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Votre avis sur Love Story ?
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Le synopsis nous dit que c'est un film qui parle d'un amour plus fort que les épreuves de la vie sauf que les épreuves de la vie montrées ici (à part la dernière bien entendu) sont assez courtes, manquent de puissance, d'intensité pour attiser le côté dramatique de l'histoire. Une histoire qui ne manque pas de tendresse au contraire, en grande partie grâce à ce couple qui fonctionne bien, qui se complète !!
Je m'attendais à de la guimauve larmoyante. Et bien non. C'est plutôt bien écrit et joué avec finesse. Les dialogues sont assez percutants et l'histoire d'amour est très crédible. Après la dernière partie mélodramatique est à mon goût un peu bâclée et la musique frôle souvent l'overdose...
Un chef-d'œuvre adapté du roman d'Erich Segal sur une histoire d'amour intemporelle avec Ryan O'Neal.
Loin des comédies romantiques surréalistes et juvéniles produites à foison pour ménagères en quête d'absurdités mielleuses, il fut un temps où la romance disposait d'un minimum de maturité et de crédibilité, tout en ayant sa dose de merveilleux. Et c'est en 1970 que fut produit une référence de sentimentalisme de qualité : "Love Story". Véritable modèle de romance dramatique qui en inspirera beaucoup et bien loin de la niaiserie qui berce nombre de productions de ce genre, c'est par sa sincérité et son côté naturel que l’œuvre d'Arthur Hiller se démarque. Donc fini les discours à la "High School Musical", la parole la plus niaise du film est la cultissime phrase "L'amour, c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé". Ici la séduction se fait de façon assez ironique par le biais de piques taquines non innocentes. C'est ça l'amour. L'amour vache est de mise entre ce jeune étudiant en droit aisé et cette modeste étudiante en musicologie. C'est le point fort qui va mener la majeure partie du film, où l'amour se révèle être simple, complice et sans retenue. C'est un couple comme tant d'autres, auquel on croit, on s'attache. On va sourire bêtement, s'identifier à ces jeunes fougueux campés par des acteurs simples. L'histoire est simple par son récit, mais obscurcie par des thèmes, des problèmes dus à cette rencontre. Bah oui, c'est ça l'amour. Oliver étant hockeyeur, il est sans cesse en compétition, et c'est bien là le thème récurrent du film. Dans les études, il a toujours dû et va continuer de se battre. Dans sa relation avec Jennifer, il gardera sa dualité toute mignonne. Mais c'est surtout avec son père que l'affrontement est important, quand émulation rejoint lutte des classes. Bien que tout ceci ne soit pas le plus important, cela permet au film de tirer son épingle du jeu. Disposant d'une mise en scène simpliste, "Love Story" peine à être esthétique, et souffre d'une photographie trop pauvre, où les plans se succèdent sans beauté. Malgré tout, la réalisation est loin d'être mauvaise, car si tout se succède vite, cela permet d'avoir un rythme très appréciable couplé à un montage réfléchi superbe, qui va à l'essentiel. On se souviendra de la première déclaration de Jennifer soufflée par un "Je t'aime" suivi d'un cut rapide qui nous dévoile les amoureux dans la neige, pour une scène débordante de charme. Ou encore, quand Oliver reçoit
spoiler:
la bonne nouvelle et qu'ils s'embrassent bien sous les applaudissements des gamins, qui deviennent applaudissements lors de la remise des diplômes
. C'est toujours intelligent et mignon. Mais que serait "Love Story" sans sa musique oscarisée signée Francis Lai ? Cette mélodie somptueuse est vraiment une force du film, et n'est jamais trop redondante. Car une fois de plus, le cinéaste a su jouer correctement avec sa mise en scène, avec surtout la séquence où Oliver spoiler: recherche Jennifer. Quand il cherche sa chérie dans l'école privée de musique, et qu'il entrouvre chacune des portes, un instrument différent se mêle à la mélodie
. C'est de toute beauté ! Bénéficiant d'un rythme soutenu et d'un charme incontestable pour la majeure partie, on regrettera tout de même une fin dramatique tant attendue depuis l'introduction trop vite expédiée, qui ne crée pas la crise lacrymale prévue. En 15 minutes, l'affaire est dans le sac, si j'ose dire, et hop, fini. C'est dommage, lui qui était pourtant si bien parti. Mais bon, c'est bien connu, le début c'est super et la fin arrive trop vite, et c'est regrettable… C'est ça l'amour... Bref, un grand classique du cinéma des films romantiques, à voir évidemment
