Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Rarement une forme du passé aura été utilisée avec autant d'intelligence que dans Loin du paradis, sans jamais verser dans la facilité parodique, et moins pour en souligner l'actualité que la permanence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
par Alain Grasset
C'est beau, tragique, émouvant et surtout superbement interprété par Julianne Moore, absolument admirable. Sans oublier Dennis Quaid, étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Loin du paradis s'inscrit dans cette lignée magnifique et intemporelle des histoires d'amours impossibles. Un mélodrame qui jamais ne perd la chair de ses personnages, sa dimension politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Sourire définitif. C'est toute l'histoire de Cathy. C'est toute la splendeur de Julianne Moore : comme dans Safe du même Todd Haynes, elle, "tout simplement" immense. Une femme qui sourit tout le temps, même quand elle pleure. Elle pourrait tuer, ou se suicider, toujours en souriant. Mais elle ne le fera pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Vibrant hommage au mélodrame et à Douglas Sirk, LOIN DU PARADIS est un grand film porté par une grande actrice, Julianne Moore, tour à tour terriblement glamour et intensément vibrante. Après VELVET GOLDMINE, Todd Haynes réussit un retour haut en couleurs.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Loin du paradis réanime avec un mimétisme absolu l'esthétique et les codes narratifs des mélodrames dont Douglas Sirk fut le champion dans les années 50.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Julianne Moore fait merveille dans ce rôle de belle captive. Avec un minimum d'expressivité, comme si toute sa physionomie était sous contrôle, elle reprend à son compte le registre très nuancé voulu par son metteur en scène pour tout le film : une manière de rester à la surface polie et policée de la vie pour mieux en suggérer la face cachée. Sous sa peau diaphane, on devine que Cathy Whitaker brûle d'amour pour Raymond.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Un retour au mélo qui n'est pas un paresseux recyclage des formes mais une preuve bouleversante que les sentiments de perte, d'injustice, de désir et d'amour continuent toujours de façonner la nature humaine.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guerin
Calmement imposant en plan large, émouvant en plan rapproché, la stature et le visage, le corps et les yeux, Dennis Haysbert est parfait pour ça. Tant mieux, car c'est le propre d'une série. Et d'un mélo aussi.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Sous la stylisation raffinée, l'émotion se glisse imperceptiblement... C'est ntelligent et élégant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Florence Colombani
En apparence bien sûr, Loin du paradis est un pastiche. Il ne s'agit pourtant pas d'un avatar moderne du mélodrame, mais d'un retour à sa genèse. Cette intuition décisive du réalisateur révèle, bien plus que Safe et Velvet Goldmine, ses précédents films, un réel talent doublé d'un grand courage artistique. Le pacte ne va pas de soi et pourtant le film va de l'avant, sans reculer devant les scènes de déchirement qu'impose son intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Olivier De Bruyn
Stylisé à l'extrême mais terriblement incarné, Loin du paradis confirme que Todd Haynes n'a rien du petit malin mais tout du cinéaste inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
Loin du paradis est d'ailleurs une copie presque conforme des mélos que ce dernier confectionnait pour Hollywood. Todd Haynes y a seulement introduit le thème de l'homosexualité, qui lui tient à coeur, et accentué le contexte racial (ici, le jardinier est une sorte de Rock Hudson noir). Un mélo briqué et reluisant, "à la manière de".
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est savamment réalisé, frisant la perfection visuelle. De plus, la vie sacrifiée de l'héroïne ne laisse pas d'émouvoir. Mais, en même temps, cet exercice de style relève d'un maniérisme un peu réfrigérant et emberlificoté.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Chronic'art.com
Rarement une forme du passé aura été utilisée avec autant d'intelligence que dans Loin du paradis, sans jamais verser dans la facilité parodique, et moins pour en souligner l'actualité que la permanence.
Le Parisien
C'est beau, tragique, émouvant et surtout superbement interprété par Julianne Moore, absolument admirable. Sans oublier Dennis Quaid, étonnant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Loin du paradis s'inscrit dans cette lignée magnifique et intemporelle des histoires d'amours impossibles. Un mélodrame qui jamais ne perd la chair de ses personnages, sa dimension politique.
Libération
Sourire définitif. C'est toute l'histoire de Cathy. C'est toute la splendeur de Julianne Moore : comme dans Safe du même Todd Haynes, elle, "tout simplement" immense. Une femme qui sourit tout le temps, même quand elle pleure. Elle pourrait tuer, ou se suicider, toujours en souriant. Mais elle ne le fera pas.
MCinéma.com
Vibrant hommage au mélodrame et à Douglas Sirk, LOIN DU PARADIS est un grand film porté par une grande actrice, Julianne Moore, tour à tour terriblement glamour et intensément vibrante. Après VELVET GOLDMINE, Todd Haynes réussit un retour haut en couleurs.
TéléCinéObs
Loin du paradis réanime avec un mimétisme absolu l'esthétique et les codes narratifs des mélodrames dont Douglas Sirk fut le champion dans les années 50.
Télérama
Julianne Moore fait merveille dans ce rôle de belle captive. Avec un minimum d'expressivité, comme si toute sa physionomie était sous contrôle, elle reprend à son compte le registre très nuancé voulu par son metteur en scène pour tout le film : une manière de rester à la surface polie et policée de la vie pour mieux en suggérer la face cachée. Sous sa peau diaphane, on devine que Cathy Whitaker brûle d'amour pour Raymond.
Zurban
Un retour au mélo qui n'est pas un paresseux recyclage des formes mais une preuve bouleversante que les sentiments de perte, d'injustice, de désir et d'amour continuent toujours de façonner la nature humaine.
Cahiers du Cinéma
Calmement imposant en plan large, émouvant en plan rapproché, la stature et le visage, le corps et les yeux, Dennis Haysbert est parfait pour ça. Tant mieux, car c'est le propre d'une série. Et d'un mélo aussi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Sous la stylisation raffinée, l'émotion se glisse imperceptiblement... C'est ntelligent et élégant.
Le Monde
En apparence bien sûr, Loin du paradis est un pastiche. Il ne s'agit pourtant pas d'un avatar moderne du mélodrame, mais d'un retour à sa genèse. Cette intuition décisive du réalisateur révèle, bien plus que Safe et Velvet Goldmine, ses précédents films, un réel talent doublé d'un grand courage artistique. Le pacte ne va pas de soi et pourtant le film va de l'avant, sans reculer devant les scènes de déchirement qu'impose son intrigue.
Première
Stylisé à l'extrême mais terriblement incarné, Loin du paradis confirme que Todd Haynes n'a rien du petit malin mais tout du cinéaste inspiré.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Loin du paradis est d'ailleurs une copie presque conforme des mélos que ce dernier confectionnait pour Hollywood. Todd Haynes y a seulement introduit le thème de l'homosexualité, qui lui tient à coeur, et accentué le contexte racial (ici, le jardinier est une sorte de Rock Hudson noir). Un mélo briqué et reluisant, "à la manière de".
L'Humanité
C'est savamment réalisé, frisant la perfection visuelle. De plus, la vie sacrifiée de l'héroïne ne laisse pas d'émouvoir. Mais, en même temps, cet exercice de style relève d'un maniérisme un peu réfrigérant et emberlificoté.