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CeeSnipes
284 abonnés
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2,5
Publiée le 22 novembre 2011
Fin de la trilogie de Jamie Lloyd, qui commence d'ailleurs par sa mort, scène vraiment mal faite, ce film de Joe Chappelle est un film étrange.
Ca commence très mal, par un générique vraiment mystique avec une société secrète qui tue un peu le mythe de Michael Myers. Ce qui aurait du faire un reboot de la série revient pourtant aux origines avec la réapparition de Tommy Doyle, joué par le débutant à l'époque Paul Rudd. Acteur vraiment pas mal maintenant, là, il sauve un peu les meubles de ce nanar horrifique, compliqué, et complètement débile, avec la famille des Strode comme personnages principaux. Finalement, on trouve certaines bonnes idées, comme le présentateur radio, Barry Simms, joué par Leo Geter, plutôt bon acteur au moins, et les meurtres sont pas trop mal filmés, Joe Chappelle n'étant pas un tâcheron du genre Dominique Othenon-Girard.
Dommage que Daniel Farrands ait voulu faire un film beaucoup trop compliqué et surtout trop en dehors de la saga Halloween, déjà un peu tuée par tant de mauvais films. Il reste encore 2 films avant les remakes de Rob Zombie, H20 et Resurrection...
Il aurait été plus prudent d'arrêté le massacre, ce sixième volet de la saga Halloween est un véritable échec. Joe Chappelle n'apporte rien de nouveau du côté de la mise en scène, le film est divertissant mais le scénario est plat et on devine ce qui va se passer à chaque scène etc... En clair ce sixième film n'aurait jamais dû voir le jour, 05 / 20.
Divertissant dans l'absolu grâce à une ou deux morts quand même bien violentes, ce Halloween 6 souffre d'un réel manque de subtilité dans sa mise en scène, le retour du tueur se faisant de manière réellement abrupte. Malgré les tentatives d'expliquer les origines du mal qui entoure Michael Myers, le scénario comporte trop de facilités et l'ensemble du film est malheureusement assez brouillon. Après, il est vrai qu'on retrouve malgré tout cette ambiance "cache-cache" avec un tueur qui rôde dans le coin et cela reste un "Halloween". Mais j'ai été déçu, bien que je ne m'attendais pas à un grand film étant donné le nombre de critiques négatives... Donc au final, le film m'a déçu sans vraiment me décevoir, je savais d'avance que ça ne serait pas fameux. Pas forcément pire que "Halloween 5", mais ce sixième film ne parvient absolument pas à apporter un souffle nouveau à la franchise et certains fans estiment qu'il va même jusqu'à saboter son univers, ce qui n'est pourtant pas mon avis en dépit de ma déception bien réelle.
Joe Chappelle est plutôt un bon artisan, et le voir s’emparer de la saga Halloween était pour moi plutôt encourageant, surtout après le précédent épisode pour le moins décevant. Et en effet il rehausse le niveau de la saga, faisant de ce 6ème film un des bons épisodes.Coté casting clairement Pleasence n’a plus la forme d’antan, c’est certain, même si son rôle, adapté (il est observateur principalement), lui permet de garder une certaine crédibilité. Il est aussi un peu mit en retrait au profit de nouveaux arrivants, des petits jeunes qui prennent les choses en main. Parmi eux on trouve Paul Rudd, la famille Strode, Halloween 6 présentant, contrairement aux épisodes antérieurs, pléthore de personnages. Malgré tout le film se débrouille plutôt bien avec eux, arrivant et c’est presque un petit miracle à leur donner de la consistance (du moins pour les principaux) et à éviter qu’ils ne se marchent sur les pieds. Néanmoins il faut reconnaitre que le film n’évite pas son principal défaut : il est fouillis.C’est en effet le souci majeur de cet Halloween 6, qui, un peu à l’image du précédent, ayant abandonné le concept minimaliste des premiers films, cherche à voguer vers des horizons neufs. C’est louable, et le résultat n’est pas aussi décevant que le précédent métrage, mais il faut avouer que le début est assez laborieux, et le déroulement poussif. Tout n’est pas très clair, Halloween 6 donne le sentiment de