. C'est toujours intelligent et mignon. Mais que serait "Love Story" sans sa musique oscarisée signée Francis Lai ? Cette mélodie somptueuse est vraiment une force du film, et n'est jamais trop redondante. Car une fois de plus, le cinéaste a su jouer correctement avec sa mise en scène, avec surtout la séquence où Oliver spoiler: recherche Jennifer. Quand il cherche sa chérie dans l'école privée de musique, et qu'il entrouvre chacune des portes, un instrument différent se mêle à la mélodie
. C'est de toute beauté ! Bénéficiant d'un rythme soutenu et d'un charme incontestable pour la majeure partie, on regrettera tout de même une fin dramatique tant attendue depuis l'introduction trop vite expédiée, qui ne crée pas la crise lacrymale prévue. En 15 minutes, l'affaire est dans le sac, si j'ose dire, et hop, fini. C'est dommage, lui qui était pourtant si bien parti. Mais bon, c'est bien connu, le début c'est super et la fin arrive trop vite, et c'est regrettable… C'est ça l'amour... Bref, un grand classique du cinéma des films romantiques, à voir évidemment
« Elle était belle. Elle était intelligente. Elle aimait Mozart, Bach, les Beatles. Et moi. » La première réplique de ce film qui a marqué toute une génération donne le ton. Sortez les violons et les mouchoirs pourrait-on craindre, mais non. Car si le film sort parfois la grosse cavalerie (la scène de la bataille de boules de neige notamment, monument de mièvrerie), il sait finalement toucher et on ne reste pas insensible à ce jeune couple que forment Jennifer et Oliver, solide et uni envers et contre tout (conditions sociales, désapprobation des parents d'Oliver...) et l'annonce de la maladie de Jennifer est d'autant plus déchirante d'autant qu'on la sait inévitable. Ryan O'Neal et ALi McGraw sont très convaincants et forment un des plus jolis couples de cinéma qu'on ait vu. « L'amour, c'est ne jamais avoir à dire qu'on est désolé. » Réplique aussi célèbre que ce très joli film un peu maladroit par moment certes, mais qui devrait vous toucher si vous avez un minimum de sensibilité. Et pour les plus cinéphiles, Tommy Lee Jones a un tout petit rôle, celui d'un des colocs d'Oliver.
Un drame qui offre ses lettres de noblesse. Le couple vedette portent sur leur épaules le poids du film. Ryan O'Neil est parfait avant d'accroître son jeu d'acteur dans Barry Lyndon de Kubrick. On remarquera certainement dans son premier petit rôle Tommy Lee Jones. L'histoire d'amour ultime sur le fait d'aimer quoiqu'il arrive. Poignant !
Love Story opus assez banal perçu par un public conditionné plusieurs mois avant sa sortie par un battage médiatique conséquent reste certainement le résultat d’une bonne affaire commerciale.
Rien de bien folichon dans cette histoire d’amour adaptée d’un roman d’Erich Segal ou l’on décide, on se demande bien pourquoi de sacrifier l’un des composants subitement dans une descente palliative propre, amputée au maximum de toute la logique d’un effondrement moral et physique rationnel.
Un conte tragique inexploitable en dessin animé et rapatrié sur pellicule dans un récit s’étirant mollement sans faire d’étincelles.
Entre parcelles de bonheurs et colères froides l’œuvre surnage grâce à l’esthétisme des adorables tenues d’Ali Mc Graw effigie d’une nouvelle femme réfléchie par un ton novateur libre et intelligent.
Finalement c’est elle la pépite secrète de ce film habile et récupérateur.
Le but de l’entreprise semble certainement de remplir les tiroirs caisses dans un climat larmoyant faisant dégainer les mouchoirs à l’aide d’un ramassis d’images récupératrices parfois douteuses sur une union fauchée prématurément.
Dans cette entreprise tout le monde semble avoir fait son beurre de l’image à la musique en offrant un produit spécialisé accepté par des spectateurs oubliant un instant que le rire est le propre de l’homme.
Rien de bien folichon dans cette histoire d’amour adaptée d’un roman d’Erich Segal ou l’on décide, on se demande bien pourquoi de sacrifier l’un des composants subitement dans une descente palliative propre, amputée au maximum de toute la logique d’un effondrement moral et physique rationnel.
Un conte tragique inexploitable en dessin animé et rapatrié sur pellicule dans un récit s’étirant mollement sans faire d’étincelles.
Entre parcelles de bonheurs et colères froides l’œuvre surnage grâce à l’esthétisme des adorables tenues d’Ali Mc Graw effigie d’une nouvelle femme réfléchie par un ton novateur libre et intelligent.
Finalement c’est elle la pépite secrète de ce film habile et récupérateur.
Le but de l’entreprise semble certainement de remplir les tiroirs caisses dans un climat larmoyant faisant dégainer les mouchoirs à l’aide d’un ramassis d’images récupératrices parfois douteuses sur une union fauchée prématurément.
Dans cette entreprise tout le monde semble avoir fait son beurre de l’image à la musique en offrant un produit spécialisé accepté par des spectateurs oubliant un instant que le rire est le propre de l’homme.
