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NeoLain
4 942 abonnés
4 741 critiques
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1,0
Publiée le 29 novembre 2008
C'est beau, l'infiniment petit, seulement voila la seule force de ce pseudo documentaire. En effet, toute la prouesse se place au niveau technique, de filmer tout ce petit monde. Pour le reste, vous vous apercevrez simplement que vous êtes devant des images a mettre en fond, lors d'un diner avec vos invités par exemple.
Plutôt déçu car je pensais qu'il y avait une histoire ou un cheminement mais non c'est juste une suite d'images ( certe très belles). Ca passe grace à la musique.
Un chef-d'oeuvre du genre. Que dire de plus ? 1 h 15 de beautés naturelles, d'humour, de comédie, de tragédie et d'images somptueuses bercées par une bande originale inoubliable.
Documentaire sur un sujet classique (la prédominance des insectes dans notre monde), "Microcosmos" doit sa réussite à un point de vue qui ne dépasse jamais la dizaine de centimètres, puisque l'on y suit bousiers, mouches et autres araignées dans leurs aventures quotidiennes, non sans une touche poétique. Ainsi, cette ode à la micro-nature divertira les plus petits et émerveillera les adultes, sans oublier évidemment un côté instructif.
Il aura fallu près de 3 ans de tournage pour aboutir à près d’une heure quinze d’images incroyablement belles et novatrices, dans le sens où les séquences que l’on nous montre n’avaient jamais été vues. Que ce soit à la télévision ou au cinéma, Microcosmos - Le Peuple de l'Herbe (1996) fait figure d’exemple en la matière. Prouesses techniques d’abord avec des images d’une clarté et d’une beauté épatantes. Le spectateur se retrouve à la taille des insectes, comme si nous y étions. Grâce à la miniaturisation des caméras, on se retrouve plongé au cœur de la flore sauvage où près d’une vingtaine d’insectes aussi variés que possible défilent sous nos yeux écarquillés. Parfois répugnants (mille pattes, larves, araignées, etc) ou splendides (escargots, plantes carnivores, libellules, etc). Un voyage que l’on ne soupçonne guère, alors que celui-ci se trouve juste sous nos pieds ! On parcourt des zones diverses, à la recherches « d’habitants » de l’herbe et de l’eau, au gré d’une B.O superbe, on ne voit pas le temps qui passe, subjugué par ces images, du vol de la coccinelle à celui d’une abeille, du train-train quotidien d’une fourmi à celui d’une chenille. Ce documentaire hors norme mais splendide, s’est vu remettre le Grand prix de la Commission Supérieure Technique, lors du 49ème Festival de Cannes en 1996, ainsi que quatre Césars dans les catégories suivantes : Meilleure Musique, Meilleur Montage, Meilleur Son et Meilleur Producteur.
Fourmidable! Insecte-Oeuvre! Il y a tout, Action, émotion, frisson, amour, vie de groupe et solitarisme, volants et sous-terrains.. Une telle diversité de super-pouvoirs, formes, couleurs, tailles chez les acteurs, et des décors magnifiés par la précision des cameras, plus une superbe musique. Un film à jamais inégalable. Savez-vous qu'il y a beaucoup plus de bactéries dans un yaourt que d' humains sur Terre?
Un film au plus prés des insectes, oui trés bien mais il faut être insectophile (si ça se dit lol) pour aimer! Moi qui ne suis ni insectophile ni insectophobe ^^, je dit juste que c'est un film à voir pour la beauté des images mais qui ne met pas en extase si l'on ne s'interresse pas à ces petites bêtes !
Etant féru de documentaires animaliers, j'attendais de ce film qu'il m'apporte connaissance, dépaysement et la curiosité d'en savoir plus. Autant le peuple migrateur du même producteur (Perrin) est une vraie réussite, autant ce microcosmos est micro-intéressant. Pas de commentaires explicatifs, succession de scènes soit disant liées entre elles mais en fait sans queue ni tête, images vues mille fois. Certes la prouesse technique réalisée est notable et réussie mais elle ne rattrape pas le caractère uniquement contemplatif de ce plat docu! A voir en DVD uniquement, pour passer d'une scène à l'autre en fonction de sa propre affectivité.
Première, et seule fois de ma vie où je me suis endormi au cinéma, tout comme mon accompagnatrice... Très belles images. Mais aucun lien, aucun rythme, aucun but, aucune explication de ce qu'on voit et qu'on ne comprend parfois pas. Ce souvenir de lutte sans fin et vaine contre le sommeil, en desespérant de voir le générique un jour, est gravé en moi!