pense que vous pourrez répondre à cette question une fois que vous aurez commencé à analyser le film. Il n'essaie pas de vous faire pleurer en mettant en scène des moments dramatiques avec de la musique forte et ce genre de choses. Il choisit d'adopter une approche réaliste ce qui n'est pas vraiment surprenant étant donné qu'il s'agit d'un film des années 70. Il fait même en sorte que les éléments les plus classiques et prévisibles du film fonctionnent aussi étrange et incroyable que cela puisse paraître. Love Story a été une véritable révolution a son époque et a établi les normes pour de nombreux films romantiques ultérieurs. Le film a été nommé pour 7 Oscars dont un qu'il a remporté et pas seulement sans raison...
Un classique du cinéma que j aime revoir de temps à autre emblématique d une époque dont je suis nostalgique! Très très beau film d Arthur Hiller porté par la musique de Francis Lai disparu récemment. Révélée au grand public par ce drame Ali Mac Graw a vu sa carrière s arrêter net quelques années plus tard...bien plus qu une actrice une icône !!!
Un chef-d'œuvre adapté du roman d'Erich Segal sur une histoire d'amour intemporelle avec Ryan O'Neal.
Je m'attendais à de la guimauve larmoyante. Et bien non. C'est plutôt bien écrit et joué avec finesse. Les dialogues sont assez percutants et l'histoire d'amour est très crédible. Après la dernière partie mélodramatique est à mon goût un peu bâclée et la musique frôle souvent l'overdose...
"L'amour, c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé". Classée treizième meilleure réplique de l'histoire du cinéma américain par l'American Film Institute, cette phrase est restée dans les mémoires d'une génération de spectateurs marqués par la beauté et la tragédie de l'une des plus belles histoires d'amour cinématographiques.
Réalisé en 1970 par Arthur Hiller, dont c'est le plus grand succès de sa carrière, Love Story a pu être critiqué et méprisé pour ses scènes fleurs bleues et imprégnées d'eau de rose qui frôlent le ridicule sentimental, mais en dépit de cette atmosphère parfois trop romantique, il faut être de marbre pour ne pas être marqué par l'ascenseur émotionnel provoqué par les moments de bonheur et les aléas d'un couple magnifique. De plus, Love Story n'est pas seulement un film de romance, mais aussi une tragédie sociale avec un jeune couple aisé rapidement rattrapé par les épreuves terribles de la vie. Oliver Barrett est un jeune étudiant d'Harvard issu d'un milieu confortable et à qui tout réussit, qui tombe amoureux de Jennifer Cavalleri, une brillante américaine d'origine italienne mais qui appartient à une classe sociale bien inférieure. Affrontant les épreuves sociales de la vie avec courage et détermination, le jeune couple enchaîne les réussites et les projets jusqu'à ce qu'un événement tragique ne survienne et n'arrête brutalement cette lancée. Ces personnages mémorables de l'histoire du registre romantique au cinéma sont interprétés par Ryan O'Neal et Ali MacGraw, qui obtiennent ici les rôles les plus célèbres de leur carrière.
Toutefois, il faut reconnaître que le chef d'oeuvre musical composé par Francis Lai et récompensé de l'Oscar de la meilleure musique originale en 1971 a largement contribué à la notoriété et au succès du film, et on peut se demander s'il aurait été identique si cette composition avait été absente. Car en effet, au niveau de la réalisation et de la mise en scène, nombre de scènes sont d'un lyrisme niais et il est regrettable de connaître l'issue de l'intrigue dès le début du film. A ce titre, je suis persuadé que l'effet dramatique aurait été décuplé si on apprenait la tragique nouvelle en même temps que les personnages principaux.
Malgré tout, il est évident que la musique de Francis Lai et l'amour pur et sincère au sein de ce jeune couple américain marquent indéniablement l'histoire du cinéma romantique.
Réalisé en 1970 par Arthur Hiller, dont c'est le plus grand succès de sa carrière, Love Story a pu être critiqué et méprisé pour ses scènes fleurs bleues et imprégnées d'eau de rose qui frôlent le ridicule sentimental, mais en dépit de cette atmosphère parfois trop romantique, il faut être de marbre pour ne pas être marqué par l'ascenseur émotionnel provoqué par les moments de bonheur et les aléas d'un couple magnifique. De plus, Love Story n'est pas seulement un film de romance, mais aussi une tragédie sociale avec un jeune couple aisé rapidement rattrapé par les épreuves terribles de la vie. Oliver Barrett est un jeune étudiant d'Harvard issu d'un milieu confortable et à qui tout réussit, qui tombe amoureux de Jennifer Cavalleri, une brillante américaine d'origine italienne mais qui appartient à une classe sociale bien inférieure. Affrontant les épreuves sociales de la vie avec courage et détermination, le jeune couple enchaîne les réussites et les projets jusqu'à ce qu'un événement tragique ne survienne et n'arrête brutalement cette lancée. Ces personnages mémorables de l'histoire du registre romantique au cinéma sont interprétés par Ryan O'Neal et Ali MacGraw, qui obtiennent ici les rôles les plus célèbres de leur carrière.