Bien sur que la chose la plus connue de ce film c'est la musique de Francis Lai ,l'une des BOF les plus fameuses au monde mais l'histoire d'amour reste au delà des clichés ,au delà des décors et des costumes (un peu rétro aujourd'hui) une des plus belles que le septième art ai jamais conté.Elle le doit certainement en grande partie a son couple magique qui réalise une performance d'acteur impressionnante ,le point d'orgue de 2 carrières étrangement squelettique vu les valeurs qu'ils affichent sur ce long métrage.C'est triste a partir de la découverte de la maladie mais il ne faut pas oublier la 1ere heure pleine de vie et de joie malgré le conflit que le héros entretient avec son père sobrement interprété par un grand Ray Milland star des années 50.
Ce mélodrame présenté comme le test ultime pour faire pleurer n'importe qui comme une madeleine ne m'a pas fait grosse impression.Et j'en connais la cause:il est devenu anachronique.Au niveau romance,on a vu beaucoup mieux depuis.Ceci étant dit,"Love Story"(quel titre ingrat!)vaut mieux que sa réputation mièvre pour jeunes filles adeptes de la sensiblerie.C'est une histoire d'amour toute simple,sans tromperie,ni coups de théâtres,entre un fils de bonne famille rebelle et direct,et une étudiante sans le sou volontaire et sarcastique.Entre eux,le courant passe instantanément.Je t'aime un peu,beaucoup, passionnément,à la folie.Un coup de foudre destiné à résister à tous les coups durs de la vie,excepté le seul que l'on ne peut maîtriser... Ginnie et Oliver sont dans un monde qui n'appartient qu'à eux.L'appréciation du film dépend du parcours personnel et de la sensibilité de chacun.La musique récurrente de Francis Lai se charge d'arracher les larmes,alors que Ryan O'Neal et Ali Mc Graw forment un très beau couple de cinéma,enjoleur et pur.Leurs échanges verbaux animés marquent les esprits,et semblent indiquer qu'un amour éternel est celui qui est entièrement sincère,partagé et impulsif.De belles paroles pour une "Love Story" de toute façon adorable.
Même si l'histoire d'amour ,formant l'intrigue et toute la construction du film, est ,avouons le, banal; le film tient cependant sa force de cette étrange fraîcheur et sincérité qu'il dévoile aux spectateurs. En effet, le choix concernant le physique des acteurs est irréprochable : avec du charme mais sans superficialités, ce qui donne un côté beaucoup plus humain au film et atténue la partie un peu trop Hollywoodienne de l'oeuvre (Le hockey, la confrontation riches/pauvres) ... La musique y est peut être aussi pour beaucoup, d'une qualité rare et utilisée à bon escient, elle porte sur son dos, quasiment seule, la réelle intensité du film. Si la mise en scène de Arthur Hiller se montre pendant toute la durée du film qualitative (esthétisme, créativité, direction des acteurs, dialogues), le réel problème réside en l'écriture du scénario. Dommage que de Love story, avec le temps, on ne retiendra quasiment que la musique...
Si cette histoire d'amour est si réussie, c'est non seulement grâce à la réalisation et à son couple, les deux d'une nervosité sympathiques ; mais c'est surtout parce qu'il est brillamment écrit, le script coulant jamais sans heurts.
C'est mignon mais ça a quand même pas mal vieilli... La musique est évidemment magnifique tant elle semble coller à l'histoire des deux héros.
Une histoire d'amour subtilement écrit où l'on connait la fin dès le début du film ce qui n'empêche nullement d'adhérer pleinement à ce récit presque commun ou banal et ce grâce à Ryan O'Neal et Ali McGraw qui sont éblouissants et criants de vérité! Cependant la réalisation d'Hiller est poussive et tend à forcer le spectateur à pleurer! La mise en scène parait aussi très surcharger pleine de scènes qui ne servent qu'à rallonger un peu le film...
Ce film est présenté comme le film le plus triste qui existe et bien moi qui pleure facilement devant un film (mais vraiment très facilement) je n'ai pas pleuré à la fin de celui-ci. Je trouve qu'on ne s'attache pas assez aux personnages, la fin arrive trop vite. Il est touchant mais sans plus.
Triste. Triste. Triste. Beaucoup diront que le film est chargé de stéréotypes. Oui, et alors? Tant que les acteurs sont superbes et donnent une prestation géniale : Ryan O'Neal est plus qu'excellent et quant à la vedette du film, Ali MacGraw, plus que bluffante, extraordinaire. Ray Milland est très bon, ça fait plaisir de le retrouver. John Marley est fantastique. Le scénario enchaîne certes les clichés mais la structure narrative est excellente et les dialogues sans reproche. La réalisation est très bonne avec quelques très bons plans. Ajoutons au tout une musique culte de Francis Lai, qui nous aide à verser quelques larmes. Un classique du cinéma romantique. Un film magnifique, qui est véritablement une leçon de vie.
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