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Alexis
8 abonnés
35 critiques
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4,0
Publiée le 13 mars 2022
"Irréversible" est un film radical, qui va plus déranger que donner du plaisir. C’est une vraie proposition aussi bien cinématographiquement que thématiquement. Ce qui fait sa particularité, c’est qu"Irréversible" est une œuvre qu’on ne voit pas tous les jours, notamment par sa narration qui est faite à l’envers, colportant une vision philosophique, à propos du temps qui détruit tout, et donc commencez par la destruction pour remonter vers l’idyllisme, ça en fait un sujet intéressant et vient inverser le principe de l’happy-end. À chaque séquence on se demande comment ils en sont arrivés là. La réalisation est incroyable, de par ses plans-séquence, à sa colorimétrie sans oublier les mouvements de caméra remontant à l’événement qui précède celui qui vient de se passer. Le casting est impeccable, Cassel est remarquable, Dupontel dans un rôle moins extravagant que celui de Cassel est bon et Belluci est resplendissante. Dès le début, l’ambiance est pesante, renforcée par le jeu de lumière et une B.O des plus captivantes, ça en devient insoutenable. Gaspar Noé va au bout de ses idées avec son film, il est là pour déranger, et en tant que spectateur on en prend plein la vue, la scène de viol est interminable et on peut juste rien faire, on est passif et ça en devient révoltant. Voilà le mot qui définit ce film, révoltant.
Qu'il doit être difficile de regarder Irréversible sans avoir l'impression d'en tirer une quelconque compréhension! Par son montage inversé et sa brutalité qui va decrescendo, le film me fait voir sous un nouvel angle l'implacabilité et l'arbitraire d'une descente aux enfers qui peut tous nous toucher, et plus particulièrement les femmes. Là est, selon moi, le sens de l'œuvre qui justifie le scandale.
Et je me trouve heureux d'en ressortir cette conclusion car sinon, Irréversible m'aurait paru particulièrement malsain. Mais c'est le parti pris du réalisateur; par ses longs plans séquences, parfois fixes, et largement improvisés, il montre sa réalité de façon brute et sans concessions. L'on saisit alors la beauté de certains moments qui contrastent avec la brutalité d'autres - un rien peut être déterminant et tout est irréversible.
Gaspard Noé nous offre a travers Irreversible un spectacle horriblemet frustrant aussi bien pour les personnages, que les spectateurs, ayant pour but de nous montrer la fragilite de notre quotidien, ainsi que notre impossibilite de chqnger le passe, aussi lourd soit-il.
Alors j'ai découvert très récemment le travail de Gaspard Noé par le billet de " climax " et j'ai trouvé ça artistique et original ce qui a éveillé ma curiosité et mes parents m'ont parlé de ce film " irréversible " en me disant qu'il était plutôt horrible. Et du haut de mes 17 ans, pensant avoir vu les films les plus horribles ( fan d'horreur ) je me suis dit "ça serait intéressant de voir le reste de son art et ça ne peux pas être plus horrible que " martyrs". Je commence donc à regarder et me dit que j'aime bien l'ambiance, les acteurs choisit et le début de l'histoire. Puis arrive la fameuse scène du viol et la je suis choquée je n'aurai jamais pensé ça aussi réaliste. Je finit cette scène horrible et fait une pause et commence a être extrêmement mal. Et 20 minute plus tard je me dit le pire est passé je vais regarder la suite ( pensant que ça serai l'enquête de la police pour retrouver l'homme ) et le film par en vrille et ça me plonge dans un malaise, un mal psychologique si je puis dire. Et je finit par m'arrêter définitivement à la scène ou un homme se fait défiguré jusqu'à la mort. Je ne vais pas m'étaler sur ma vie privée mais ce film m'a fait beaucoup de mal mais j'ai tout de même mis 4 étoiles car je trouve ce film aussi incroyable qu'horrible et qui sensibilise ( peut être un peu trop ) au viol. La seule chose que je trouve assez choquante c'est que lorsqu'on lis le synopsis, l'histoire a l'air assez simple comme un film qu'on pourrai voir passer à la télé normalement. Et je pense qu'il devrai y avoir plus de mis en garde pour les plus jeunes comme moi.
Revu hier pour la première fois depuis sa sortie au cinée...en me disant que le voir dans le "sens" normal ferait remonter ce film dans mon estime. Hé bien rien n'y fait... dialogue, scenario, mise en scène... tout est creux...sans parler de la sceance du viol que l 'on nous impose 15mn...le film n'a duré que 1h25 là ou il m'a semblé durer 3h.... Vraiment beaucoup de bruit à sa sortie pour ...un véritable navet...
Une histoire "de viol et de vengeance" transcendé par le talent de Gaspard Noé. Des longs travellings qui enferme le spectateur dans une violence assez impressionnante et insoutenable. Par cette façon de raconter l'histoire à rebours, Noé signe un film paradoxalement lumineux, avec un des plus beaux plan final qu'on ait pu apercevoir. La sensation rencontré, m'a fait penser au Éléphant de Gus Van Sant, c'est à dire une impression de gachis, et un sentiment décuplé sur la préciosité et la fragilité de la vie.
