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Votre avis sur Ma femme... s'appelle Maurice ?
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Autant sur scène ils (Chevallier/Laspalès) peuvent être vraiment drôle, autant ils sont franchement mauvais devant et derrière la caméra. Seules quelques mimiques de Laspalès parviennent à nous extraire quelques rires.
Très mauvais, tout est très lourd et tombe à plat.
7eme critique
Ridicule, bourré de situations en aucun cas crédibles, "Ma femme...s'appelle Maurice" jongle d'un coté avec son scénario grotesque qui surpasse la facilité, et d'un autre avec la lourdeur de Laspalès dans son comique de répétition qu’il affectionne tout particulièrement. Insupportable !
Ouh là, attention, là y'a du lourd de chez lourd, du navet de compet'. Ce film est un raté complet, pas du tout drôle. Fuyez !
Redzing
Il est difficile de croire que le réalisateur du "Père Noël est une ordure" ait pu pondre un vaudeville aussi consternant que "Ma femme... s'appelle Maurice". Cabotinage en série (notamment des Chevallier-Laspalès), humour peu inspiré, absence de rythme : la comédie française foireuse est presque à son paroxysme. Un navet.
une comedie moyen qui veut en faire trop beaucoup trop
Y'a pire comme comédie franchou', bien pire. Et c'est rondement mené dans les plans, ce qui donne de l'énergie à ce presque huit-clôs plutôt bien joué.
Roub E.
Un navet de boulevard beauf débile et sans intérêt.
"Ma femme... s'appelle Maurice", déjà le titre fait peur... Je n'en attendais rien de positif, mais il est bon parfois de se moquer, alors j'ai zieuté, en faisant autre chose bien sûr, faut pas déconner, hein... mais rien ne m'est apparu, pas le moindre atome de miracle. C'est assez triste de voir un tel vaudeville se muer en film, à moins d'avoir un petit faible pour l'humour beauf et le non-cinéma. Tout y est caricatural. Je mets quand même 1 étoile parce que je m'attendais à pire encore.
Un épouvantable navet de poiré dont on peut légitimement se demander si la réussite connue dans sa carrière est due à son talent ou à celui des autres.
Une bonne grosse bouse mettant en scène deux humoristes très connus, Chevalier et Laspalès. Et ceux ci se révèle encore plus nuls en acteurs qu'en humoristes (déjà qu'ils ne sont pas très drôle...). Cette comédie complètement loufoque ne parvient pas à nous décrocher le moindre sourire. Tiré de leur sketch, et comme bien d'autres humoristes après eux (Eli Semmoun avec Cyprien, Gad Elmaleh avec Coco...), le film fait un bide car absolument pas drôle et agrémenté d'un scénario complètement bidon. Les deux humoristes , tout comme les seconds rôles qui les accompagnent ne parviennent pas à convaincre. Je ne sais même pas pourquoi Jean-Marie Poiré a accepté ce projet absolument infâme.
Xavi_de_Paris
Une nullité sans nom, à la limite du regardable par moments, notamment dans la première partie. Ca s'améliore timidement dans la seconde, grâce à un Laspalès en grande forme. Mais globalement, on reste quand même sur du vaudeville bas de gamme, surjoué, grotesque, aux situations frôlant le degré zéro de cinéma. Difficile de faire pire.
Caine78
Considéré par beaucoup comme l'une des pires comédies et comme l'un des pires films de l'Histoire du cinéma tout court, il est vrai que « Ma femme s'appelle Maurice » s'inscrit directement dans la droite lignée des films de Max Pécas ou de Philippe Clair. Jamais drôle, souvent vulgaire et souffrant surtout d'un non-rythme comme on en a rarement vu dans une comédie, l'ensemble accumule les casseroles avec une constance déconcertante, et ce sans que personne ne réussisse jamais à interrompre cette spirale infernale. Mais que sont venus faire Anémone et surtout Stéphane Audran dans ce désastre ambulant? Alors OK, j'ai peut-être simplement trouvé cela un tout petit moins mauvais que ce à quoi je m'attendais vu les dramatiques échos venus de toutes parts, mais ce sera bien ma seule consolation tant cette tentative de Chevalier et Laspalès de conquérir le grand écran s'avère effectivement effroyable de nullité. Jean-Marie Poiré, réalisateur autrefois inspiré des « Visiteurs », de « Mes meilleurs copains » et du « Père Noël est une ordure » est tombé bien bas... A fuir!
Dernier film de Jean Marie Poiré, injustement rejetté par le cinéma français. Le film aurait certainement pû être meilleur, mais Laspalès et Chevalier sauvent l'honneur. Dans la lignée de la mode des adaptations théâtrales de pièces à succès.
Sans doute, initialement, ce sujet de vaudeville est commun et peu élaboré. Il apparait au cinéma, après le traitement que lui inflige Jean-Marie Poiré, carrément stupide.
Un bourgeois empêtré dans les soucis d'argent et dans l'adultère, convainc sans trop de mal un importun et zélé bénévole du Secours Fraternel de jouer le rôle de son épouse...Philippe Chevallier, dans le rôle du bourgeois excité, et son compère de la scène Régis Laspalès, dans celui du travesti (un rôle mal défini pour ne pas dire incohérent), accumulent les crétineries dans une succession de situations vaudevillesques grossières où les occasions de quiproquos font long feu. Les dialogues sont bêtes et les seconds rôles sont partagés entre outrances et insignifiance (on verra quelques figures connues faire une participation terne). L'interprétation en général est médiocre. Comment s'amuser, d'autre part, des pitoyables exhibitions de Laspalès spoiler: en robe à fleurs?
Et puis, indépendamment du sujet, il y a la réalisation insupportable de Poiré, déjà péniblement éprouvée dans les très mauvais "Anges gardiens". Le cinéaste prétend échapper à l'insuffisance du scénario et à l'indigence des effets comiques par un montage frénétique qui a surtout pour effet de casser les scènes et le jeu des interprètes. Poiré ne fait qu'appliquer une dynamique artificielle à une mise en scène poussive et sans idées.
Le prologue vénitien sur fond de rythmes sud-américains "tendance" est tape-à-l'oeil autant que vain. Juste de la frime pour donner de l'envergure à un sujet théatral qui n'en a pas.
Un bourgeois empêtré dans les soucis d'argent et dans l'adultère, convainc sans trop de mal un importun et zélé bénévole du Secours Fraternel de jouer le rôle de son épouse...Philippe Chevallier, dans le rôle du bourgeois excité, et son compère de la scène Régis Laspalès, dans celui du travesti (un rôle mal défini pour ne pas dire incohérent), accumulent les crétineries dans une succession de situations vaudevillesques grossières où les occasions de quiproquos font long feu. Les dialogues sont bêtes et les seconds rôles sont partagés entre outrances et insignifiance (on verra quelques figures connues faire une participation terne). L'interprétation en général est médiocre. Comment s'amuser, d'autre part, des pitoyables exhibitions de Laspalès spoiler: en robe à fleurs?
Et puis, indépendamment du sujet, il y a la réalisation insupportable de Poiré, déjà péniblement éprouvée dans les très mauvais "Anges gardiens". Le cinéaste prétend échapper à l'insuffisance du scénario et à l'indigence des effets comiques par un montage frénétique qui a surtout pour effet de casser les scènes et le jeu des interprètes. Poiré ne fait qu'appliquer une dynamique artificielle à une mise en scène poussive et sans idées.
Le prologue vénitien sur fond de rythmes sud-américains "tendance" est tape-à-l'oeil autant que vain. Juste de la frime pour donner de l'envergure à un sujet théatral qui n'en a pas.
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