Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
All or Nothing est un très grand film humaniste : il ne fait pas de cadeaux, et ne pose qu'une seule question (au milieu du marasme) : "Comment vais-je bien pouvoir aimer ?"
La critique complète est disponible sur le site Aden
All or Nothing raconte une très belle histoire sans aucun gimmick racoleur. Le film se déroule avec les longueurs nécessaires pour s'imprégner de l'émotion de chaque scène et du merveilleux travail fourni par tous les acteurs de cette chronique sociale implacable et radicalement émouvante.
On ne ressort pas indemne d'une oeuvre qui malmène ainsi son spectateur, l'invite avec arrogance à connaître ses propres abîmes et s'achève de manière ambiguë, à la fois rassurante et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'imaginaire est le principal enjeu de All or Nothing. Il se trouve dans les romans que dévore Rachel la nuit tombée, dans ces chansons qu'interprète à la perfection Penny dans un karaoké de fortune, sur ce bord de mer où se rend Phil entre deux courses, ou encore dans ce moment très fort où Helen réalise qu'elle va devenir une mère. A ce moment précis, ils possèdent tout. Il se pourrait bien que All or Nothing soit le film le plus heureux de Mike Leigh.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le réalisateur de " Secrets et Mensonges " retrouve avec la même pudeur et la même compréhension chaleureuses les laissés-pour-compte de son pays. Et ses acteurs sont remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
La crise donne même la force à Phil de s'expliquer avec sa femme : ils se retrouvent. C'est le clou du film et l'emphase que met Mike Leigh dans cette scène lui confère un sens bouleversant. Et lourdement appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Tant d'humanité bouleverse, même si, tout à son souci de redonner leur dignité à ses héros du quotidien, le cinéaste prend le risque de les magnifier et se trouve parfois à la limite de verser dans le chromo naturaliste chic.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
(...) ce qui fait chavirer le scénario de All or nothing, c'est moins le pathétique en tant que tel, que le choix de Leigh de finalement abandonner tout le rythme, du découpage au montage, au seul mélodrame.
S'il ne se lasse pas de labourer son sillon, le cinéaste le creuse ici sans ménagement. A force d'accentuer les digressions, de remplir jusqu'au débordement chaque scène de pathos, il désamorce l'émotion, érode les sentiments et finit par créer une distance, bien décevante, avec son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Les bonnes intentions du cinéaste sont recouvertes par des longueurs insistantes qui plombent son récit. Le talent des acteurs ne sauve pas la misère du monde sur lequel Mike Leigh fait planer le fameux adage "ça ira mieux demain".
Aden
All or Nothing est un très grand film humaniste : il ne fait pas de cadeaux, et ne pose qu'une seule question (au milieu du marasme) : "Comment vais-je bien pouvoir aimer ?"
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Phil le taxi, sa famille, leur solitude... Où l'on retrouve l'humanité blessée magnifiée par Mike Leigh.
Brazil
All or Nothing raconte une très belle histoire sans aucun gimmick racoleur. Le film se déroule avec les longueurs nécessaires pour s'imprégner de l'émotion de chaque scène et du merveilleux travail fourni par tous les acteurs de cette chronique sociale implacable et radicalement émouvante.
Chronic'art.com
On ne ressort pas indemne d'une oeuvre qui malmène ainsi son spectateur, l'invite avec arrogance à connaître ses propres abîmes et s'achève de manière ambiguë, à la fois rassurante et désespérée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Oui, décidément, All or Nothing est un bien beau film.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un peu de déjà-vu mais beaucoup d'émotion et l'on retrouve avec plaisir un des acteurs fétiches du cinéaste : Timothy Spall.
Le Monde
L'imaginaire est le principal enjeu de All or Nothing. Il se trouve dans les romans que dévore Rachel la nuit tombée, dans ces chansons qu'interprète à la perfection Penny dans un karaoké de fortune, sur ce bord de mer où se rend Phil entre deux courses, ou encore dans ce moment très fort où Helen réalise qu'elle va devenir une mère. A ce moment précis, ils possèdent tout. Il se pourrait bien que All or Nothing soit le film le plus heureux de Mike Leigh.
Les Echos
Le réalisateur de " Secrets et Mensonges " retrouve avec la même pudeur et la même compréhension chaleureuses les laissés-pour-compte de son pays. Et ses acteurs sont remarquables.
Les Inrockuptibles
La vie de plusieurs familles modestes dans une HLM britannique. De la caricature, Mike Leigh fait surgir l'amour.
Libération
La crise donne même la force à Phil de s'expliquer avec sa femme : ils se retrouvent. C'est le clou du film et l'emphase que met Mike Leigh dans cette scène lui confère un sens bouleversant. Et lourdement appuyé.
Positif
De la tragédie du fils est née une étincelle d'espoir.
Première
Le meilleur Leigh depuis Naked (1993). Joie pour les amateurs.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Tant d'humanité bouleverse, même si, tout à son souci de redonner leur dignité à ses héros du quotidien, le cinéaste prend le risque de les magnifier et se trouve parfois à la limite de verser dans le chromo naturaliste chic.
Cahiers du Cinéma
(...) ce qui fait chavirer le scénario de All or nothing, c'est moins le pathétique en tant que tel, que le choix de Leigh de finalement abandonner tout le rythme, du découpage au montage, au seul mélodrame.
Obejctif-Cinema.com
Un film authentique et sincère mais qui sombre vite dans le larmoyant voire dans le pathétique exagéré.
Zurban
S'il ne se lasse pas de labourer son sillon, le cinéaste le creuse ici sans ménagement. A force d'accentuer les digressions, de remplir jusqu'au débordement chaque scène de pathos, il désamorce l'émotion, érode les sentiments et finit par créer une distance, bien décevante, avec son sujet.
MCinéma.com
Les bonnes intentions du cinéaste sont recouvertes par des longueurs insistantes qui plombent son récit. Le talent des acteurs ne sauve pas la misère du monde sur lequel Mike Leigh fait planer le fameux adage "ça ira mieux demain".