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Les comédiens, sans exception, jouent magnifiquement, l'atmosphère intime de cette maison d'exil est particulièrement convaincante, et la narration en flash-back rappelle avec justesse la double appartenance du film : reconstitution d'une période méconnue de la vie de l'Empereur, certes, mais aussi thriller historique dont le maître-mot est encore aujourd'hui enfoui aux Invalides.
Paysages splendides battus par les vents, acteurs impeccables - mention à Philippe Torreton et à l'Anglais Richard E. Grant -, tout concourt à faire de ce pari osé un efficace divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Etonnant de Caunes ! Sa première incursion derrière la caméra, avec Les Morsures de l'aube, plongée gore dans la nuit parisienne, n'était pas convaincante. Cette fois, avec ce long film en costumes réalisé en Afrique du Sud, il prouve qu'il sait allier imagination et vérité historique, maîtriser un gros budget sans sombrer dans les effets inutiles, et diriger des comédiens particulièrement bien choisis...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'ensemble n'est pas trop mal mené, "N" est joué avec conviction par un Torreton charismatique, qui rattrape un casting sans audace, auquel seul Bruno Putzulu et la jeune Siobhan Hewlett apportent un peu de fraîcheur. La mise en scène est classique, scolaire mais sans faute de goût.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) c'est peut-être là qu'il faut chercher ce qui déçoit un peu, dans l'absence de partis pris qui fait de ce drame pervers, de ce huis clos étouffant un simple divertissement. Ce qui n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Tourné comme un polar, Monsieur N. est un curieux mélange de récit historique et romanesque, auquel risque d'être sensibles les seuls inconditionnels de Napoléon.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Tel quel, empreint d'une majesté un peu bourrative, il gâche d'intéressantes intentions. Comme disait l'autre, ce n'est pas Waterloo, mais ce n'est pas Arcole...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mais le suspense n'est pas torride et on reste dans le flou. Bilan : une reconstitution sans génie, où le mystère entretenu autour de la présence, de l'absence et de la mort de Mister N., font long feu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Monsieur N. est tout entier happé par le sérieux de sa démonstration, accentuée par l'interprétation théâtrales de ses comédiens, à commencer par Philippe Torreton, au jeu tellement empesé que l'on croirait des acteurs de "La Caméra explore le temps" de l'ancienne ORTF revenus sur un écran par la grâce d'une mystérieuse faille temporelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Résultat : des plombes d'ennui abrasif, guère distingué, brièvement secoué par des clins d'oeil involontaires au jeu politique contemporain (les divisions franco-anglaises version frictions irakiennes, ou l'incapacité d'un chef à assumer une bataille perdue, genre Jospin 2002).
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
Les comédiens, sans exception, jouent magnifiquement, l'atmosphère intime de cette maison d'exil est particulièrement convaincante, et la narration en flash-back rappelle avec justesse la double appartenance du film : reconstitution d'une période méconnue de la vie de l'Empereur, certes, mais aussi thriller historique dont le maître-mot est encore aujourd'hui enfoui aux Invalides.
Aden
Paysages splendides battus par les vents, acteurs impeccables - mention à Philippe Torreton et à l'Anglais Richard E. Grant -, tout concourt à faire de ce pari osé un efficace divertissement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Le propos du film est plus contestable et sa démonstration un peu laborieuse. Mais la fin est un régal !
Le Parisien
Ce Monsieur N. aurait pu économiser dix minutes, mais il mérite un grand coup de chapeau. Ou, plutôt, de bicorne.
Les Echos
Etonnant de Caunes ! Sa première incursion derrière la caméra, avec Les Morsures de l'aube, plongée gore dans la nuit parisienne, n'était pas convaincante. Cette fois, avec ce long film en costumes réalisé en Afrique du Sud, il prouve qu'il sait allier imagination et vérité historique, maîtriser un gros budget sans sombrer dans les effets inutiles, et diriger des comédiens particulièrement bien choisis...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
L'ensemble n'est pas trop mal mené, "N" est joué avec conviction par un Torreton charismatique, qui rattrape un casting sans audace, auquel seul Bruno Putzulu et la jeune Siobhan Hewlett apportent un peu de fraîcheur. La mise en scène est classique, scolaire mais sans faute de goût.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Cependant, malgré un scénario habile, une lumière subtile et une photographie de qualité, le film ne séduit pas pleinement.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
(...) c'est peut-être là qu'il faut chercher ce qui déçoit un peu, dans l'absence de partis pris qui fait de ce drame pervers, de ce huis clos étouffant un simple divertissement. Ce qui n'est déjà pas si mal.
TéléCinéObs
Tourné comme un polar, Monsieur N. est un curieux mélange de récit historique et romanesque, auquel risque d'être sensibles les seuls inconditionnels de Napoléon.
Télérama
Tel quel, empreint d'une majesté un peu bourrative, il gâche d'intéressantes intentions. Comme disait l'autre, ce n'est pas Waterloo, mais ce n'est pas Arcole...
L'Humanité
Mais le suspense n'est pas torride et on reste dans le flou. Bilan : une reconstitution sans génie, où le mystère entretenu autour de la présence, de l'absence et de la mort de Mister N., font long feu.
Le Monde
Monsieur N. est tout entier happé par le sérieux de sa démonstration, accentuée par l'interprétation théâtrales de ses comédiens, à commencer par Philippe Torreton, au jeu tellement empesé que l'on croirait des acteurs de "La Caméra explore le temps" de l'ancienne ORTF revenus sur un écran par la grâce d'une mystérieuse faille temporelle.
Les Inrockuptibles
Grosse production et gros sujet qui accouchent d'un film ventre mou, d'un livre d'images appliqué et barbant.
Libération
Résultat : des plombes d'ennui abrasif, guère distingué, brièvement secoué par des clins d'oeil involontaires au jeu politique contemporain (les divisions franco-anglaises version frictions irakiennes, ou l'incapacité d'un chef à assumer une bataille perdue, genre Jospin 2002).