Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
MCinéma.com
par Aurelin Allin
Malgré quelques références bien senties aux classiques de l'espionnage et une vision ironico-hystérique de la famille et du mariage, on retombe vite dans un divertissement familial lisse et " gnan-gnan ". Coloriage enfantin appliqué dont rien ne dépasse, ESPION MAIS PAS TROP aurait pu être une relecture nostalgique et gentiment surannée. Malheureusement, il n'est qu'un film de plus dont seuls Douglas et Brooks se sortent sans trop d'égratignures.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par La rédaction
Quiproquos et cascades... Et résultat de misère, avec tartes à la crème et blagues de potaches - ah ! les homos ! s'ils n'existaient pas, la comédie beauf les aurait inventés. Et les acteurs ? Euh... Soyons gentils : Espion mais pas trop est juste un bon gros navet.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Beauferie en rase motte. (...) Des péripéties rocambolesques, des quiproquos et imbroglios vulgaires, dont les plus croustillants sont aussi les plus éculés (notamment les scènes où un trafiquant d'opérette fait du gringue au podologue quinquagénaire et grassouillet). Sérieux s'abstenir.
Le Monde
par Florence Colombani
On ne serait pas loin de la comédie du remariage si une quelconque fantaisie animait ce film. Le cabotinage pénible de Michael Douglas et d'Albert Brooks, la pauvreté de l'écriture, ne tardent pas à venir à bout de ses prétentions comiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Un film cousu main pour Michael Douglas, qui espère sans doute faire passer son soixantenaire en rééditant la recette qui lui avait si bien réussi avec A la pousruite du diamant vert. Hélàs, la farce est grossière.
Première
par Christian Jauberty
Riche en moyens mais dépourvu d'inspiration, ce remake d'une petite comédie d'Arthur Hiller se précipite dans les scènes d'action en négligeant de développer ses personnages. Les rebondissements sont aberrants, et les gags, qui piochent dans le registre des petites culottes et des trafiquants d'armes français homosexuels, sont souvent médiocres. Livrés à eux-mêmes, Douglas et Brook cabotinent en rêvant de jours meileurs.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Faut-il que la côte de Michael Douglas ait à ce point chuté pour le retrouver dans cette comédie arthritique! Les papys ne cherchent même plus à faire de la résistance et abdiquent leur talent dans cette tentative ratée de parodie du genre où l'humour, à l'image de ces héros, est bon pour une retraite bine méritée.
Zurban
par Aurélie Champagne
La dérision a beuu faire, on sourit mais pas trop. L'ensemble est assorti d'un casting Ultrabrite et donc, plutôt fadasse. Plus blanc que blanc, le film ne laisse aucune trace.
MCinéma.com
Malgré quelques références bien senties aux classiques de l'espionnage et une vision ironico-hystérique de la famille et du mariage, on retombe vite dans un divertissement familial lisse et " gnan-gnan ". Coloriage enfantin appliqué dont rien ne dépasse, ESPION MAIS PAS TROP aurait pu être une relecture nostalgique et gentiment surannée. Malheureusement, il n'est qu'un film de plus dont seuls Douglas et Brooks se sortent sans trop d'égratignures.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Quiproquos et cascades... Et résultat de misère, avec tartes à la crème et blagues de potaches - ah ! les homos ! s'ils n'existaient pas, la comédie beauf les aurait inventés. Et les acteurs ? Euh... Soyons gentils : Espion mais pas trop est juste un bon gros navet.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Beauferie en rase motte. (...) Des péripéties rocambolesques, des quiproquos et imbroglios vulgaires, dont les plus croustillants sont aussi les plus éculés (notamment les scènes où un trafiquant d'opérette fait du gringue au podologue quinquagénaire et grassouillet). Sérieux s'abstenir.
Le Monde
On ne serait pas loin de la comédie du remariage si une quelconque fantaisie animait ce film. Le cabotinage pénible de Michael Douglas et d'Albert Brooks, la pauvreté de l'écriture, ne tardent pas à venir à bout de ses prétentions comiques.
Les Inrockuptibles
Un film cousu main pour Michael Douglas, qui espère sans doute faire passer son soixantenaire en rééditant la recette qui lui avait si bien réussi avec A la pousruite du diamant vert. Hélàs, la farce est grossière.
Première
Riche en moyens mais dépourvu d'inspiration, ce remake d'une petite comédie d'Arthur Hiller se précipite dans les scènes d'action en négligeant de développer ses personnages. Les rebondissements sont aberrants, et les gags, qui piochent dans le registre des petites culottes et des trafiquants d'armes français homosexuels, sont souvent médiocres. Livrés à eux-mêmes, Douglas et Brook cabotinent en rêvant de jours meileurs.
TéléCinéObs
Faut-il que la côte de Michael Douglas ait à ce point chuté pour le retrouver dans cette comédie arthritique! Les papys ne cherchent même plus à faire de la résistance et abdiquent leur talent dans cette tentative ratée de parodie du genre où l'humour, à l'image de ces héros, est bon pour une retraite bine méritée.
Zurban
La dérision a beuu faire, on sourit mais pas trop. L'ensemble est assorti d'un casting Ultrabrite et donc, plutôt fadasse. Plus blanc que blanc, le film ne laisse aucune trace.