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Pierre E
212 abonnés
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1,0
Publiée le 15 octobre 2007
Si les opus 4 et 5, plutôt basiques mais efficaces, n'allait pas très loin dans l'originalité, cet épisode se rattrape avec un scénario tiré par les cheveux, et absolument indigeste : Michael Myers tue pour accomplir le rite d'un tradition païenne ! Autrement dit c'est une malédiction ! Fallait trouver, vraiment, une idée telle que celle-ci, il faut l'admettre. Pourquoi vouloir tenter d'expliquer une saga qui s'en tirait bien sans ? Résultat, on transforme le slasher movie en film fantastique de série B. Paul Rudd est un jeune acteur plus ou moins talentueux cependant à quoi sert Donald Pleasence à ce stade ? A pas grand chose. Pour les fans de la saga, ce sixième opus est à voir, histoire de retrouver Myers à travers de rares scène efficaces, mais pas à graver dans les annales.
Ahhh! On relève quelque peu le niveau qui était bien trop bas après 2 précédentes suites bien daubesque. Même si on reprend l'élément de la nièce, le scénario est très intéressant qui reste assez intelligent et très bien trouvé. Mais brise quelque peu le mystère instauré dans le premier et contre bien trop de choses dans tout opus confondu qui pousse à dire plus ça va, plus la saga ne tient plus debout. Mais j'avoue avoir apprécié cet opus car il rehausse le niveau qui avait été bien massacré auparavant.
Bon petit film qui suit fidèlement la trame des autres épisodes de la série. Il est juste dommage que le montage soit aussi raté. On y perd parfois son chemin.
Il s' agit de la suite des autres films Halloween 1 , 2 , 4 et 5 ( " Halloween 3 " étant un film d' horreur , à part des autres films " Halloween 🎃 " , avec une histoire différente , qui n' a rien à voir avec les autres films , sans le tueur psychopathe , Michael Myers , et avec des personnages différents ) .
Ce film est mieux que " Halloween 5 " , qui n' est pas terrible , pas formidable , auquel , j' ai mis 2 étoiles , comme note .
Mais hélas , il est moins bien , que les autres films précédents ( En tout , il y a 13 films " Halloween 🎃 " , mais je ne les ai pas tous vu , je n' ai vu , que les 6 premiers , jusqu'à présent ) .
Halloween 2 , 3 et 4 sont de trés bons films d' horreur , auquel , j' ai mis la note de 4 étoiles , pour chacun de ces films .
Mais le mieux , pour l' instant , est le premier film " Halloween 🎃 " , de 1978 , qui est un chef d'œuvre du film d' horreur , auquel , j' ai mis la note de 5 étoiles .
Halloween 6 , a des longueurs et des lenteurs , mais , il est quand même bien , il n' y a pas des longueurs et des lenteurs , pendant tout le film , il y a quand même du suspens et de l' action .
LE slasher intelligent. Voilà ce qu'évoque pour moi Halloween 6. Les autres sont plutôt pas mal, c'est vrai, mais celui-ci a un scénario très recherché, et ça se voit. Nous découvrons ainsi le mystère du signe de Michael (sur sa main droite), ainsi que celui de "l'homme en noir". Je crois que les gens qui n'ont pas aimé le film ne sont pas "cons", ni "complétement cinglés", ils sont juste un peu déroutés et ça peut se comprendre. Le film diffère totalement des autres volets par un scénario intelligent et inédit. Un gros coup de coeur, vraisemblablement un des meilleurs Halloween, et un des meilleurs films d'horreur, par la même occasion...
