Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Du gros vaudeville plein de clichés, d'accord, mais Laspalès est franchement comique.
MCinéma.com
par Xavier Pichard
On sauvera tout de même de l'hécatombe Anémone (venue pourtant cachetonner dans le rôle de la bourgeoise coincée) et Martin Lamotte (égal à lui-même).
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquet
Répliques creuses et ridicules, décors laids et tape à l'oeil, mise en scène catastrophique découpée à la tronçonneuse, en arrivant à ce niveau de médiocrité, MA FEMME S'APPELLE MAURICE réalise l'exploit d'ériger au rang de chefs-d'oeuvre bon nombre de nanars des seventies. Pierre Tornade et Jean Lefebvre ont encore de grands jours devant eux, quant à moi si rire vaut bien un bon steak, allez zou je file en vitesse chez mon boucher.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un des gags cherche à nous faire rire en utilisant une tronçonneuse. Tout le film est du même tonneau.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouirock.com
par Pascale Lagahe
Bref, un mélange de bêtises et d'incohérences qui devient franchement insupportable au bout d'une heure de film.
Première
par Mathieu Carratier
Toucher le fond, c'est courageux, en redéfinir la profondeur, c'est admirable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Eric Quéméré
Ces quiproquos adultérins d'un autre âge constituent le niveau zéro du scénario, mais aussi celui de la mise en scène, etc. Arriver à ce point de médiocrité, quel talent !
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Le Figaroscope
Du gros vaudeville plein de clichés, d'accord, mais Laspalès est franchement comique.
MCinéma.com
On sauvera tout de même de l'hécatombe Anémone (venue pourtant cachetonner dans le rôle de la bourgeoise coincée) et Martin Lamotte (égal à lui-même).
Cinopsis.com
Répliques creuses et ridicules, décors laids et tape à l'oeil, mise en scène catastrophique découpée à la tronçonneuse, en arrivant à ce niveau de médiocrité, MA FEMME S'APPELLE MAURICE réalise l'exploit d'ériger au rang de chefs-d'oeuvre bon nombre de nanars des seventies. Pierre Tornade et Jean Lefebvre ont encore de grands jours devant eux, quant à moi si rire vaut bien un bon steak, allez zou je file en vitesse chez mon boucher.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Un des gags cherche à nous faire rire en utilisant une tronçonneuse. Tout le film est du même tonneau.
Ouirock.com
Bref, un mélange de bêtises et d'incohérences qui devient franchement insupportable au bout d'une heure de film.
Première
Toucher le fond, c'est courageux, en redéfinir la profondeur, c'est admirable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Ces quiproquos adultérins d'un autre âge constituent le niveau zéro du scénario, mais aussi celui de la mise en scène, etc. Arriver à ce point de médiocrité, quel talent !