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Loin de n'être qu'un coup d'essai réussi, "Le Solitaire" témoigne de l'incroyable maîtrise formelle du cinéaste, de cet univers déjà tout armé qu'il développera dans ses deux futurs chefs-d'oeuvre, "Heat" et "Miami Vice".
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
C'est un polar brutal et stylisé, avec James Caan à son meilleur en braqueur idéaliste, et de nouveaux visages tels que Jim Belushi, William Petersen ou Robert Prosky dans leurs premiers rôles au cinéma, réalisé à la croisée de deux décennies, accordant l'hyperréaliste sécheresse seventies aux notes plus impressionnistes de la décennie naissante.
La longue séquence d'ouverture où le cambrioleur solitaire, James Caan dans son meilleur rôle, accomplit un casse est la somptueuse démonstration de cette profession de foi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Derrière le clinquant du formaliste hors pair, on perçoit encore mieux dans ces prémices la signature d'un auteur obsédé par les tourments de la masculinité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Charlie Hebdo
Loin de n'être qu'un coup d'essai réussi, "Le Solitaire" témoigne de l'incroyable maîtrise formelle du cinéaste, de cet univers déjà tout armé qu'il développera dans ses deux futurs chefs-d'oeuvre, "Heat" et "Miami Vice".
Le Monde
[L']alliance d'une précision documentaire et d'une stylisation dynamique donne au "Solitaire" une énergie foudroyante.
Les Inrockuptibles
C'est un polar brutal et stylisé, avec James Caan à son meilleur en braqueur idéaliste, et de nouveaux visages tels que Jim Belushi, William Petersen ou Robert Prosky dans leurs premiers rôles au cinéma, réalisé à la croisée de deux décennies, accordant l'hyperréaliste sécheresse seventies aux notes plus impressionnistes de la décennie naissante.
Libération
La longue séquence d'ouverture où le cambrioleur solitaire, James Caan dans son meilleur rôle, accomplit un casse est la somptueuse démonstration de cette profession de foi.
Critikat.com
Derrière le clinquant du formaliste hors pair, on perçoit encore mieux dans ces prémices la signature d'un auteur obsédé par les tourments de la masculinité.
Ecran Large
Un coup de maître pour le "débutant" Mann. Le genre de polar que le commun des cinéastes rêve de faire. Et un James Caan énorme en prime.