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Objectivons
322 abonnés
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3,5
Publiée le 27 février 2014
Je ne comprends pas comment certains cinéphiles (non avertis) ont pu saquer Crocodile Dundee II, qui dispose certes d'un scénario moins surprenant que le premier, mais qui n'en demeure pas moins amusant et rempli d'action à souhait, dont une grosse partie encore en Australie.
Après le succès assez inattendu du premier film, un deuxième volet est vite lancé. Peut être même un peu trop vite. Délaissant le registre de la comédie pure et dure cet opus s’oriente un peu plus vers l’aventure et l’action. C’est bien là que le bas blesse: on ne rigole pas une seule fois du film. Quelques situations peuvent prêter à sourire mais guère plus. Rajoutez à cela un scenario tiré par les cheveux, une réalisation vieillotte et un manque total d’enjeu et vous obtenez une suite décevante.
Succès mondial inattendu de la part du opus volet (1986), assez décevant il faut bien l’avouer, Peter Faiman laisse sa place de réalisateur à John Cornell et s’affranchit des services de Paul Hogan (Crocodile Dundee) & Brett Hogan, soit le père et le fils, en guise de scénariste (et aussi producteur pour le premier !!), comme quoi, il faut s’attendre à tout ! Pour se second volet (1988), on retrouve toujours notre tandem (Paul Hogan/Linda Kozlowski) encore à New-York et où cette fois-ci, Crocodile Dundee est devenu une légende. Comment ? Pourquoi ? Aucune idée, mais les scénaristes n’ont pas bien du se creuser la tête bien longtemps, histoire de remplir leur cahier des charges, ils inventent une histoire tirée par les cheveux, où le chasseur de crocos et sa dulcinée se retrouvent poursuivis par la mafia Colombienne (enfin, un pseudo cartel Colombien où trois pèquenauds les prennent en chasse aux Etats-Unis avant de s’envoler en Australie). Si la première partie (à New-York) sent le réchauffé et peine à retenir notre attention, il faudra attendre la seconde, qui nous entraîne dans le bush Australien, à travers une chasse à l’homme, certes enfantine, mais suffisamment divertissante. Bref, pas de quoi s’extasier devant cette suite, qui comble de tout, nous réservera même un troisième et dernier opus en 2001, soit plus de dix ans après, plutôt surprenant.
Même s'il est moins bon que le premier, l'ensemble bien que mal vieilli renvoie à des souvenirs d'ados, ou pour l'époque, cette suite s'inscrivait comme logique au premier opus. On pourra critiquer la mise en scène plus qu'approximative ainsi que la bonne tenue du scénario, des dialogues et évidemment des doublages, mais qu'importe... le feeling passe.
C'est mon film préféré de la trilogie. C'est un plaisir d'y retrouver Paul Hogan et Linda Kozlowski toujours aussi complices. On passe un très bon moment.
Après le succès phénoménal et surprenant du premier Crocodile Dundee (+ de 6 millions d'entrées en France en 1986), une suite est mise sur les rails 2 ans plus tard. Paul Hogan outre le rôle de Mickael J. "Crocodile Dundee" assume les casquettes de scénariste avec son fils et de producteur exécutif du film. Installée à New-York avec sa femme la jolie reporter Sue Charlton, Mick a le mal du pays. L'ancien mari de Sue leur envoie des clichés compromettant un dangereux trafiquant de cocaïne. Après avoir délivré sa belle qui s'était faite enlever par ce dernier, Dundee affrontera sa bande en Australie, sur son territoire, et redoublera d'ingéniosité pour la mettre hors d'état de nuire. Un poil plus sombre que le premier, ce Crocodile Dundee se laisse agréablement suivre en ayant bien à l'esprit que c'est un film qui a désormais plus de 20 ans. Les méchants sont tout ce qu'il y a de plus caricaturaux, en particulier Rico qui me faisait flipper quand j'étais gosse. En tout cas, ce jeu du chat et de la souris au fin fond de l'Australie nous tient bien en haleine durant plus d'1h30. Linda Kozlowski était bien charmante, les seconds rôles comme Wallie, Nugget, Donk ou Leroy sont truculents. C'est sûr que quand on voit les Action-Heroes d'aujourd'hui comme Willis, Keanu Reeves, Cage ou Clooney, Paul Hogan apparaît bien bien dépassé. Mais cette comédie d'aventure comporte suffisamment d'action et de gags pour qu'on se laisse tenter en souvenir du bon vieux temps. Pas forcément moins bon que le premier comme j'ai pu le lire, ici ou là. Juste différent.
Un peu moins pimpant que son prédécesseur, ce deuxième volet de l'australien le plus déjanté des États-Unis sent le réchauffé. "On prend les mêmes et on recommence!" aurait pu être le sous-titre de ce nouveau Crocodile Dundee. Le réalisateur ne s'est même pas donné la peine de changer quoi que ce soit aux dialogues et aux situations du premier. Le scénario tiré par les cheveux déçoit de part sa faiblesse et sa médiocrité. Heureusement que Paul Hogan est toujours aussi hilarant. Le film repose uniquement sur ses épaules.
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3,0
Publiée le 18 septembre 2010
Devenu une superstar grâce au premier volet de "Crocodile Dundee", vèritable triomphe dans le monde entier, Paul Hogan rèitère sa performance, avec "Crocodile Dundee II" qui pulvèrise à son tour les records de recettes dans une suite efficace et divertissante! Pour ces nouvelles aventures qui confrontent le hèros à de cruels trafiquants de drogue colombiens, le comèdien australien a choisi d'ècrire lui-même le scènario, avec la collaboration de son fils, Brett Hogan! Des gratte-ciel new-yorkais au bush australien, Dundee n'a rien perdu de sa dèbrouillardise ni de sa naïvetè rustique! Qu'il pêche à la dynamite dans la baie d'Hudson ou qu'il traque les bandits qui ont enlevè sa belle, il garde toujours son sens de l'humour et son charme ravageur! Ce Dundee est dècidèment irrèsistible...
Moins bien que le 1 mais cette suite reste correct ! Paul Hogan est toujours irrésistible, les paysages de l'Australie sont époustouflants , la musique de Peter Best est génial et le scénario reste correct.