Là-haut, un roi au-dessus des nuages : Critique presse
Là-haut, un roi au-dessus des nuages
Note moyenne
2,9
13 titres de presse
L'Obs
Le Point
Brazil
Le Figaro
Le Figaroscope
Le Monde
Première
Studio Magazine
Télérama
Aden
Cahiers du Cinéma
Ciné Live
MCinéma.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par Gilles Verdiani
C'est (...) l'histoire d'un cinéaste de 76 ans nommé Pierre Schoendoerffer, qui, dans sa carrière s'est essentiellement intéressé aux militaires et aux marins et qui aujourd'hui ramasse son oeuvre dans un film étonnant, à la fois puzzle transfictionnel et énigme initiatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Brazil
par Caroline Vié
A l'image de l'héroïne, on a l'impression, pas désagréable, d'évoluer dans un monde de dinosaures touchant mais un brin auto complaisant. (...) l'ensemble paraît suffisamment sincère pour enlever tout désir de s'acharner sur ce film hybride souvent agaçant et parfois attachant.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce film puzzle souffre de son éparpillement et d'un manque d'images (le cinéaste n'a pu retourner en Asie) insuffisamment compensé par la parole, de sorte que l'histoire est souvent statique. Mais pour qui aime l'univers poétique de Pierre Schoendoerffer (...), Là-haut vibre de tous les échos magnifiques qu'on entendra toujours au nom de Schoendoerffer.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le seul intérêt du film est de donner une incarnation cinématographique, mais sans beaucoup de finesse, à toute une catégorie de personnages que le cinéma français n'a pratiquement jamais osé filmer : traîne-sabre des guerres coloniales perdues, grande bourgeoisie catholique, officiers supérieurs coincés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Le problème du film est qu'il semble ne s'adresser qu'à ceux qui sont sensibles à cette forme extrêmement ritualisée de romantisme guerrier.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
Chez Schoendoerffer, on croit encore à l'honneur, à la dignité, au devoir, notions qui font de lui un homme d'un autre temps. (...) Dommage que la volonté de rigueur du cinéaste l'emporte, une fois de plus, sur l'émotion. Sa pudeur vire par moments à la sécheresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
L'échec du film apparaît nettement dès que surgissent les images en noir et blanc des anciens films de Schoendoerffer : des plans inspirés, pleins de vie, qui soulignent les laborieuses images d'aujourd'hui. Effet garanti dans la sinistrose que cela produit inévitablement: on n'a plus qu'une envie, revoir vite ces films-là.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Filmage France 3 première époque, cadrages minimaux, juxtaposition facile de monologues d'anciens combattants (Cremer et Rich revenus de tout) dits avec les yeux qui cherchent dans le bout du cigare ce passé qui ne passe pas et en même temps s'en va, et tout le monde s'en fout, et comment croyez-vous qu'on fasse une guerre, et comment croyez-vous qu'ils la font en face ? A cette litanie nostalgique, un livre à la rigueur aurait suffi.
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Rarement un long métrage a été aussi bavard. L'utilisation des images des anciens films de Schoendoerffer, au lieu de donner une touche émouvante ou intrigante, permet juste de constater combien les comédiens ont vieilli, en bien pour la plupart (...). A aucun moment on ne retrouve ici la force des anciens films de Schoendoerffer. L'aventure, au final, tourne court.
L'Obs
C'est (...) l'histoire d'un cinéaste de 76 ans nommé Pierre Schoendoerffer, qui, dans sa carrière s'est essentiellement intéressé aux militaires et aux marins et qui aujourd'hui ramasse son oeuvre dans un film étonnant, à la fois puzzle transfictionnel et énigme initiatique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Brazil
A l'image de l'héroïne, on a l'impression, pas désagréable, d'évoluer dans un monde de dinosaures touchant mais un brin auto complaisant. (...) l'ensemble paraît suffisamment sincère pour enlever tout désir de s'acharner sur ce film hybride souvent agaçant et parfois attachant.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce film puzzle souffre de son éparpillement et d'un manque d'images (le cinéaste n'a pu retourner en Asie) insuffisamment compensé par la parole, de sorte que l'histoire est souvent statique. Mais pour qui aime l'univers poétique de Pierre Schoendoerffer (...), Là-haut vibre de tous les échos magnifiques qu'on entendra toujours au nom de Schoendoerffer.
Le Monde
Le seul intérêt du film est de donner une incarnation cinématographique, mais sans beaucoup de finesse, à toute une catégorie de personnages que le cinéma français n'a pratiquement jamais osé filmer : traîne-sabre des guerres coloniales perdues, grande bourgeoisie catholique, officiers supérieurs coincés.
Première
Le problème du film est qu'il semble ne s'adresser qu'à ceux qui sont sensibles à cette forme extrêmement ritualisée de romantisme guerrier.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Chez Schoendoerffer, on croit encore à l'honneur, à la dignité, au devoir, notions qui font de lui un homme d'un autre temps. (...) Dommage que la volonté de rigueur du cinéaste l'emporte, une fois de plus, sur l'émotion. Sa pudeur vire par moments à la sécheresse.
Aden
L'échec du film apparaît nettement dès que surgissent les images en noir et blanc des anciens films de Schoendoerffer : des plans inspirés, pleins de vie, qui soulignent les laborieuses images d'aujourd'hui. Effet garanti dans la sinistrose que cela produit inévitablement: on n'a plus qu'une envie, revoir vite ces films-là.
Cahiers du Cinéma
Filmage France 3 première époque, cadrages minimaux, juxtaposition facile de monologues d'anciens combattants (Cremer et Rich revenus de tout) dits avec les yeux qui cherchent dans le bout du cigare ce passé qui ne passe pas et en même temps s'en va, et tout le monde s'en fout, et comment croyez-vous qu'on fasse une guerre, et comment croyez-vous qu'ils la font en face ? A cette litanie nostalgique, un livre à la rigueur aurait suffi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Rarement un long métrage a été aussi bavard. L'utilisation des images des anciens films de Schoendoerffer, au lieu de donner une touche émouvante ou intrigante, permet juste de constater combien les comédiens ont vieilli, en bien pour la plupart (...). A aucun moment on ne retrouve ici la force des anciens films de Schoendoerffer. L'aventure, au final, tourne court.