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Alisson G
20 abonnés
235 critiques
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2,5
Publiée le 20 avril 2013
C'est mignon, c'est touchant, c'est très triste... mais ça reste malgré tout une histoire très (trop?) classique, dans laquelle il ne se passe pas grand chose. On s'ennuie rapidement et on attend la fin, dommage. Moyen, 2,5/5
Nul. Vraiment. J'ai adoré le coup "Je veux aller à Paris, pour faire du piano, oh tu sais combien cela me passionne !" "Oh mais non tu ne pars pas tu m'épouses tiens !" Non mais ça va hein... L'amour à deux balles pour pré-adolescents merde ! L'amour c'est un sentiment comme un autre, comme la haine, la rage, la colère, la joie, la peur etc ! La passion c'est ce qui donne un sens à une vie. Une personne qui n'est pas passionnée est frustrée toute sa vie... ! Il se demande sans vouloir le voir, pourquoi se lève-t-il tout les matins... L'amour avec un grand A, c'est la passion envers un être... Et ce film ne représente ABSOLUMENT PAS cet Amour qui s'avère presque inexistant de nos jours tellement sommes-nous pressés d'être posés financièrement et sexuellement parlant. Argent, travail, maison, enfant. Eh bien c'est exactement ce que représente ce film, une pauvre abrutie qui regrette sur son lit de mort de ne pas être allée à Paris percer dans la musique pour un espèce de machin qui regrette de lui avoir gâcher ce rêve égoïstement. Bien qu'elle dise le contraire. Bref, je mets quand même 1/4, parce qu'à la fin, je me suis réellement marrée. Aucune larme venant du type, ouais, c'est un homme, un vrai, qui pleure pas même si sa gonz est morte ;). Cul cul la praline bonsoir !
Rares sont les films qui dépriment autant. Alors oui certes la vie n'est pas facile et peut nous tourmenter par quelques aleas mais ce qui nous fait avancer c'est l'imprevu positif, ce film ne vous le montrera pas. PLV : si vous trouvez que votre vie est trop triste
Le film romantique et mélodramatique de référence. Tout les ingrédients classiques de ces genres sont réunis. Mais c'est justement ce qui peut en faire des défauts, personnages lissent et histoire sans surprise.
Ne pas oublier que ce film a plus de 40 ans. Histoire d'amour classique et dont l'amour perdurera toujours vu que les 2 protagonistes n'auront pas le temps de se disputer, de se déchirer, et après tout c'est ce qui rend le film si romantico-pathético-utopiste. Il est néanmoins pas si mal.
« Love story » de Arthur Hiller (1970) est un film qui a marqué son époque. Le pitch est connu de tous : Oliver Barrett (Ryan O'Neal), IVème du nom d’une lignée de diplômés de Harvard riches et éminents, va être attiré par Jennifer Cavilleri (Ali MacGraw) d’origine italienne, pauvre et catholique, étudiante en musique… et ce contre la volonté de ses parents et ils se marieront sans leur consentement. Le père d’Oliver va lui couper les vivres mais Oliver arrivera à devenir avocat quand son épouse meurt d’une leucémie. C’est – à ma connaissance – la première fois qu’on parle dans un film grand public de leucémie même si le mot n’est pas prononcé : « voir un Hématologue, essayer un traitement, transfusion de sang et de plaquettes… ». Le père d’Oliver n’apprendra la vérité qu’au tout dernier moment et lorsqu’il se rend au Mount Sinaï Hospital, il dira à son fils « Je suis désolé » et Oliver de reprendre une phrase de Jennifer « L’amour c’est n’avoir jamais à dire je suis désolé » qui est une des plus grandes répliques du cinéma américain. Un film dont la musique de Francis Lai est restée gravée dans la tête. Un film pour lequel on pourrait se poser la question : et si c’est Oliver qui était mort, quelle aurait été l’attitude de sa famille vis-à-vis de cette fille de migrants italiens ?
L'amour, c'est ne jamais avoir à dire qu'on est désolé. Simple et non simpliste, l'un des meilleurs films sur le sujet. Bête comme chou, et pourtant si évident.
La plus belle histoire d'amour du cinéma. Une excellente adaptation du best-seller de Erich Segal. Un chef d'oeuvre. Un magnifique film aussi triste qu'une tragédie divine. De l'émotion à l'état pur. Couronné par sept nominations aux Oscars, une magnifique histoire d'amour éternel.
Romance absolue nominée sept fois aux Oscars, "Love Story" ne joue que sur un seul et unique tableau : L'Amour. Car effectivement, pas de contexte de guerre ni d'aventure spéciale pour le long-métrage d'Arthur Miller. Son film traite tout simplement de la rencontre de deux êtres séduits l'un par l'autre. Jouant parfaitement sur des dialogues naturels et rafraichissants, Ali McGraw et Ryan O'Neal se complémentent parfaitement et bravent la délicate épreuve de l'écart social, pourtant notable entre eux. Basé sur un script simple comme bonjour, "Love Story" vous tient malgré tout en alène même si un ou deux rebondissements supplémentaires n'auraient pas été de trop. Outre la complicité fort agréable établie entre les deux protagonistes majeurs du film, on retiendra la bande originale mythique qui nous poursuit tout au long du récit. Comblant les quelques excentricités de mise en scène et de montage du réalisateur, la musique reste fidèle à son poste en nous berçant tout du long. A noter également la présence de Tommy Lee Jones au casting pour qui il s'agit de son second film.
