Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Volontairement épicé par un technicolor très travaillé et disposant avec précaution ses "moments de bravoure", La Spagnola fait immanquablement penser à Bagdad Café. Son réel attachement aux personnages séduit, tout en laissant in fine un même sentiment de vacuité sympathique.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Chemin
(...) La Spagnola tire sa sympathie de sa liberté de ton. En s'emparant avec désinvolture de sujets graves (...), Steve Jacobs dépeint un univers jamais noir, où les tares semblent naturelles et l'hystérie une bienfaisante abréaction.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) ce film, qui décline sur tous les tons la querelle familiale, est l'oeuvre d'un couple (...) qui signent là un premier film à la fois étonnant et détonant.
Libération
par Bruno Bayon
La rage va tellement bien à la belle et la bête qui nous intéresse, qu'on en redemande à chaque éclat répugnant. Le film qui y passe, et y succombe dans une certaine mesure, s'en ressent et nourrit ce qui ressemble peut-être au désir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Carrière
(...) d'une histoire finalement assez banale, (...), Monticelli a tiré, avec la complicité amoureuse de son mari de réalisateur (...) et l'appui d'interprètes investies, une succession de saynètes émouvantes, insolantes, poilantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Frédéric Faure
La sensualité des héroïnes et les paysages dépouillés sont les meilleurs atouts de (ce) film.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le paysage suburbain et industriel où se situe l'action favorise un peu facilement les plans ostensiblement cadrés, un peu trop proches d'une esthétique de film publicitaire que la banalité du propos peine à faire oublier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Descottes
A la fois comédie noire et psychodrame familial, mais aussi film d'amour et de passion, LA SPAGNOLA fait penser à l'univers d'Almodovar... avec les excès que l'on peut trouver dans les productions à petits budgets d'un certain cinéma australien. Quelques bémols tout de même : des longueurs et des personnages parfois stéréotypés (...).
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Eric Quéméré
Pour pimenter son propos, le film n'hésite pas à s'aventurer parfois vers le mauvais goût, registre qu'un grand souci esthétique vient heureusement compenser. En résulte un objet atypique, comme les affectionne tant le cinéma australien.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cine Libre
par Romain Le Vern
Jacobs nous démontre qu'une bonne idée de départ ne donne pas forcément un bon film. (...) Jacobs manque encore trop de personnalité (et son film de maîtrise) pour imposer un style vraiment original. N'est pas Bigas Luna qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce conte stylisé et délibérément vulgaire sur une femme au foyer acariâtre acquérant son indépendance finit par assommer au lieu d'amuser, à force d'outrances kitsch et rétro à répétition.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
De deux choses l'une : ou ce film criard et hystérique, à l'esthétique acidulée, est un chef-d'oeuvre ; et dans ce cas nous sommes largement passés à côté. Ou bien c'est franchement un monument de poil à gratter, inutile, casse-pieds, mise en scène avec de fausses inventions, et donc tout à fait insupportable. C'est notre dernier mot.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film sent forcément le réchauffé, mais ses coquetteries visuelles pourraient séduire si elles n'étaient pas contredites par des élans de vulgarité crasse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Volontairement épicé par un technicolor très travaillé et disposant avec précaution ses "moments de bravoure", La Spagnola fait immanquablement penser à Bagdad Café. Son réel attachement aux personnages séduit, tout en laissant in fine un même sentiment de vacuité sympathique.
Cahiers du Cinéma
(...) La Spagnola tire sa sympathie de sa liberté de ton. En s'emparant avec désinvolture de sujets graves (...), Steve Jacobs dépeint un univers jamais noir, où les tares semblent naturelles et l'hystérie une bienfaisante abréaction.
Le Figaroscope
(...) ce film, qui décline sur tous les tons la querelle familiale, est l'oeuvre d'un couple (...) qui signent là un premier film à la fois étonnant et détonant.
Libération
La rage va tellement bien à la belle et la bête qui nous intéresse, qu'on en redemande à chaque éclat répugnant. Le film qui y passe, et y succombe dans une certaine mesure, s'en ressent et nourrit ce qui ressemble peut-être au désir.
Première
(...) d'une histoire finalement assez banale, (...), Monticelli a tiré, avec la complicité amoureuse de son mari de réalisateur (...) et l'appui d'interprètes investies, une succession de saynètes émouvantes, insolantes, poilantes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
La sensualité des héroïnes et les paysages dépouillés sont les meilleurs atouts de (ce) film.
Le Monde
Le paysage suburbain et industriel où se situe l'action favorise un peu facilement les plans ostensiblement cadrés, un peu trop proches d'une esthétique de film publicitaire que la banalité du propos peine à faire oublier.
MCinéma.com
A la fois comédie noire et psychodrame familial, mais aussi film d'amour et de passion, LA SPAGNOLA fait penser à l'univers d'Almodovar... avec les excès que l'on peut trouver dans les productions à petits budgets d'un certain cinéma australien. Quelques bémols tout de même : des longueurs et des personnages parfois stéréotypés (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Pour pimenter son propos, le film n'hésite pas à s'aventurer parfois vers le mauvais goût, registre qu'un grand souci esthétique vient heureusement compenser. En résulte un objet atypique, comme les affectionne tant le cinéma australien.
Cine Libre
Jacobs nous démontre qu'une bonne idée de départ ne donne pas forcément un bon film. (...) Jacobs manque encore trop de personnalité (et son film de maîtrise) pour imposer un style vraiment original. N'est pas Bigas Luna qui veut.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ce conte stylisé et délibérément vulgaire sur une femme au foyer acariâtre acquérant son indépendance finit par assommer au lieu d'amuser, à force d'outrances kitsch et rétro à répétition.
Le Parisien
De deux choses l'une : ou ce film criard et hystérique, à l'esthétique acidulée, est un chef-d'oeuvre ; et dans ce cas nous sommes largement passés à côté. Ou bien c'est franchement un monument de poil à gratter, inutile, casse-pieds, mise en scène avec de fausses inventions, et donc tout à fait insupportable. C'est notre dernier mot.
Télérama
Le film sent forcément le réchauffé, mais ses coquetteries visuelles pourraient séduire si elles n'étaient pas contredites par des élans de vulgarité crasse.