Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Ce que l'on prend d'abord pour un film académique aux airs de déjà vu (...) se révèle finalement beaucoup plus subtile... Peu à peu, le narrateur dévoile le double fond d'une société américaine " autoritaire et coercitive ", bâtie sur le silence et le mensonge.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Si la mise en scène reste conventionnelle, c'est au profit des comédiens. Impossible de dévoiler ici les arcanes du scénario : vous serez vite captivé par cette histoire qui met certes un petit moment à se mettre en place, mais ne vous lâche plus.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Robert Benton s'en tire (...) avec les honneurs. Il parvient à créer une atmosphère singulière, à la fois provinciale et hors du temps, baignée par les couleurs froides du nord. La distribution est également irréprochable, et deux des plus grands interprètes hollywoodiens du moment, Anthony Hopkins et Nicole Kidman, tous deux remarquables (...)
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La violence de la dénonciation d'une imposture sociale et politique aurait nécessité une forme moins carrée, moins statique. Néanmoins fort d'une interprétation de qualité, La Couleur du mensonge est un film esthétiquement correct.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Manque l'essentiel : non seulement le style, mais la résonance que Philip Roth donnait au récit par son ampleur, par la richesse foisonnante des détails, par la façon dont ces destins individuels entrelacés incarnant les rêves (brisés) d'une Amérique déboussolée. Au final, l'illustration n'est pas déshonorante, mais elle est d'une platitude désespérément académique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Catherine Axelrad
Malheureusement, le scénario (pourtant écrit par Nicholas Meyer) élimine à la fois le suspens de la construction et l'énergie de l'écriture de Roth; en édulcorant une caractérisation des personnages dont l'outrage faisait la force, le film devient aussi "correct" que les institutions qu'il prétend critiquer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Robert Benton adapte de façon très classique et assez monocorde La Tache, roman du plus grand et du plus misanthrope des écrivains américains contemporains, Philip Roth, dont il cite les passages les plus remarquables en les affadissant ou les pages sur la souillure de l'homme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par V.L.B.
(...) tous les stigmates d'une adaptation linéaire ratée: épisodes plaqués sans autre effort de narration, pathos exubérant... Reste un trio convaincant d'acteurs (...) et surtout la critique avisée du puritanisme de l'Amérique contemporaine. Mieux vaut donc (r)ouvrir le livre.
Aden
Ce que l'on prend d'abord pour un film académique aux airs de déjà vu (...) se révèle finalement beaucoup plus subtile... Peu à peu, le narrateur dévoile le double fond d'une société américaine " autoritaire et coercitive ", bâtie sur le silence et le mensonge.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Si la mise en scène reste conventionnelle, c'est au profit des comédiens. Impossible de dévoiler ici les arcanes du scénario : vous serez vite captivé par cette histoire qui met certes un petit moment à se mettre en place, mais ne vous lâche plus.
aVoir-aLire.com
Robert Benton s'en tire (...) avec les honneurs. Il parvient à créer une atmosphère singulière, à la fois provinciale et hors du temps, baignée par les couleurs froides du nord. La distribution est également irréprochable, et deux des plus grands interprètes hollywoodiens du moment, Anthony Hopkins et Nicole Kidman, tous deux remarquables (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
La violence de la dénonciation d'une imposture sociale et politique aurait nécessité une forme moins carrée, moins statique. Néanmoins fort d'une interprétation de qualité, La Couleur du mensonge est un film esthétiquement correct.
Télérama
Manque l'essentiel : non seulement le style, mais la résonance que Philip Roth donnait au récit par son ampleur, par la richesse foisonnante des détails, par la façon dont ces destins individuels entrelacés incarnant les rêves (brisés) d'une Amérique déboussolée. Au final, l'illustration n'est pas déshonorante, mais elle est d'une platitude désespérément académique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Malheureusement, le scénario (pourtant écrit par Nicholas Meyer) élimine à la fois le suspens de la construction et l'énergie de l'écriture de Roth; en édulcorant une caractérisation des personnages dont l'outrage faisait la force, le film devient aussi "correct" que les institutions qu'il prétend critiquer.
Première
Robert Benton adapte de façon très classique et assez monocorde La Tache, roman du plus grand et du plus misanthrope des écrivains américains contemporains, Philip Roth, dont il cite les passages les plus remarquables en les affadissant ou les pages sur la souillure de l'homme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
(...) tous les stigmates d'une adaptation linéaire ratée: épisodes plaqués sans autre effort de narration, pathos exubérant... Reste un trio convaincant d'acteurs (...) et surtout la critique avisée du puritanisme de l'Amérique contemporaine. Mieux vaut donc (r)ouvrir le livre.