Franchement un des films les plus nuls que j' ai vu .. et la façon dont s est filmé avec la caméra qui tourne autour des actions ... Vraiment ne ne conseille pas ....
Excellent sur les 15 premières minutes, qui mériteraient un 5 étoiles et ridicule sur tout le reste... ce qui est très long. Les 15 premières minutes sont surtout un cocktail d'effets de sons et d'images dignes d'un excellent court métrage, le reste des séquences d'improvisations d'une médiocrité rarement vue au cinéma. La scène dans le métro par exemple sera notée 0/20. Pour la fameuse scène sordide de 20 minutes, c'est du snuff movie, à vous de voir si une telle pornographie vous excite. Noe va puiser dans la pornographie trash et hardcore en générale. Celle qui humilie l'humain et le métamorphose en une bête cynique dopée par l'ultraviolence. On peut le féliciter de transposer ces émotions-là sans montrer le réel, donc finalement tout est presque suggéré. Mais l'absence de finesse et de subtilité devient vite épuisant car jamais, mais jamais soutenu par d'autres scènes qui nous montrerait un Noe enfin cinéaste. Il ne sait qu'abuser des effets de manche. Son "Seul contre tous" restera tout de même son meilleur film, beaucoup plus malin et honnête, avant qu'il ne cherche à séduire les paillettes de Cannes.
Ce film comme tous ses semblables soulève les interminables questionnements cinématographiques (ce qui lui confère au moins un intérêt) peut-on tout filmer? l'art peut-il être laid ou inspirer du dégoût? la violence gratuite a-t-elle un intérêt pour servir une oeuvre? peut-on faire reposer l'intérêt d'un film sur son unique capacité à choquer et faire polémique? La meilleure façon de le savoir, c'est une fois le visionnage terminé, la digestion faite, que reste-t-il de ce film? Pour moi rien. Il ne reste rien à se remémorer que ce montage inversé prétendument novateur et génialissime qui n'apporte rien au film, une façon de filmer en caméra "à l'épaule" qui donne la gerbe, tout comme la fameuse scene hyper realiste et ultra violente du viol qui confime bien que cette violence n'était que gratuite et sans aucun intérêt pour la narration et le film proprement dit mais un super coup de pub. Film qui ne vous apportera rien à part des nausées au sens propre comme figuré. Le casting était prometteur et je pense censé sauver le film du fiasco... Bellucci fait du Bellucci, Cassel du Cassel et Dupontel du Dupontel don aucune plus value. Film surcoté grâce à feu le couple Bellucci-Cassel, au festival de Cannes qui aurait été traumatisé par ce film hors du commun et surtout comme d'habitude au snobisme de certains critiques ciné qui arrivent à vous intellectualiser n'importe quel nanar.
c'est un excellent film mais toutefois je trouve la scène de viol avec Monica Belluci beaucoup trop longues, le réalisme de la scène rend pour moi cette scène beaucoup plus choquante que celle dans la boîte de nuit.
Un film sans aucun intérêt, infliger une horrible scène de viol à une actrice est dégoûtant, en plus au début la caméra tourne dans tout les sens c’est à en avoir mal à la tête. Le film est choquant, et me dégoûte du cinéma
Une critique juste pour éclater au sol les personnes qui ose dire que ce film n'est pas du cinéma. Dans un premier temps parlons de la scène de viole alors oui elle est choquante mais c'est pour les mur rouge indique a l'avance que quelque chose de terrible vas ce passer, de plus tout le film nous explique par la mise en scène que le film ne vas pas être agréable a voir quand Bellucci,du Montel et Cassel ce retrouve dans le métro tout est fait dans la mise pour nous montrer une tentions sexuelle et je suis désolé mais qui t'il de plus explicite qu'un train dans un tunel pour montrer une pénétration. Ce film est un grand film et ce qui n'aime pas et le méprise ne comprennent rien à la mise et a son language car un film n'est pas que le scénario. Alors oui j'aime le Boulot de Noé comme celui de Godard et Kubrick est je vous dis merde car qui détient la connaissance et vérité absolue alors exprimé vous intelligemment au lieu de faire celui qui connais le très con Vrais Cinéma
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4,0
Publiée le 26 juillet 2021
THE gros scandale à Cannes! Vingt ans après, tout le monde s'en souvient encore! il y a des films auxquels on ne sort pas indemne! L'ultraviolence vient au premier plan! Monica Bellucci marchant de dos dans un passage souterrain mal èclairè avant de se faire sauter dessus par son agresseur! Un plan sèquence ètourdissant où d'un seul èlan, et en quelques minutes interminables, Gaspar Noè boucle la plus effroyable des sèquences de viol de toute l'histoire du cinèma spoiler: (cf. le crâne à coup d'extincteur en guise d'apèritif n'est pas mal non plus). Le cinèaste sait comme personne dèpiauter les enfers intimes jusqu'au malaise! Après le secouant "Seul contre tous", Noè rècidive avec ce brûlot façon viol et vengeance filmè à pleines tripes! Avec une musique, jusqu'au tournis, dans une boîte de nuit homo...parfois très belle aux Buttes-Chaumont! A voir avec une extrême prècaution...