Toutefois, il faut reconnaître que le chef d'oeuvre musical composé par Francis Lai et récompensé de l'Oscar de la meilleure musique originale en 1971 a largement contribué à la notoriété et au succès du film, et on peut se demander s'il aurait été identique si cette composition avait été absente. Car en effet, au niveau de la réalisation et de la mise en scène, nombre de scènes sont d'un lyrisme niais et il est regrettable de connaître l'issue de l'intrigue dès le début du film. A ce titre, je suis persuadé que l'effet dramatique aurait été décuplé si on apprenait la tragique nouvelle en même temps que les personnages principaux.
Malgré tout, il est évident que la musique de Francis Lai et l'amour pur et sincère au sein de ce jeune couple américain marquent indéniablement l'histoire du cinéma romantique.
Souvent imité mais jamais égalé. Pour moi ce film restera le plus beau film d'amour de l'histoire du cinéma. Bien qu'il commence à vieillir, je ressens toujours la même émotion en le revoyant. A faire découvrir à nos adolescents... Ça les changera un peu des nuances de grey ou porno chic...
Un drame qui offre ses lettres de noblesse. Le couple vedette portent sur leur épaules le poids du film. Ryan O'Neil est parfait avant d'accroître son jeu d'acteur dans Barry Lyndon de Kubrick. On remarquera certainement dans son premier petit rôle Tommy Lee Jones. L'histoire d'amour ultime sur le fait d'aimer quoiqu'il arrive. Poignant !
J'étais une toute jeune ado lorsque ce film est sorti en France et c'était LE film à ne pas rater. Je me souviens qu'avec mes amies nous avons pleuré en choeur dans notre fauteuil de cinéma. Nous avions'trouvé ce film génial, hyper romantique... J'ai du le revoir à la télévision'dans les 15 ans qui'on'suivi et là encore, j'ai'versé ma petite larme. Nostalgique du passé, j'ai'décidé de le refarder une nouvelle fois, ça faisait tellement lo'gtemps que je ne l'avais,pas vu, je me suis dit : pourquoi pas... Et bien, j'aurais mieux fait de m'abstenir. En fait ce film n'a aucune profondeur. tout y est survolé, c'est une sorte de résumé, de condensé de la vie de 2 jeunes gens qui se rencontrent à la l'université, tombent amoureux mais ne sont ne sont pas issu du même milieu social. A aucun moment on entre vraiment dans leur vie, c'est un peu comme le texte d'un télégramme, Ils se rencontrent a la bibliotheque STOP ils tombent amoureux STOP ils rencontrent les riches parent du garçon qui rejetent leur liaison STOP il est desherite car elle n'est pas riche STOP On lui refuse des aides financières STOP elle bosse pour'lui payer ses études aux dépends des siennes qu'elle abandonne. STOP Il fini 3 ème de sa promo et troive de suite du boulot dans un grand cabinet d'avocat STOP ils ont enfin'de l'arget, un'vel,appart,et veulent un bébé STOP Comme elle ne tombe pas enceinte, ils font des analyses STOP Ils découvrent qu'elle est malade, incurable qu'il ne lui'reste que quelques semaines à vivre STOP Il n'a pas assez d'argent pour'payer les frais médicaux et en demande à son père qui croit que c'est pour éviter un scandale avec une hypothetisue maîtresse et paie STOP elle se retrouve a l'hopital et meurt STOP le père ayant appris, on ne sait comment, la véritable raison pour laquelle son fils lui a demzndé de l'argent accoure, mais trop tard STOP voilà c'est fini et je n'ai rien ressenti, aucune émotion et j'en arrive à me demander ce qui a bien pu me plaire dans ce film. J'ai eu impression de baclé que l'auteur avait une belle histoire a raconter mais qu'il a résumé au maximum l'histoire poir qu'elle puisse tenir dans le temms imparti pour la durée du film si bien qu'on'va a l'essentiel mais qu'il manque le principal, c'est à dire tous les petits details qui rendraient cette histoire vivante, prenante, plus intimiste. Ce film ne vaut plus le coup d'être vu à notre époque, sauf peut-être pour des cinéphiles avertis qui veulent visionner une oeuvre qui'a marqué son époque. De belles histoires d'amour prenantes, il y en a eu des dizaines depuis et bien mieux abouties que celle-ci. Je me suis gâché un veau souvenir en voulant revivre le passé, la magie ne fonctionne plus, mais vraiment plus. J'ai revu d'autres films vus à la même epoque, comme La gifle, La boim, la 7 ème compagnie etc... ces films cultes qu'on a adorés lors de leur sortie et que l'on aime toujoirs autant, pour lesquels la magie opère encore même si l'on connait l'histoire par coeur... Ne perdez pas votre temps en visionnant ce film, vois seriez déçu.
