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chrischambers86
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2,5
Publiée le 21 avril 2009
Un an avant "Un singe en hiver", le dialoguiste Michel Audiard avait dèjà collaborè avec le rèalisateur Henri Verneuil, en mettant son sens de la rèplique vacharde au service de cette pètillante du Tout-Paris! Des salons pseudo-littèraires aux premières mondaines, la toujours très belle Claudia Cardinale, une jeune provinciale, dècouvre la capitale! Autour d'elle, s'organise un ballet de mâles, conduit par Lino Ventura, chirurgien affairè, et Jean-Claude Brialy, ècrivain impuissant, et de snobs indiscrètes aux ragots assassins! Une comèdie typiquement parisienne, accompagnèe par une distribution prestigieuse...
Qualité de réalisation très fine comme toujours pour Verneuil qui nous livre ici une comédie assez légère dans un Paris bourgeois. En dessous de ses productions de la même période mais intéressant notamment au niveau de la densité d'excellents acteurs.
Casting de luxe et belles rencontres pour un film sympathique bien que certaines scènes sont lourdes voire un peu gourdes. En fait pour tout vous dire j'ai trouvé ce film vide de sens.
Claudia Cardinale (Bellissima...!!!), Lino Ventura, Jean-Claude Brialy, Danielle Darrieux, Michèle Morgan et Darry Cowl au casting, Michel Audiard aux dialogues, le solide Henri Verneuil derrière la caméra, un scénario qui nous montre autant une véritable soixante-huitarde en herbe qui veut passer du bon temps (sexuellement parlant en grande partie !!!) qu'il ne se moque du snobisme parisien ; que demander de plus ??? Ben, un résultat à la hauteur... Le thème de la soixante-huitarde en herbe qui veut aligner les hommes est traité bien sagement, sans audace et se termine bien sagement et sans audace. Quant à celui de la satire des mœurs parisiennes, il est tellement traité à la surface que cela finit par devenir aussi superficiel que ce qu'il entendait dénoncer. Les dialogues de Michel Audiard sont incroyablement ampoulés (c'est bien le même type qui écrira deux ans plus tard ceux géniaux des "Tontons flingueurs" ???). A part peut-être Claudia Cardinale, Lino Ventura et Michèle Morgan, les acteurs crient plus qu'ils ne jouent. Et pour finir Henri Verneuil se contente d'emballer platement le tout. Bref les Lions sont certes lâchés... mais ils ne sont pas du tout en forme.
Quel casting pour un film aussi mauvais !!! Je me demandais si le film était démodé, mais je crois que même il y a plus de cinquante ans ce film n'était pas terrible; Henri Verneuil et Michel Audiard nous avaient habitué à tellement mieux.
Le film relate les rencontres d'une jeune épouse provinciale dans l'univers BCBG parisien. Cette comédie de moeurs tient souvent du film à sketches par la diversité et par la présentation des trois personnages masculins que la jolie Claudia Cardinale découvre successivement par l'entremise de Danielle Darrieux et Michèle Morgan, initiatrices des premiers pas d'Albertine dans la bonne société bourgeoise. Un distribution de charme on le voit, mais bien vaine. Le film se plait à tourner en ridicule le snobisme et les conventions d'un certain monde mais son approche, à cause de sa complaisance caricaturale et de son esprit plus égrillard que satirique ou sociologique, est en définive aussi superficielle que la futilité dénoncée par les auteurs. La mise en scène d'Henri Verneuil est d'une navrante platitude tandis que la plupart des dialogues de Michel Audiard sont aussi inefficaces que sont dérisoires ses aphorismes. spoiler: Lino Ventura, en médecin macho, Brialy en homme de lettres impuissant, ainsi que les autres perosnnages sont constamment réduits à un cabotinage rudimentaire.
Une provinciale monte à Paris, rencontre divers hommes dans un milieu snob, et décide de rentrer retrouver son mari. Les années soixante ont vu fleurir de nombreux films d’étude de mœurs sur les femmes françaises, peu ou prou réussis (les parisiennes, la française et l’amour, etc.). Schéma connu donc, mais ici, intérêt absent : tout tombe à plat. Les personnages sont extrêmement stéréotypés (Darry Cowl et ses voitures, Ventura et sa brutalité, l’insupportable Brialy et sa logorrhée pseudo-littéraire, les discours pontifiants de Darrieux, seule Cardinale apporte un brin d’authenticité). Le scénario est d’une platitude incroyable : Albertine (Claudia Cardinale) passe d’homme en homme et décrit son ressenti, point final. Les dialogues ont quelque valeur, on sent qu’Audiard souhaiterait inclure la production dans la veine des « liaisons dangereuses », dont Vadim avait d’ailleurs fait une transposition en 1959, mais il n’y a ni intensité dramatique, ni ambiance, ni progression du récit, il n’y a rien qu’une heure quarante-cinq d’ennui à supporter.
Agréable film subtil et léger. Quel plaisir de retrouver la grâce de Danielle Darrieux, Claudia Cardinal et Michelle Morgan. Les dialogues de Michel Audiard sont exquis. Je recommande vivement ce film.
un film gai et une distribution superbe Danielle Darrieux Michele Morgan Brialy et les autres une époque révolue qui vaut largement la production actuelle à quelques exceptions prêts