Décidément, plus les "Halloween" passent, plus cette saga plonge dans la bêtise. C'est cette fois Joe Chappelle qui est aux commandes de ce sixième opus, sorti en 1995, qui tente tant bien que mal de lever les zones d'ombre du cinquième opus et sa fin particulièrement risible. Mais en essayant de raccrocher les wagons, il augmente également les zones d'ombre dans son propre récit en nous inventant des origines délirantes à Michael. Je n'avais plus aucun souvenir de ce sixième opus (pas plus que du quatrième et cinquième d'ailleurs) et je comprends mieux pourquoi ! Ce film n'a en effet strictement aucun intérêt et ne nous fait même pas le plaisir de tomber dans le nanar car il n'en est à aucun moment risible mais uniquement navrant. À la suite des évènements du cinquième film, Jamie et Michael sont tous deux enlevés et séquestrés durant quelques années dans une secte. Là-bas, elle accouche d'un gamin censé être la relève de Michael dont ce dernier est par ailleurs l'incarnation du mal. Ça, on le savait dès le premier film mais, dans le film de Carpenter, c'est une incarnation du mal plus subtile et surtout idéologique, Michael étant avant tout une métaphore de la conception du mal. Ici, on y va avec les gros sabots en avançant le fait que les motivations meurtrières de Michael sont en rapport avec une secte et qui est plus précisément sous l'influence de Thorn. Alors, on a donc enfin la réponse de qui était le mec aux santiags dans le premier film (qui fait donc partie de cette secte) mais sérieusement, c'est quoi ce délire ? Tout aussi mauvais soient-ils, les quatrième et cinquième opus s'orientaient doucement vers le fantastique, laissant le temps aux spectateurs, mais surtout aux fans, de s'adapter. Ici, on nous balance tout d'un coup à la tronche comme si soudainement, un développement prévu pour trois films étaient condensé en un seul. Ce qui explique par ailleurs les nombreux raccourcis narratifs et incohérences, sans oublier cette fin ridicule au possible et incompréhensible, encore plus que celle du cinquième film. Alors certes, on peut se dire que le film tente par là d'établir un lien avec le troisième opus. Mais la particularité de ce dernier était qu'il ne mettait pas en scène Michael et qu'il partait dans un tout autre délire, délire complètement assumé. Ici, on en essayant maladroitement de raccrocher les wagons, force est de constater que ça ne fonctionne pas ! Et parmi tout ce délire fantastique, on nous balance à l'arrache des morceaux des précédents films, et notamment du premier, avec le retour de Tommy Doyle et la famille Strode qui emménage chez les Myers, enfin histoire d'alimenter un peu le fan service quoi. Concernant les acteurs, nous retrouvons une des premières prestations de Paul Rudd à l'écran, qui semble un peu perdu dans son personnage (en même temps, écrit à l'arrache), Marianne Hagan qui s'en sort comme elle peut et puis Donald Pleasance qui tourne en rond en continuant de cirer à tout va que Michael revient (d'ailleurs, il s'y connait soudainement drôlement bien en symboles !). "Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers" est donc incontestablement le plus mauvais de la franchise !
ce 6 ème opus et vraiment bon ! scénario vraiment bon suite de halloween 5 pas direct car des année après et c été une exelente idée de ramener tommy le petit garçon que garder lorie dans halloween 1 mi je dis rien de plus sinon spoil , et pendant le flm on croit que michael tue a cause d une malédiction mais n fait c pas le cas mais je dis pas pourquoi sinon spoil et j adore toujours autans le dr loomis , les éfet speciaux géniaux , les acteur ben super sauf pour tommy des fois je trouve qu il fais des truc bizare mais sinon c un bon film 3,5/5
trés certainement le moins bon de la saga.c'est n'importe quoi , et en plus micheal semble avoir pris quelque kilos et n'a plus la meme démarche de zombi. a éviter meme pour les fans.
10 / 20 Très moyen , je me lasse vraiment de cette interminable saga , le tout devient réellement inintéressant , du déjà vu , du copiage sur les autres films , un scénario ridicule et des scènes inutiles . Plus rien de stressant , l'angoisse s'évapore le rythme devient très fade et les meurtres sont harassant , j'en ai clairement « marre » de cette longue saga , elle dérive regrettablement dans le n'importe quoi et l'histoire devient agaçante . Et un final qui manque encore de réjouissance .. bref a voir ou pas , inévitable pour les fans , ou les accrocs de la saga . Moi je me centre essentiellement sur le premier ( qui ce trouve être culte .. j'ignore un peu les suites ) . Même si ça reste un énorme souvenir dans le monde de l'horreur , la saga ne vole pas haut du tout ( dans l'ensemble ) .
Halloween 6 est un épisode très particulier dans cette saga. Le scénario est complètement fous, vraiment pas crédible, seulement, les meurtres du film sont bien filmés. En somme, pour moi, la saga se serait contentée de La nuit des masques, de sa suite et de Halloween 20 ans après, et du début d'Halloween ressurection. Halloween 6 est meuvais dans son ensemble même si certaines scènes sont très efficaces.