Loin des comédies romantiques surréalistes et juvéniles produites à foison pour ménagères en quête d'absurdités mielleuses, il fut un temps où la romance disposait d'un minimum de maturité et de crédibilité, tout en ayant sa dose de merveilleux. Et c'est en 1970 que fut produit une référence de sentimentalisme de qualité : "Love Story". Véritable modèle de romance dramatique qui en inspirera beaucoup et bien loin de la niaiserie qui berce nombre de productions de ce genre, c'est par sa sincérité et son côté naturel que l’œuvre d'Arthur Hiller se démarque. Donc fini les discours à la "High School Musical", la parole la plus niaise du film est la cultissime phrase "L'amour, c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé". Ici la séduction se fait de façon assez ironique par le biais de piques taquines non innocentes. C'est ça l'amour. L'amour vache est de mise entre ce jeune étudiant en droit aisé et cette modeste étudiante en musicologie. C'est le point fort qui va mener la majeure partie du film, où l'amour se révèle être simple, complice et sans retenue. C'est un couple comme tant d'autres, auquel on croit, on s'attache. On va sourire bêtement, s'identifier à ces jeunes fougueux campés par des acteurs simples. L'histoire est simple par son récit, mais obscurcie par des thèmes, des problèmes dus à cette rencontre. Bah oui, c'est ça l'amour. Oliver étant hockeyeur, il est sans cesse en compétition, et c'est bien là le thème récurrent du film. Dans les études, il a toujours dû et va continuer de se battre. Dans sa relation avec Jennifer, il gardera sa dualité toute mignonne. Mais c'est surtout avec son père que l'affrontement est important, quand émulation rejoint lutte des classes. Bien que tout ceci ne soit pas le plus important, cela permet au film de tirer son épingle du jeu. Disposant d'une mise en scène simpliste, "Love Story" peine à être esthétique, et souffre d'une photographie trop pauvre, où les plans se succèdent sans beauté. Malgré tout, la réalisation est loin d'être mauvaise, car si tout se succède vite, cela permet d'avoir un rythme très appréciable couplé à un montage réfléchi superbe, qui va à l'essentiel. On se souviendra de la première déclaration de Jennifer soufflée par un "Je t'aime" suivi d'un cut rapide qui nous dévoile les amoureux dans la neige, pour une scène débordante de charme. Ou encore, quand Oliver reçoit
spoiler:
la bonne nouvelle et qu'ils s'embrassent bien sous les applaudissements des gamins, qui deviennent applaudissements lors de la remise des diplômes
. C'est toujours intelligent et mignon. Mais que serait "Love Story" sans sa musique oscarisée signée Francis Lai ? Cette mélodie somptueuse est vraiment une force du film, et n'est jamais trop redondante. Car une fois de plus, le cinéaste a su jouer correctement avec sa mise en scène, avec surtout la séquence où Oliver spoiler: recherche Jennifer. Quand il cherche sa chérie dans l'école privée de musique, et qu'il entrouvre chacune des portes, un instrument différent se mêle à la mélodie
. C'est de toute beauté ! Bénéficiant d'un rythme soutenu et d'un charme incontestable pour la majeure partie, on regrettera tout de même une fin dramatique tant attendue depuis l'introduction trop vite expédiée, qui ne crée pas la crise lacrymale prévue. En 15 minutes, l'affaire est dans le sac, si j'ose dire, et hop, fini. C'est dommage, lui qui était pourtant si bien parti. Mais bon, c'est bien connu, le début c'est super et la fin arrive trop vite, et c'est regrettable… C'est ça l'amour... Bref, un grand classique du cinéma des films romantiques, à voir évidemment
. C'est toujours intelligent et mignon. Mais que serait "Love Story" sans sa musique oscarisée signée Francis Lai ? Cette mélodie somptueuse est vraiment une force du film, et n'est jamais trop redondante. Car une fois de plus, le cinéaste a su jouer correctement avec sa mise en scène, avec surtout la séquence où Oliver spoiler: recherche Jennifer. Quand il cherche sa chérie dans l'école privée de musique, et qu'il entrouvre chacune des portes, un instrument différent se mêle à la mélodie
. C'est de toute beauté ! Bénéficiant d'un rythme soutenu et d'un charme incontestable pour la majeure partie, on regrettera tout de même une fin dramatique tant attendue depuis l'introduction trop vite expédiée, qui ne crée pas la crise lacrymale prévue. En 15 minutes, l'affaire est dans le sac, si j'ose dire, et hop, fini. C'est dommage, lui qui était pourtant si bien parti. Mais bon, c'est bien connu, le début c'est super et la fin arrive trop vite, et c'est regrettable… C'est ça l'amour... Bref, un grand classique du cinéma des films romantiques, à voir évidemment
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