Culte ! Mais pas si bon que ça. D'une histoire banale et peu originale ; le bourge et la pauvresse s'aiment mais elle mourra... Arthur Hiller nous plonge dans un film triste à pleurer (sans jeu de mot !). Tous les effets lacrymales condensées en 1h30 ! Je ne connais personne d'humain qui peut regarder ce film sans pleurer ! Ryan O'Neal et Ali McGraw sont charmants et amoureux comme il faut. Le gros soucis du film sont les dialogues, pour une grande part mièvres et sans consistances. Le seul vrai intérêt du film est de faire pleurer dans les chaumières. Intérêt faible e facile mais but atteint sans problème !
"L'amour, c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé". C'est aujourd'hui que je découvre cette célèbre comédie romantique réalisée par Arthur Miller, sortie en 1970 et adaptée du roman homonyme de Erich Segal et je ne regrette pas car elle est très bonne. Je pense que tout le monde connait l'histoire mais ça ne coûte rien de la rappeler, c'est celle d'un riche étudiant en droit qui rencontre une "pauvre" étudiante en musique et malgré leur différence de classe sociale, ils essayent de passer les épreuves plus ou moins dures de la vie ensemble. Bon alors là, on est à fond dans le drame hollywoodien très larmoyant mais pour le coup, ça ne choque pas et surtout ça fonctionne ! Moi-même qui n'aime pas vraiment les films à l'eau de rose, j'ai apprécié celui-là et je n'avais même pas d'aprioris avant de le voir, je savais que j'allais plus ou moins aimer. L'introduction m'a tout de même un peu surpris car même si je connaissais la fin, je ne pensais qu'elle y étais dévoilée directement et c'est finalement une approche assez originale car on voit le film totalement sous un autre regard. Il y a donc énormément de scènes clichées comme par exemple celle qui me vient tout de suite à l'esprit, celle où les deux personnages se roulent dans la neige qui est complètement irréaliste mais pourtant, encore une fois, ici ça ne choque pas, ça rentre complètement dans le thème et dans l'ambiance du film. Les deux personnages sont aussi très clichés mais bon, ce n'est pas vraiment très grave, au contraire, c'est même sympa de plonger dans un univers comme celui-là de temps en temps et de se laisser porter par le film sans se poser de questions. Ce qui a également fait le succès du film, c'est bien-sûr sa musique qui est très larmoyante mais magnifique et accompagne très bien le film. Le dénouement se fait quant à lui très rapidement, les personnages prennent des décisions très rapidement, ce qui est là aussi irréaliste, mais on ne s'ennuie pas une seconde. Du côté des acteurs, nous avons principalement Ali MacGraw et Ryan O'Neal qui jouent très bien mais également Ray Milland et Tommy Lee Jones qui, même en n'étant pas longtemps à l'écran, marquent les esprits. "Love Story" est donc un film culte qui n'a pas un scénario spécialement extraordinaire mais qui pourtant reste très bon.
Un film culte dans son genre dans lequel Ryan O'Neal et Ali MacGraw forment l'un des couples les plus marquants du cinéma. Sur une histoire toute simple d'amour, un drame qui traite de la lutte des classes sociales puis de la maladie et de mort de façon édulcorée. Une oeuvre chargée d'émotions, poignante dans son final.
A la grande époque des années 60-70 où le cinéma hollywoodien nous livrait ses œuvres les plus contestataires, Arthur Hiller, qui avait jusque-là essentiellement signé des mélodrames autour de la guerre, réalisa un drame passionnel rapidement rendu culte par l’irrésistible force émotionnelle qui en émane. La simplicité de l’histoire d’amour entre Jennifer et Oliver aide lui donner un réalisme immersif tandis que nous sommes emportés, au rythme des splendides musiques composés par Francis Lai, dans un flot de romantisme exacerbé. Le ton très juste des jeux de Ryan O’Neil et Ali McGraw sont pour beaucoup dans la mécanique affective intense qui nous conduit vers une conclusion si bouleversante qu’elle ne laissera personne indifférent et qui fit de Love Story une référence incontournable pour tous les films qui voudront par la suite traiter avec efficacité des sentiments amoureux.
Le film paraît devoir aborder tous les aspects d'une relation amoureuse débutante: difficultés financières, avec la famille, etc... Le problème réside surtout dans l'équilibre du récit: certains points ne sont qu'effleurés ou expédiés en quatrième vitesse, pour mieux partir sur autre chose. En gros, on essaie de nous faire un concentré de mélodrame total (comme il existait le football total à l'époque, avis aux amateurs). Le couple est tout de même assez étrangement assorti, Ryan O'Neal semblant traîner un spleen pendant tout le film. La mise en scène est assez plate. Quelques bonnes séquences, dont certaines sont devenues des mythes, permettent de soutenir l'intérêt du spectateur. Bref, un film loin d'être aussi mémorable à mes yeux que ce que l'on en dit.