partir un peu dans tous les sens, de se disperser, introduisant néanmoins, et j’ai presque envie de dire tant mieux, une dose de sorcellerie, ce qui permet de crédibiliser un minimum la dimension surhumaine de Myers que j’ai toujours trouvé un peu décevante. Visuellement Chappelle apporte une dimension plus graphique et plus violente à la saga. Celle-ci qui avait tout de même été très soft devient ici plus sanglante, avec un réalisateur qui a le sens des effets, notamment lors d’un meurtre très sympathique. C’est là un point louable à mon sens, car on hérite d’un film du coup un peu moins lisse où Myers retrouve des couleurs alors qu’il avait eu tendance à être trop tendre. C’est là le seul élément neuf, puisque Chappelle pour le reste conserve l’ambiance et les décors caractéristique de la saga, et retrouve, après un 5ème film qui s’en été éloigné, l’ambiance bleue-noire avec une photographie soignée. Je regrette néanmoins que la musique de Carpenter ait été oublié, n’apparaissant que très peu, alors que c’est tout de même ce qui nous immerge le plus dans la saga dès que les quelques notes retentissent.Au final Halloween 6 est pour moi le meilleur épisode depuis le 1.Si le scénario est désordonné, j’ai trouvé l’ensemble de bonne tenue, qui cherche à la fois à innover, tout en restant fidèle au style imposé dès le premier film par Carpenter. 3.5
La franchise continue sa longue descente vers la nullité avec ce film minable. Les scénaristes devaient êtres en grève au moment de l’écriture tant la trame est confuse. Les acteurs sont à l’ouest et la réalisation défaillante. Bref, pas grand-chose à sauver dans ce très mauvais film.
Que dire de Halloween 6? Tout d'abord c'est pour moi l'épisode le plus complexe et le plus étrange. En effet,ce volet est bourré d'incohérence!On nous sort un scénario d'outre-tombe qui essaye des nous expliquer les raisons pour laquelle Michael Myers tue.Aberrant!Ainsi donc Michael serait depuis toujours manipulé par une secte qui le forcerait à commettre ses crimes(??).Ensuite on apprend que Jamie est enceinte(Mais de qui?De Michael?).C'est après que l'on découvre que des membres éloignés de Laurie Strode(Jamie Lee Curtis) habite la maison des Myers(???????????).Oui je sais c'est incompréhensible. Néanmois,cette sixième séquelle offre la plus belle personnalité au psychopathe.Plus déterminé,plus violent,plus humain(Michael n'est plus une machine à tuer infaillible).De plus c'est le dernier rôle du grand commédien que fût Donald Pleasence. En somme,je dois avouer que cet épisode m'a beaucoup plus et que malgré ses invraisemblances,il offre de très bons moments et réjouira certainement les inconditionnels de la saga. Alors pourquoi s'en privé?
L'histoire de "secret" et de "complot" autour du personnage de Michael Myers est bien mal venue et dénature notre boogeyman. Un épisode bien en deçà des autres films de la franchise et presque au niveau d'Halloween Résurrection (c'est pour dire).
Nous voilà arriver au film de trop, celui qui fait vraiment chuter la saga pour de bon. La réalisation est lente et mauvaise. Les acteurs surjouent ou ne jouent pas assez. Les réponses aux questions que l'on attendait depuis le dernier film sont au final inintéressante et sortit de nulle part. Pour faire court cette suite c'est vraiment du réchauffé. Le scénario est plat et parfois incohérent avec les autres films. Le seul moment intérressant du film c'est le début qui se voulait dynamique et bien cohérent avec le précédent. Suite à ces 10 premières minutes on arrive dans un merdier total où l'on rencontre de nouveaux personnages n'ayant aucun charisme et aucune personnalité. Côté histoire plus le film avance et plus c'est confus et on ne comprend vraiment plus rien. Il y a quand même un point sympathique dans ce film, sa fait plaisir de retrouver un personnage qu'on avait pas vu depuis le tout premier film. Sinon mis a part sa les scènes meurtres sont pitoyables et ne présentent aucune originalité. Où est passé ce bon vieux Michael Myers ? Enfin bref ce film est le film de trop, le film à oublier.