Disons le clairement, Halloween 6 n'est en aucun cas un nanar ou un navet, c'est juste un film raté, un film ayant échappé à son véritable concepteur, le scénariste du film Daniel Farrand. (le réalisateur du film étant lui même l'une de cause du ratage) "Halloween 6: la malédiction de Michael Myers" conclu donc la trilogie mettant en scène le combat, ou devrai-je plutôt dire la partie de cache-cache, entre Michael Myers et sa nièce Jamie; c’est aussi la dernière traque de ce bon vieux Docteur Loomis face à son vieil ennemi… Après le décès subite de Donald Pleasence avant la fin du tournage, les producteurs ont jugé bon de couper la plupart de ses scènes, car beaucoup présageaient une suite avec un Loomis au cœur de l’intrigue. Hélas, sans la plupart des scènes qui ont été coupées, la trame du film en prend un coup et l‘ensemble devient incohérent et dénué de sens. Tout d’abord, cette version cinéma du film est bizarre, très bizarre, d’une incohérence certaine ce volet reste le plus frustrant et inabouti de la saga; avec son lot de scènes gores et de poursuites à n’en plus finir, ce film n’est rien d’autre qu’un film d’horreur banal avec pour seul lien avec la saga un Michael Myers quasi inexistant et un Loomis vieillissant, tout aussi absent. Quant au suspens, que nenni, la trame du film n’a rien de bien originale, elle voulait révéler les origines du mythe, alors qu’elle le dénature complètement. Parmi le casting nous retrouvons la star en devenir Paul Rudd, jouant le rôle d’un Tommy Doyle plus âgé, Georges P. Wilbur, ayant interprété Michael Myers dans Halloween 4 et reprenant le rôle dans ce film, et pour finir Donald Pleasence reprenant son rôle fétiche pour la dernière fois. En conclusion cette seconde version du film est très dispensable, avec notamment son lot d’incohérences qui ruine totalement le mythe, ses scènes sanglantes peu inventives, et sa trame pour le moins stupide et maladroite, qui font de ce film le rejeton illégitime d’une saga qui méritait beaucoup mieux.
PS: La première version du film, qui devait normalement sortir au cinéma mais qui fut remaniée suite au décès de l’acteur, est entre autre disponible sur youtube en VO ainsi qu'en Blu-ray zone 1. Elle offre une vision totalement différente de ce que pouvait être Halloween 6 version cinéma, elle est supérieur à celle-ci à bien des égards.
Dans le panorama cinématographique des films d'horreur, "Halloween : La Malédiction de Michael Myers" se présente comme une tentative audacieuse mais finalement maladroite de renouveler la saga emblématique. Ce sixième volet tente de tisser une mythologie plus profonde autour de son antagoniste titulaire, intégrant des éléments de mysticisme et de culte druidique qui, bien que novateurs, alourdissent le récit d'une complexité peu convaincante.
Le film marque la dernière apparition de Donald Pleasence dans le rôle du Dr Sam Loomis, dont la performance, empreinte de l'urgence et du désespoir caractéristiques du personnage, reste un point lumineux dans un ensemble autrement inégal. Paul Rudd, dans son premier rôle majeur au cinéma, incarne un Tommy Doyle adulte, dont l'obsession pour Michael Myers oscille entre la détermination héroïque et une fixation presque malsaine, reflétant une tentative de connecter les points narratifs à travers la série.
La réalisation de Joe Chappelle peine à équilibrer les nombreux fils narratifs et les nouvelles introductions mythologiques, résultant en un film qui semble souvent disjoint et manque de cohésion. Les tentatives de renouveler l'horreur et le suspense qui caractérisaient les opus précédents se noient dans un flot de scènes d'action et de meurtres qui, bien que graphiquement impressionnants, manquent souvent de l'ingéniosité et de la tension nécessaires pour captiver véritablement.
Le scénario de Daniel Farrands ambitionne d'explorer les racines du mal incarné par Michael Myers, mais s'embourbe dans une explication surchargée qui dilue l'efficacité terrifiante de l'antagoniste. Le film tente de lier son histoire aux origines druidiques et à une malédiction ancestrale, une démarche qui, tout en apportant une dimension supplémentaire à la mythologie de la franchise, tend à éloigner le récit de ses racines slasher plus terre-à-terre.
La production tumultueuse du film, marquée par des réécritures, des reprises et une post-production difficile, transparaît à l'écran, conférant au projet une sensation d'inachevé qui ne rend pas justice au potentiel initial. Malgré cela, le film détient des moments de brillance, notamment grâce à la performance posthume de Pleasence et à certaines séquences efficacement macabres.
En comparaison avec les autres films de la franchise, notamment "La nuit des masques" de John Carpenter, qui reste un classique incontesté, "La Malédiction de Michael Myers" semble manquer de la simplicité et de l'efficacité horrifique qui ont fait le succès de l'original. Même par rapport à des suites comme "Halloween" de Rob Zombie et "Halloween II" de Rick Rosenthal, ce sixième volet peine à trouver sa place, offrant une expérience qui, bien qu'ambitieuse, s'avère finalement insatisfaisante et désordonnée.