Six ans après le décevant Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers (1989), énième chapitre de cette franchise qui semble ne pas vouloir prendre fin et où l’on retrouve pour la dernière fois, l’acteur Donald Pleasence (Dr. Loomis) qui est décédé quelques mois après la fin du tournage. Seul rescapé de la franchise (en dehors du mystérieux "homme en noir" vu dans le 5ème volet), puisque même Danielle Harris (Jamie Lloyd, fille de Laurie Strode dans le 4ème & 5ème opus) ne figure pas au casting (elle fut écartée du projet à cause de ses exigences salariales) et se retrouve donc remplacée par J.C. Brandy.
Avec son scénario capillotracté (où il est question d’une secte adoratrice de Myers, qui enlève la fille de Laurie Strode) et ses innombrables remontages (pour remédier à différents soucis, notamment dû au décès de Donald Pleasence dont la fin initiale lui accordait trop d’importance pour la suite des épisodes à venir, sans oublier les projections-tests calamiteuses qui obligèrent Miramax et le réalisateur à retravailler le film), bref au final, un beau foutoir puisqu’il existe à ce jour, pas moins de 5 versions (dont la Director’s Cut, la Producer's Cut (la fameuse "666") et une version TV).
Avec Halloween 6 : La Malédiction de Michael Myers (1995), le film enchaîne les invraisemblances et/ou ne va jamais au bout de ses idées. Que dire par exemple de la famille Strode qui décide d’aller habiter dans la maison des Myers (!?) ou encore, le lien parapsychologique qui unit Danny à Myers et dont ne on connaîtra jamais les origines… ou encore de ces fameuses runes magiques dont Tommy Doyle (incarné par Paul Rudd) essaie tant bien que mal et grossièrement de nous en expliquer les fondamentaux.
Bref, il en résulte au final une intrigue bien trop confuse liée notamment aux nombreux reshoots et autres charcutage au niveau du montage initial. Un film qui démarrait mal dès le début (en atteste les projo-tests) et qui inexorablement aura fini par en payer le prix cher avec toutes ces modifications de dernières minutes.
Après un médiocre cinquième volet, tourné à la va-vite dans le sillage du quatrième, Moustapha Akkad, le producteur de la franchise Halloween, décide de se donner le temps de la réflexion pour aboutir à un sixième volet plus posé. Qui ne sortira donc que 6 ans plus tard, en en 1995… et sera ironiquement encore plus raté que ses prédécesseurs. En effet, « Halloween : the Curse of Michael Myers » est célèbre pour ses diverses versions plus ou moins farfelues. La version officielle, sortie en salles, fit suite à des projections tests désastreuses, qui ont nécessité des retournages. Problème : Donald Pleasence était déjà décédé à ce moment. En résulte un film bazaresque à souhait. Il existe également un « Producer’s Cut », sorti en vidéo depuis, qui correspondrait plus ou moins au film présenté en projection test, avant les retournages donc, et qui a (un peu) meilleure réputation. Cette critique porte uniquement sur la version diffusée en salles. Version qui est tout simplement un produit boiteux et sans intérêt. Un scénario bourrés d’incohérences (dont le nouveau-né le plus silencieux de l’Histoire des bébés !), qui tente laborieusement de repartir de la fin du cinquième opus, où Michael Myers s’évadait avec la complicité d’un mystérieux homme en noir. Tout en essayant d’expliquer les origines et motivations de Michael Myers, sans y parvenir de manière satisfaisante (ni vraisemblable d’ailleurs). En guise de héros, on nous ressort le Dr Loomis, peu présent à l’écran, et incarné par un Donald Pleasence au bout du rouleau peu avant sa mort. Mais aussi des cousins éloignés de la famille Strode (qui a dit paresse scénaristique ?), ainsi que Tommy Doyle. Comment, vous ne vous souvenez pas de lui ? Enfin, il s’agit du garçonnet gardé par Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) dans le premier film. De toute évidence, sa présence était indispensable ! Et ce n’est rien de moins que Paul Rudd ( !) qui l’interprète. Et c’est un euphémisme de dire que l’acteur est complètement à côté de ses pompes, ses confrontations avec Michael Myers étant particulièrement risibles. La faute en revient probablement au réalisateur, car la même année Rudd était tout à fait convaincant dans « Clueless », tandis que pour cet Halloween c’est tout le casting qui semble aux fraises. Côté mise en scène, c’est au choix. On oscille entre de l’incroyablement plat, à coup de jump scares pathétiques, et du portnawak. Dont un final particulièrement brouillon et je-m’en-foutiste (comment un producteur a-t-il pu valider une chose pareille ?). A noter que devant ce chaos, le septième volet ne s’embarrassera pas de tenter de suivre le fil. Il annulera purement et simplement les volets 4, 5 et 6, préférant s’afficher comme la suite du deuxième. On le comprend…
Nouveau volet pour Michael Myers et ses tueries !! Le film souffre d'un scénario insipide et d'une mise en scène moyenne !! Ca sent trop le réchauffé et les ficelles scénaristiques trop nombreuses !! Même Donald Pleasence, emblémùatique Dr Loomis, n'y croit plus
Un scénario catastrophique pour ce sixième film autour de Michael Myers. Les seuls points positif qu'on peut tiré de ce film sont les scene d'horreur bien sanglante et un Michael fort présent. Notons également la dernière apparition de Donald Pleasure avant sa mort qui etait présent depuis le premier Halloween.
Beaucoup plus approximatif que son prédécesseur, Chapelle se borne à vouloir apporter des réponses mais également à ajouter d'innombrables nouveaux éléments. Le film s'en retrouve beaucoup trop chargé et perd le spectateur. De plus, et c'est tout à l'honneur d'un cinéaste débutant, il souhaite aborder la franchise sous un ton nouveau. Dès les premières minutes, on constatera que le film se montre comme étant le plus ténébreux de sa saga. Ce ne sera plus le Michael Myers habituel car il est entouré d'une secte, « aidé » par un sorcier (le fameux type à l'imper du 5ème). Le film va même plus loin : on nous y expliquera que Myers n'est en réalité qu'une victime, qu'il aura été maudit par cette secte dès son plus jeune âge afin d'accomplir tous les crimes que nous avons eu le plaisir de suivre. La sorcellerie est alors la force horrifique principale de ce sixième opus ! Audacieux mais Chapelle manquant d'expérience, le résultat n'est pas à la hauteur de nos attentes. Beaucoup trop de moments bordéliques, peu de moments stressants (grosse différence si on le compare au 5ème). Attention, ce n'est pas catastrophique non plus et pour ce qui est du gore, on en a pour notre argent ! Cet « Halloween 6 » est dédié à la mémoire de Donald Pleasence, alors très malade pendant le tournage. Il mourra avant même de pouvoir visionner le montage de son dernier film.
6 ans après le précédent Joe Chapelle sort Halloween du placard et nous fait une version regardable mais assez éloigné des très bons 1 et 2. Le film démarre fort on retrouve enfin un Michael Myers sans pitié et plus méchant que jamais mais malheureusement le rythme baisse assez vite et le reste du film est assez poussif. On ne peut pas dire que l'histoire suit réellement celle du 5 mis à part quelques détails qui sont là juste pour servir de prétexte, Danielle Harris ne fait plus partie du casting ce qui fait que son personnage est complètement bâclé ce qui est dommage, on retrouve le personnage de Tommy le petit du 1 et Donald Pleasence seul rescapé de la saga qu'on retrouve avec plaisir pour sa dernière apparition dans un Halloween..
Encore un navet d'Halloween. Le monstre tueur increvable n'offre plus de surprise. Ce film n'est pas une exception. Toujours la même recette : Quelques meurtres autour de banalités et à nouveau le fameux docteur "Loomis", acteur le plus fidèle de la série. A noter la présence de Paul Rudd qui joue plutôt bien. Autrement, rien de passionnant à voir.